Ezio Ichimaru entendit le vendeur lui dire que c'est sa néko qui doit crier ainsi. A ce moment, les deux nékos arrivent tout en essayant de s'expliquer. La néko du vendeur voulait pas faire de mal à Avril, mais par maladresse elle l'avait fait. Ezio espérait que ce n'était rien de grave.
Avril quant à elle, essaie de prendre la défense de sa camarade auprès de son maître et le sien pour ne pas que ça tourne mal. Elle avait eu juste, car Ezio ne va pas faire quoique ce soit étant donné que ce bleu est arrivé avant l'achat. S'il l'aurait fait ceci, alors ça n'aurait servit à rien, la justice ne se serait même pas interrogé sur les faits passés !
L'aveugle Ezio écouta donc en silence la conversation entre les filles et le jeune homme qui s'exprimait également. Il semble comme pas très en confiance auprès d'elle... Puis il finit par venir voir Avril pour voir sa blessure avant de rassurer tout le monde, y comprit Ezio Ichimaru.
Autour d'eux, quelques regards s'échangeaient, se pointe vers les nékos puis le vendeur avant de marmonner quelques phrases de mécontentement. L'aveugle Ezio ne broncha pas d'un pouce et celui-ci patienta un moment précis et particulier.
On ne sait pourquoi, mais la voix de l'autre néko vient comme marquer l'esprit d'Ezio ! Elle passe les sous-vêtements de la miss à son maître pour que celui-ci se remet au boulot. Puis vient le moment de l'achat où encore une fois, Ezio Ichimaru sort son argent pour payer le tout et prendre le gros sac bien remplit.
Pendant ce laps de temps Avril et Anma discutent une dernière fois, sachant que surement, elles se retrouveront. Le jeune maître attendit sa néko, juste avant de faire ses adieux à l'autre néko :
-Au revoir et merci pour les sous-vêtements d'Avril.
Puis Ezio tourne la tête vers là où semblerait-il qu'il y est Avril pour justement lui demander un petit service, qui sera toujours le même dans l'avenir :
-Avril ? Tien toi à moi... Nous rentrons, d'accord ? C'est alors que l'aveugle et sa néko Avril décide de sortir de la boutique après ça, où bientôt le canapé les attend.
L'aveugle avait dans une main, sa canne, qui n'est plus qu'un bâton à présent, et dans l'autre main, l'énorme sac bien remplit des affaires de sa néko. Bientôt elle pourra les porter avec surement fièrement de les avoir choisi... Après tout, un vêtement propre et qui fait non pas plaisir à son maître, mais à elle-même n'est-il pas un objet de "liberté" ?
Ce dernier ne pouvait donc en quelque sorte ne pouvait pas du tout donner la main à sa néko, mais avec un peu d'astuce, lui prendre le bras ou bien s'accrocher à l'une des poche de sa veste fait tout aussi bien l'affaire !
Ils marchaient dehors, avec ce même froid et ce petit vent cruel en direction de l'appartement dont Ezio connait très bien le chemin pour y aller... Et ce, même étant un aveugle ! C'est une habitude...