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 Camil /Fini/

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Camil /Fini/ Empty
MessageSujet: Camil /Fini/   Camil /Fini/ EmptyMer 21 Déc - 23:04

Triwht Camil




Informations globales.


Nom : Triwht
Prénom : Camil
Âge : 22 ans
Orientation : Hétérosexuel
Moyens : Un peu en dessous de la moyenne ?
Métier : Critique dans un journal


L'approfondi


Physique :

Prière de ne pas déranger, le moment est venu de passer à l'essayage, ces demoiselles risquent d'apprécier. Quoique... C'est finalement une bonne question que de se demander si regarder Camil est agréable à l'œil, car il est loin d'être de ces mannequins qui figurent à côté de ses articles dans le magazine, néanmoins il ne complexe pas sur cela, car c'est en parti sa faute s'il est ainsi. Il ne cherche pas à attirer l'attention et tout chez lui reflète le pratique, ou plutôt devrions-nous dire la nonchalance. Camil n'est pas ce type de personne qui prête une grande attention à son physique. Cloîtré chez lui aussi longtemps que possible, il ne ressent pas le besoin d'être présentable, cependant il n'en ai pas moins propre et se douche tous les jours. N'ayez crainte, vous ne risquez pas l'asphyxie en l'approchant, cependant il est fort possible qu'il continue à mettre un T-shirt sur lequel il a renversé une sauce d'on-ne-sait-quoi tant qu'il n'a pas adopté la même odeur que ses chaussettes. Enfin, lorsqu'il va travailler, il vérifie qu'il est un minimum propre par soucis professionnel, pourtant, même dans ces cas là, il reste décontracté et jamais vous ne le verrez en chemise. Non, pour lui l'idéal se résume à un T-shirt de couleur uni, un pantalon et, évidemment, son collier et bracelet, tous deux assortis de perles noires et blanches. En fait, ce sont là les seuls éléments 'coquets' qu'il porte. Si vous lui demandez, vous saurez alors qu'ils ne lui viennent pas directement mais qu'un ami l'a menacé de supprimer toutes ses données informatiques s'il ne prenait pas plus soin de lui. Quel ennuie.

Vous croyiez que j'en avais fini avec ses vêtements ? Détrompez-vous, il reste encore une chose. Un bandeau vert qu'il porte autours de la tête. Dans un premier temps, il était là pour retenir ses mèches de cheveux trop longues, car jamais il ne viendrait à Camil l'idée de se couper les cheveux autrement que devant un miroir et un « j'espère ne pas déraper » puis il a prit l'habitude de le mettre, même lorsque le besoin n'est pas. D'un autre côté, il s'est habitué à avoir les cheveux dans les yeux. Autant vous dire que le bandeau ne lui est donc plus d'aucune utilité, mais il l'aime bien et le garde.

Oui, cette fois-ci l'étape 'vêtements' est bel et bien terminée, mais ne vous inquiétez pas, il vous reste encore quelques lignes à lire. Elles seront bien moins nombreuses, ne vous allez donc pas ainsi ! Asseyez-vous et laissez vous compter comment se porte notre ami Camil au naturel.

D'un naturel roux - Comment ça, cette phrase n'a aucun sens ? - il aurait malgré lui était facile de l'apercevoir s'il n'avait pas été de petite taille. Oui, le critique a plus la corpulence d'un adolescent que d'un adulte, ce qui peut-être extrêmement gênant lorsqu'il s'agit d'expliquer qu'il est majeur à une autre personne. De plus, ceci est accentué par son attitude désinvolte qui est loin de rappeler qu'il est un adulte responsable. Sans doute aussi que sa manière de se vêtir joue contre lui... Le pauvre, même son regard d'un vert intense n'a pas le moins du monde l'air mature alors qu'il vous regarde, cette lueur amusée au fond des yeux. Pour finir et bien... Il n'a pas défaut choquant. Un petit nez retroussé, une bouche dotée de lèvres fines, ses oreilles n'ont rien de spéciale non plus. Ah si ! J'ai failli oublier. Si vous croisez Camil, ce ne sera jamais sans ses écouteurs, qu'il ait une musique à l'écoute ou pas, il les a toujours sur lui, et puis ça lui permet de ne pas écouter quelque chose si ça l'intéresse et, à l'inverse, d'écouter lorsque vous croyez qu'il ne vous entend pas.

Caractère :

L'important n'est pas de gagner, mais de pourrir la vie de son adversaire au possible.

Camil n'aime pas perdre, mais gagner ne l'intéresse pas pour autant. En fait, il n'est pas du genre à s'encombrer à participer dans des compétitions plus stupides les unes que les autres, c'est une chose qui, ne l'intéresse pas. Je dirais même plus, ça le répugne. Voir de quoi est capable l'être humain pour un trophée est stupide. Mieux vaut s'effacer et laisser décider le hasard, à moins qu'on ne puisse le forcer, évidemment. Camil est ce genre de personne qui force le hasard. A travers ses critiques, il défait, démoralise ceux qui donnent trop d'importance à l'inutile. Ce n'est pas toujours juste, mais qui a dit que le critique l'était ? Quoique.. Permettez moi de rectifier cette phrase. Il est juste, mais seulement envers ses propres idéaux. Il se fiche bien de savoir ce que pensent les autres. Et puis, son métier est basé sur cela n'est-ce pas ? Sur une appréciation personnelle. C'est du moins l'image qu'il se fait de son métier, et peu importe qu'il y ait des non-dit à son sujet. Camil n'est pas du genre social et seul l'avis de ses amis l'intéresse, les autres, il n'en entend de toute façon pas parler, cloîtré chez lui qu'il reste.

Il pleut toujours sur ceux qui sont mouillés

Malheureusement, bien que Camil n'ait pas tant de contact avec l'extérieur que ça, il est tout de même obligé de sortir lorsqu'il doit se rendre à la rédaction ou dans tel ou tel hôtel, où il ne se montre généralement pas le moins du monde amical. C'est plus s'il s'amusait avec les autres, comme il s'amusait avec sa sœur autrefois, lorsqu'ils se lançaient dans une de leur fameuses joutes verbales. Il faut avouer que de tels moments de complicité lui manquent un peu, alors il compense comme il peu en se montrant réellement méchant mais en se disant que ce n'est qu'un « jeu » duquel il ne ressort pas toujours gagnant en fait, cependant, écrire des critiques aux commentaires cassants, cet entraînement au duel verbal, et les nombreux livres aux histoires étranges qu'il continue de lire le maintiennent en forme et il peut affirmer sans aucune peur de mentir qu'il se débrouiller pas mal dans l'art de manier les mots, et il n'en est pas peu cher.

Cependant, gare aux représailles qui n'attendant jamais longtemps avant de tomber. Les gens n'aiment pas être rabaissé et l'on sous-estime bien souvent la capacité des hommes à faire regretter une action donnée. Ce doit peut-être être là l'une des raisons pour lesquelles Camil reste chez lui. Il n'a jamais été courageux et a toujours préféré fuir, pourquoi cela changerait-il maintenant, alors qu'il n'a plus sa sœur pour le protéger ?

Enfin, il y a bien un point où il est certain de sortir indemne. Les hybrides. Si vous connaissez son histoire, vous saurez qu'il a plus ou moins été forcé d'en acheter un, et déjà qu'il ne les aimait pas beaucoup, s'en voir un attribué ainsi ne le met que plus en colère. Il ne montre pas de compassion pour ces êtres là, mais ce n'est pas pour autant du mépris. C'est de l'indifférence, un peu comme un outil ménagé. S'il venait à être cassé, il serait simplement remplacé par un plus performant, plus récent. C'est aussi simple que ça. Néanmoins, Camil sait qu'avant de pouvoir simplement oublier la présence de l'hybride, il devra s'imposer dans un premier temps, et il n'aura aucun remord à recourir à certaines pratiques si une résistance lui est opposée.

Il ne faut pas vendre la peau de l'ours s'il n'est pas d'accord avec le prix.

Expert dans l'art de la fuite, Camil sait donc analyser chaque situation dans en son avantage et il ne s'engagera jamais dans une lutte où il n'est pas certain de ressortir vainqueur. La couardise ainsi que la malice sont ses principaux amis et jamais il ne les quittera. Cependant, il est certain d'une chose, jamais il ne se montrera hypocrite avec quelqu'un. Il trouve que se faire passer pour une chose, une personne, que l'on est pas est simplement déplacé et inutile, car tout vous retombera dessus au centuple. Si l'on se présente immédiatement comme un ennemi, il n'y a aucune risque que l'on vous tienne rancune puisque l'on sait immédiatement à quoi s'attendre.

Camil fait donc parti de ces gens réfléchis, aucunement impulsifs et qui méprisent toute personne guidée simplement par ses 'bons sentiments' et qui pense ne pas agir égoïstement en aidant les autres, alors que, comme vous le dira souvent le critique, ceux qui agissent pour le bien d'autrui ne le font que parce que ça leur donne bonne conscience. Tout est donc une question d'égoïsme. Lui aussi l'est, mais il l'admet. Rien n'est fait par bonté de cœur, car une telle chose est inconcevable et n'existe pas. Pour résumer, il vaut mieux être franc que se mentir à soit sois-même. Enfin... Il arrive tout de même à Camil de mentir, ou de bluffer selon les cas, si une telle chose lui permet de se sortir indemne d'une situation fâcheuse.

Histoire :

« A table ! » cria une voix féminine.

Le jeune homme roux, couché sur son lit, n'entendit pas l'appelle de sa mère, la musique sortant à fond de ses écouteurs noirs qu'il avait constamment aux oreilles. Un livre dans les mains, il souriait suite aux mésaventures du personnage. Le héros était un homme attirant la pitié du lecteur. Sa femme l'avait quitté après que son fils de quatre ans soit passé sous un camion, le visage de son mari lui rappelant trop celui de son défunt enfant. Il avait alors sombré dans l'alcoolisme et avait finit par perdre son travail. A présent, il vivait dans une boîte de carton en plein hivers. La folie dévorait peu à peu son âme et une deuxième personnalité avait vu le jour, elle était là pour le protéger du monde extérieur. Fourbe, mesquine, cruelle, elle n'hésitait pas à couper le fil de vie d'une personne à coup de dent si le besoin était.

Le roux aimait beaucoup cette histoire de schizophrénie, où l'homme était protégé par.. lui-même. Et puis, d'une certaine manière, il en apprenait beaucoup de cette deuxième personnalité. Elle était comme un professeur en manière d'auto-défense – verbale uniquement, le jeune homme n'aimait pas beaucoup les affrontements physiques, il n'avait pas la carrure qui allait avec. Avidement, il dévorait chaque mots, chaque lettres du roman, tournait les pages à une vitesse folle, jusqu'à ce que quelqu'un soit assez stupide pour lui enlever un écouteur.

« Maman a dit à table, Ciboulette !

- Je t'ai déjà dis de ne pas m'appeler comme ça, Popins !

- Ah ! Tu avais promis d'arrêter !

- Tu aurais du arrêter toi aussi... Popins.

- Ciboulette ! - Popins ! - Cibou-

- J'ai dis à table les enfants ! »

L'exclamation mis fin à leur dispute puérile et le frère et la sœur descendirent en tentant visiblement de battre le record du nombre de regard noir lancé à la seconde, mais ils abandonnèrent ce défis une fois à table pour un autre beaucoup plus intéressant : le nombre de coup de pieds à la minute. Très éprouvant pour le pauvre Camil qui n'avait aucune endurance, au contraire de sa sœur.

Ces deux êtres étaient diamétralement opposés. L'un préférait passer ses journées à lire, cloîtré chez lui, l'autre préférait sortir se promenait et prendre des photos de ce qui l'entourait. L'une allait voir des amis, l'autre écrivait sur son ordinateur, au calme. L'une était la meilleure de sa classe, que ce soit en mathématiques ou en sport, l'autre se contentait de travailler les langues. Pourtant, malgré les apparences, ils étaient assez complices et se chamailler n'était pour eux qu'une manière de se prouver leur affection.

*-*-*-*-*


« Comment peux-tu dire ça Camil ? Tu ne te rends pas compte que ce que tu écris pourrais influencer... des millions de personnes ?! Si des enfants lisent ça, ils croiront qu'il faut penser de cette manière ! Franchement, je n'aurais jamais cru que tu te laisserais influencer à ce point pour un peu d'argent... »

Un ricanement lui répondit. Le dit Camil regardait sa sœur dans les yeux, un sourire en coin et une main tripotant son bandeau frontal. La jeune femme brandissait devant lui un magazine de critiques d'hôtels où figurait sa propre critique. Un avis bien négatif n'ayant reçu que la moyenne sur dix, et encore, il avait été sympathique.

« Où vois-tu de l'argent Pauline ? Je n'ai rien accepté car on ne m'a rien demandé. Tout ce que j'ai écris, je le pense réellement. »

Pauline fit un pas en arrière, choquée, blessée par de tels propos dits sur une attitude désinvolte. Puis elle reprit contenance et lui hurla presque, se fichant bien qu'ils étaient en plein milieu de la rédaction, lieu de travail du roux.

« Tu veux me faire croire » articula-t-elle le plus lentement possible, comme si elle se retenait de lui sauter à la gorge « que tu penses ce que tu as dis sur le mauvais travail des hybrides qui n'est pas assez sévèrement punis ? Tu.. Tu es...

- Je suis...? » lui demanda Camil, un énorme sourire aux lèvres.

« Tu n'es pas mon frère... »

Elle avait prononcé ces mots d'un air si triste qu'il était difficile de croire qu'elle était si haineuse peu de temps auparavant. Elle s'éloigna à grands pas, laissant son frère derrière elle. Toutes les personnes qui avaient suivit l'échange retournèrent à leur travail, le spectacle était fini. Camil, lui aussi, se replongea dans son article, un sourire aux lèvres. Cela faisait longtemps qu'il ne s'entendait plus avec sa famille. Sa vision des choses sur le mondes leur était inaccessible, ils ne pouvaient pas comprendre son point de vue. Le principal sujet de dispute était les hybrides et la manière dont il fallait les traiter. Pour le jeune homme roux, il était naturel de les traiter en êtres inférieures, c'était après tout ce qu'ils étaient, mais apparemment, son avis n'était pas partagé. Peu importait de toute manière, il ne vivait plus avec eux. Il avait finit ses études et avait pu trouver une bonne place en tant que critique d'hôtels et il était bien payé, parfois même logé gratuitement lorsque l'on savait qu'il était critique. Cependant, on avait beau lui offrir un meilleure service, il aimait généralement mettre un avis seulement négatif, bien qu'il soit parfois obligé d'être plus ou moins sympathique afin que sa place dans la rédaction ne soit pas menacée.

Camil apporta un biscuit à sa bouche, enrobée dans une sorte de pâte rose à la fraise. Il adorait ce met. Le biscuit craqua sous la pression de ses dents. Bien, il avait du travail.

*-*-*-*-*


Une jeune homme roux que vous reconnaîtrez en tant que Camil se tenait au milieu d'une pièce qui croulait sous les vieux emballages de plats à réchauffer au micro-onde, de vêtements salles et de chose non-identifiées, cependant il ne semblait pas gêné pas le fait que son appartement ait un air de famille avec Bagdad, au contraire, il semblait s'y sentir comme chez lui. Il était couché sur le ventre à même le sol, un ordinateur portable devant lui sur lequel il tapait à une vitesse ahurissante. Dispersé autours de lui et survivant miraculeusement à travers les nombreux déchets, il y avait plusieurs écrans de télévision, servant pour la télé elle-même ou pour avoir différents écrans sur l'ordinateur, chose très pratique lorsque l'on faisait cinq chose à la fois. Ici et là étaient aussi présents quelques livres, mais généralement ceux-ci se trouvaient dans la seule armoire propre de la demeure. Camil y tenait.

Encore et toujours avec ses écouteurs coincés aux oreilles, il n'entendit pas les coups frappés à sa porte, ce ne fut que lorsque la personne en question lui envoya un message via sa messagerie qu'il daigna se lever pour aller ouvrir. A peine le battant de sa porte s'ouvrit-il qu'il se reçu une pichenette sur le front – heureusement son bandeau amortit le choc.

« Ah, Ciboulette ! » Malheureusement ce surnom l'avait poursuivit même après que sa famille ait disparu de sa vie, allez savoir pourquoi. « J'ai cru que tu voulais que je crève devant ta porte.

- Non merci. Si tu dois clamser, va ailleurs, parce que sinon, bonjour les odeurs... »

Le roux s'écarta pour laisser entrer son ami. Eric et lui s'étaient rencontrés à la rédaction. Tous deux étaient en charge d'un article et tous deux avaient été en retard, ils avaient donc dus faire des heures supplémentaires, ainsi ils pourraient « réfléchir à leur geste car le travail est une chose sérieuse qu'il ne faut pas prendre à la légère au risque de finir sur le bord d'un trottoir » comme disait leur patron. Ils s'étaient alors serré les coudes et avaient fini par bien s'entendre.
Eric ouvrit immédiatement les volets et les fenêtres dès qu'il eut posé un pied dans la pièce.

« Tu parles, même l'odeur d'un mort est plus appréciable que celle-ci... »

Un soupire échappa à Camil. C'était à chaque fois le même refrain. A présent il allait lui dire qu'il devait impérativement s'acheter un hybride.

« Franchement, tu pourrais t'acheter un Hybride. » Et voilà.

« Je te l'ai déjà dis cent fois, j'ai pas les moy-

- C'est faux ! On a le même salaire et j'ai regardé ce que tu dépensais en moyenne. Tu vis avec le strict minimum puisque tu ne sors jamais, tu manges que de la bouffe toute faite et j'ai même des doutes quant à ton hygiène - Hey ! - et je sais que tu as donc largement de quoi t'acheter un hybride et le nourrir ensuite. Et franchement, je suis sûr que même toi tu sais que tu as besoin de quelqu'un. Franchement, qu'est-ce que tu attends pour te trouver une fille ?

- Tch. Lâche moi avec ça. Je te promets de passer à l'animalerie si tu arrêtes de me parler de femme.

- J'te l'promets ! .. Du moins pendant une durée indéterminée.

- Ce sera toujours ça de gagné. »

C'est ainsi que Camil se retrouva avec des adresses d'animaleries sur les bras et une promesse de s'acheter un hybride. Franchement, quelle corvée.


Hé, toi, t'es qui au fait ?


Pseudonyme : Kalia
Comment as-tu découvert le forum ? Par Monsieur le juge Cearbhall
As-tu lu le règlement ? Validé par Judikaël
Comment l'améliorer selon toi ? Gne sais pas... C'est déjà très bien !
Un petit plus ? + *part très loin*
Quel est le personnage sur votre avatar ? Il n'existe pas, mais il a été fait par une personne nommée 'Lancha'.
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Judikaël Death
Neko Rebelle
Neko Rebelle
Judikaël Death


Messages : 472
Date d'inscription : 29/03/2011

Camil /Fini/ Empty
MessageSujet: Re: Camil /Fini/   Camil /Fini/ EmptyJeu 22 Déc - 16:38

Eh bien voila des fiches intéressantes à valider. Vous faites la paire, toi et ton ami juge : )

Bienvenue parmi nous ! Validé !
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Camil /Fini/
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