God forgive all... not me. [Pv. Kimiyo Kayase] [finish]

Maître Messages : 99 Date d'inscription : 12/06/2011 Age : 32

Alors que je me trouvais au sol, je pouvais entendre la vieille camionette des hommes de main partir. Faisant le mort, j'étais bien placé pour tout entendre... et la plus fatale erreur fut de laisser un seul homme s'occuper de mon cadavre, mieux vallait être dix dans ce cas là. Qu'importe je n'aurais qu'à le faire parler, ces hommes n'étaient jamais bien fiable, ils n'appartenaient pas à une organisation de la pègre bien impressionnante pour ne pas avoir entendu parlé de moi. Je suis sublime et transcendant aux yeux des grands hommes qui m'engagent pour me salir les mains avant d'écrire en lettre de sang l'histoire d'une société en pleine évolution... alors étant défini comme le méchant, le mauvais. L'homme prit mon col pour porter mon ventre à son épaule. C'est à ce moment que je lui donnais un coup de la paume de ma main dans le cou, assez violent pour le destabiliser. Il me fallait peu de temps pour être sur mes appuis et sauter sur lui pour le plaquer à terre, attrappant son arme par la même occasion. Je jonglais avec celle-ci le temps de la chute avant d'y serrer la crosse, doigt sur la protection... au moment de la chute, le canon de son flingue fut logé dans sa bouche. Ces yeux désormais peignaient cette expression chaleureuse qui me donnait un certain succès: celui de la peur, de l'immense et de l'impuissance d'un adversaire qui croit voir le diable en personne abattre ces chatiments sur lui. Dés lors, mon sourire ne fut que trop grand, alors que le canon demeurait dans sa bouche béante.

Si tu tiens encore à changer de métier... t'a intêret à me dire où se terre ma cible

Je 'ais y 'on'uire! 'uuure!

Je retirais le canon de sa bouche et le déchargeait. Je le plaçais au siège conducteur et pris le siège passager. Il n'attendit pas mes ordre pour prendre le chemin de la boîte où se terrait la cible... et par la même occasion où ma néko se trouvait. Il conduit normalement quoi que je pus lire dans sa mine appeuré qu'il avait une épée de Damocles située au dessus de sa tête... en fait à son flanc droit pour être exact. Au bout d'une demi-heure, il se gara dans une ruelle voisine à un sex-shop. Je confirmais. La camionette était déjà sur le parking. Voir des gens qui entraient avec leurs nékos ne m'était point étrange... sa c'était un poil de la société, personne n'en dirait rien à part les pieux et les trop peu couillus pour dire avec franchise ce qu'ils pensaient réellement. Je rechargeais mes deux armes et les rangeais à nouveau sous ma veste, sous le regard effrayé de l'homme qui m'avait montré le chemin assez docilement.

Dit moi où il se terre et quelles sont les principales issues que je peux utiliser en cas de pépin.

Euh et ben... monsieur Antonio a son bureau au deuxième sous-sol, deuxième couloir à droite puis la porte du fond. Les autres sont des salles pour tourner les films que nous vendons. Ensuite pour sortir... bah euh c'est un peu comme un bunker, c'est à la surface, ya une porte principale et celle des livraisons à l'arrière mais en dessous ya rien.

C'est tout?

o-oui monsieur! Me tuez pas! je voulais ce job juste pour me taper des nanas! je jure!

Je sortais de la voiture, observant minutieusement le bâtiment, pas très grand et pourtant en dessous constituait une mine d'or pour les amateur de pornographie. Finalement sa promettait d'être intéressant. J'ouvris la portière conducteur et laissait sortir le jeune homme.

Croise encore ma route et cette fois je te louperais pas espèce de couille molle!

Je vous jure!

Le bleu courru dans la ruelle avant de disparaître dans une autre. C'était pas lui ma cible alors le laisser partir ne me présenterait aucun risque. Je revenais à ce bâtiment, mieux vallait que je trouve une parade fine pour m'introduire dans ce sex shop sans attirer l'attention. Je me mis au volant de la voiture et fit le tour de la rue pour finalement me garer au service livraison du sex shop: la seule porte de derrière assez négligeament surveillée. Je remarquais l'absence de caméra et la présence seule de deux hommes pour m'accueillir. Je coupais le moteur. La partie allait s'avérer bien simple, tout comme une partie de dame je les éclaterais un à un.

C'est pourquoi?

Agent Kanari pour l'inspection des services d'hygiènes de vos hotesses

Quoi? vous avez un papier pour expliquer?

Bien sûr

je fouillais dans la poche de ma veste à la recherche de l'arme qui allait venir à bout de ces deux là sans qu'ils puissent y comprendre quelque chose. En un geste vif je leur plantais deux aiguilles imbibées d'un poison violent et inodore. Il ne leur fallu pas longtemps avant que le poison n'eu raison d'eux. Une fois écroulés, je les portaient au coffre de ma voiture et les y enfermaient avant de pénétrer en ce lieu par l'arrière et d'emprunter l'escalier menant au sous-sol du bâtiment.

Le voyage continuait, interminable. Kimiyo commençait à avoir peur, très peur, en présence de son maître, se sentiment ne lui serait même pas venu à l'esprit. Mais ici, attachée à l'arrière d'une voiture, tout changeait. Sa vie changeait. Elle essayait de réfléchir. Qu'allait-elle faire, passer pour la neko docile parfaite, ou se rebeller ? La réponse, elle la connaissait. Si elle se rebellait, elle mourrait. Ce n'était pas compliquer. Mais, une question tournait en boucle dans sa tête. Pourquoi elle ? Le maître aurait pu choisir tellement d'autres nekos. Mais son regard s'était penché sur elle dés qu'il avait commencé à marcher. Pourquoi ? Avait-il été payé pour la choisir en particulier. Ou alors, c'était juste une coïnsidence. Kiyo se repassait la scène en boucle. Il y a quelques heures, elle aurait tout donné pour sortir de cette prison. Maintenant, elle donnerait tout pour y rentrer.

Kimiyo fut bousculée. Le conducteur avait pris un virage étroit et la route changea. Combien de temps cela faisait-il qu'ils roulaient ? 1 heure, peut-être deux ? La route devint plus calme. Ils avaient quitté les champs et la petite neko commençait à aller mieux. Heureusement, elle n'aurait pas voulu vomir sur quelqu'un. Sa vie en dépandait.

Soudain, la voiture s'arrêta net. Elle entendit une portière claquer et la porte du coffre s'ouvrit brutalement.

Aller !! Sors de là !! Et si tu essaye de t'enfuire... (il lui montra son arme, celle qui avait servi à tuer...) T'as compris ? Aller ! sors de cette voiture putain !!

Kimiyo ne se fit pas attendre. Dés qu'elle fut sortie, l'homme l'a prise par le bras et l'entraina
dans l'étrange magasin rempli de breloques qu'elle n'avait jamais vues. Un homme les attendait.

Vous en avez mit du temps ! Je commençais à croire que vous vous étiez barrés ! Aller, passez-moi cette neko, je l'ammène en bas, pendant ce temps, reste là, que je vous donne ce qui vous reviens

Le dirigeant pris Kimiyo par le bras et l'entraina vers l'arrière boutique. Ensuite, il ouvrit une porte qui menait à des escalier. Arrivés en bas, il fit entrer les neko dans son bureau et ferma la porte à clé.
A partir de là, elle savait ce qu'elle devait faire. Le séduire. Elle profita du moment de solitude pour se concentrer. Comment allait-elle faire ? Tout d'abord, rester calme et ne pas se défiler si jamais il commeçait à la toucher. Elle savait qu'il possèdait une arme. Du moins, c'est ce que son...maître avait dit...

Elle cherchait quand même un moyen de sortir, malheureusement, au sous sol, aucune fenêtre. En plus, il pouvait arriver d'une seconde à l'autre.

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Bien cela se présentait bien pour le moment. Aucun homme n'était dans les couloirs. Je restais aux aguets, on ne sait jamais si quelqu'un pouvait surgir d'une de ces portes. En tout cas mes soupsons étaient confirmés: les gémissements que je pouvais entendre à travers certaines portes me prouvaient bien que le gain de l'entreprise ne se limitait pas à la simple vente de jouets sexuels pour femmes insatisfaites et autres amateurs de BDSM. Je continuais mon chemin, profitant de ces divers bruits pour couvrir le bruit de mes pas. Je courrais sur la pointe des pieds, les jambes toujours fléchies pour rester sur le qui-vive. J'avais bien raison, quand j'observais dans le couloir que deux hommes gardaient l'escalier menant au deuxième. Je réfléchis à une solution, le problème était bien simple à résoudre. Je revenais sur mes pas et ouvrait chaques porte où je n'entendis pas de bruit. La première fut un placard, la deuxième une salle vide, la troisième fut la bonne alors qu'une néko en sous-vêtements et tablier s'y trouvais. Avant même qu'elle ne put crier quoi que ce soit, je l'attrappais de mon bras, le refermant sur son cou et ma main gauche allant chercher mon arme pour la placer dans la bouche de l'hotesse (ou soumise qu'est-ce que j'en sais moi...). J'approchais ma bouche de son oreille et parlait à voix basse.

Je sais très bien que tu ne veux pas mourir aujourd'hui... alors tu vas me rendre un petit service

Une fois mes instructions dites, la néko en fut étonné, surement parce qu'elle devait s'attendre à ce que je la viole... nan un autre jour peut-être. Le taf n'était pas lié au divertissement. Elle sortait alors de sa chambre et allait chercher les deux gardes. Mes instructions furent qu'elle fasse du charmes à ceux-ci pour me les mener dans un piège où je constituerais les dents d'un mécanisme simple et fatal. Je pris le stylet que je cachais sous ma chemise. Le plus souvent je n'utilise guère d'armes blanche pourtant cette fois cela allait s'avérer être utile pour éliminer les cibles sans alerter les autres avec le bruit de détonation de mes deux flingues. Le stylet était peut-être la seule arme blanche qui puisse me convenir. Un poignard à la lame triangulaire très fine pour ainsi provoquer des blessures profondes et difficile à guérir. Je me cachais dans un coin de la pièce, un angle mort afin de profiter du moment (aussi court soit-il) de l'effet de surprise. J'entendis la porte s'ouvrir ainsi que le gloussement des deux abrutis. Je serrais le poignard dans ma main droite. Et me ruait en deux pas rapide vers le premier en lui plantant la lame dans la carotide. Une fraction de seconde me permis de retirer violemment la lame et de lui ouvrir le cou. Je fis alors vite une entaille profonde au deuxième homme avant que celui-ci ne se mette à crier. Au final, deux corps étaient affalés devant la sortie de cette chambre, couvert de sang et n'ayant pas fini de se dévider de cette substance. Je balançais ces corps dans un coin avant d'essuyer ma lame avec un mouchoir et sortir de cette chambre pour descendre au dernier sous-sol. Je m'approchais de plus en plus, je le sentais. C'était limite que je n'en salivais à l'idée de me débarasser de ce type.

Bordel! On ne peut plus compter sur ces hommes! Encore à s'envoyer des nékos j'imagine.

J'entendais cette voix geignarde en haut de l'escalier se rapprocher de plus en plus. Je me ruais alors à travers les couloirs, me rappellant des instructions de l'ex-larbin. Deuxième couloir à droite puis porte au fond. Or un petit imprevu me forcera à faire un arrêt. Le deuxième type qui m'avait intercepté alors que j'avais fait la transaction avec la néko apparaissait face à moi. Je dû m'activer dans mon plan de secours. Je fonçais sur lui et lui donnait un coup de poing dans le ventre en remontant au diaphragme. Le cri fut étouffé et le plaquait contre un mur. Celui-ci se cambra sous l'effet de la douleur, j'en profitais pour poser deux doigts sur sa gorge avant de lui enfoncer mon stylet dans la nuque, mes gants frottant la lame pour y recueillir le sang avant de s'écouler. Je libérais une main pour ouvrir une porte et me planquer avec le corps. J'entendis peu après, le bruit de ces pas dans le couloir et le déclic d'une serrure... me précipiter vers son bureau aurait été bien dangereux et compromettant tout mon plan. J'attendais d'autre bruits de pas pour comprendre que les gardes qui l'accompagnaient devaient prendre la relève des deux que j'avais envoyé au septième ciel. Désormais le spectacle allait commencer.

Kimiyo s'était assise pour réfléchir. Elle sortit son carnet à dessins pour contempler l'ange qu'elle avait dessiné le matin même. Une larme coula sur sa joue et tomba sur la feuille. Kiyo l'essaya aussitôt pour ne pas abîmer son dessin. Après quelques minutes, elle rangea son carnet dans sa robe et se leva pour respirer un peu. Elle pleurait toujours, silencieusement. Sèchant ses larmes les unes après les autres. Kimiyo entendit des bruits de pas. Elle respira profondément. S'attendant à voir entrer le propriétaire. Rien, personne. Elle avait du rêver. C'était ça, Kiyo perdait la tête. Elle se rassis. Le silence était insoustnable. Puis, encore des bruits de pas. Cette fois, elle en était sûre. Ils se rapprochaient. Ils étaient nombreux, au moins trois personnes.

Et cette fois, elle avait raison, le propriétaire entra dans la pièce. En voyant les yeux bouffis de la jeune neko, il sourit.

Alors comme ça, on a pleuré ! C'est bien, j'aime voir la peur et la tristesse, ça me mets d'une humeur...

Kimiyo ne bougeait plus, elle avait envie de détourner la tête mais n'y arrivait pas, elle voulait sècher ses larme mais ne put même pas bouger la main. Le propriétaire lui, commença à avancer et tourna autour de la jeune fille. Il hocha la tête plusieurs fois, puis, s'arrêta derrière la neko. Celle-ci se retourna et regarda l'homme dans les yeux. Ils étaient d'un noir profond.

Kiyo se rappela de ce qu'elle devait faire. Elle passa une main dans ses cheveux et tenta de paraître sûre d'elle. Son coeur se mit à battre plus vite. Elle avança vers l'homme. Celui-ci parut content.

Je vois que je t'intéresse...Bien...Bien, continue et tu gardera ta virginité, mais n'en fait pas trop, ça pourrait m'exiter !

Kiyo continua à avancer, de plus en plus près, elle mit une main sur l'épaule de l'homme et le caressa. Elle ne savait pas quoi faire. Se détourner, continuer...

Que dois-je faire ? dit-elle lentement

L'homme répondit Continue... Il mit sa main sur la bas du dos de la neko et l'autre sur un de ses seins Voilà

Kiyo pris peur et recula un peu mais changea d'avis aussitôt. Son geste n'a pas eu l'air de déranger l'homme. Pendant que les secondes s'écoulaient, le propriétaire continuait à s'amuser tandit de Kimiyo pensait au maître qu'elle avait eu pendant à peine une heure. L'épisode de sa mort tournait en boucle dans sa tête. Et la neko ne croyait toujours pas qu'il se soit laisser tuer aussi facilement. Tout c'était passé si vite...

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Au bout de quelques minutes je sortai de ma cachette. Personne aux alentours. Je m'approchais de la porte à pas de loup et y tournait légèrement la poignée pour faire le moins de bruit possible, de plus je pouvais entendre l'homme parler à l'intérieur ainsi qu'une réplique pour le moins maladroite de ma néko. Poussant très légèrement la porte pour éviter un quelconque grincement je regardais ce pauvre type en train de plotter celle qui me servira de domestique. Au moins elle semblait avoir gardé sa virginité depuis comme je le lui avais promis... mais cela n'allait pas tarder si je n'agissais pas maintenant. La seul chose qui allait me poser problème était de savoir comment j'allais le cuisiner pour y poser ma marque de visite. J'avais ma petite idée. J'ouvris complètement la porte et vivement allait lui attraper le cou alors que celui-ci se concentrait exclusivement sur la néko. Mon seul sourire alors tranchant pouvait apparaitre dans cette lumière comme l'ombre d'un débauché ou d'une âme errante au vague souvenir de la joie. Le type n'y compris rien, après tout j'étais le démon personnifié, le tueur à gage le plus recherché. Je le balançais de l'autre côté de son bureau, serrant bien son cou pour ne pas lui laisser l'occasion de beugler, comme une vulgaire feuille morte. Je tirais l'un des tiroir de son bureau, constatant avec joie qu'il était bourré de jouets sexuels et de divers instruments de BDSM, ma création n'en sera que plus macabre et mon sourire à ce moment n'en fut que trop grand. Je saisi le fouet et frappais la figure de l'homme de toute part à l'aide de cet instrument avant de le balancer dans un coin. Je relevais son piètre corps et écrasais sa figure contre son bureau sans lui donner l'occasion de me voir. Je pris ensuite un godemichet qui trainait dans ce tiroir et le lui enfonçait dans la gorge. Quoi de plus ironique d'avoir ce genre d'instrument dans la bouche quand on est un teneur de ce genre d'endroit. Mon job constituait certes seulement à tuer mais j'avais un préférence pour l'humiliation pour que mes victimes passent mon bonjour au diable. Je le fis agenouiller, et sorti mon arme à feu: un pistolet au canon de 35 cm chargé de balle de calibre .454 Casull à embout perforant. Je maintenais sa tête vers le haut, quite à lui briser la nuque. Alors je tirai une balle qui après avoir franchis l'aorte traversa son corps en quelques seconde le laissant raide mort sur le coup. Son corps agenouillé avait trouvé son juste équilibre vu que lorsque je le lachais il ne tombais point. Je refermais ces paupières. Je ricanais pour ne pas révéler mon véritable rire à la néko qui ne devait pas être restée de marbre face à un tel spectacle. En parlant d'elle... je la regardais, elle semblait être encore apte à être à mon service.

Alors t'as apprécié le séjour? Parce que maintenant tu viens avec moi.

[désolé du retard, la maladie m'a cloué au lit]

•ce n'est rien ^^et, désolée pour le post un peu cours, je ne fais que répèter ce que tu as dit dans le précédent...•

Kimiyo commençait à ne plus avoir d'idées. Elle ne savait pas ce qu'elle devait faire. Elle caressa l'homme avec sa queue tout en avançant. La neko ne se trouvait plus qu'à une dizaine de centimètres du propriétaire. Elle pouvait sentir son souffle. Il ne semblait pas s'ennuyer. Au contraire, apparemment, il s'amusait et prenait goût à la peur et à la confusion. L'homme n'était pas très grand, à peine une tête de plus que la jeune fille. Il n'était pas très musclé et possèdait un gros ventre, sans doute dût à la bière. Il puait la cigarette.

Soudain, la porte s'ouvrit bruyamment, et le temps que Kiyo se retourne, le propriétaire avait déjà été propulsé vers le coin du bureau, poussant la neko contre le mur. Elle mit du temps à comprendre qui était l'agresseur. Tout se passa très vite. Elle put vraiment comprendre la situation au bout de quelques minutes. Tout d'abord, il frappa violemment l'homme contre le bureau pendant quelques temps ce qui permit à Kiyo de vraiment réfléchir sur ce qui se passait. Son maître était vivant ! Il était revenu, pour terminer sa mission, et pour récupèrer sa neko ! Et on pouvait vraiment voir qu'il prenait plaisir à terrifier sa victime et à lui faire voir le diable avant de mourir.

Ensuite, il jeta la victime dans un coin de la pièce et la neko se releva et recula vers la porte en s'efforçant de ne pas regarder. Et puis, contrairement au début l'attaque, tout se termina beaucoup plus lentement. Le maître de la neko posa sa victime agenouillée et sortit un fusil de son pantalon. Quand il tira, la neko, pouvait voir lentement, la balle sortir de l'arme et atteindre la corps qui ne tomba pas.

Le tueur avança vers le corps et lui referma les pauières, ensuites, il se retourna, comme s'il venait de se rappeler que sa neko était là. Il sourit légèrelent et s'approcha de Kimiyo en lui disant :

Alors t'as apprécié le séjour? Parce que maintenant tu viens avec moi.

La neko hocha la tête et avança lentement vers la porte en jetant un dernier coup d'oeil vers le cadavre.

Merci Répondit-elle en souriant tout en se demandant si le moment n'était pas mal choisit. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais se retint.

Et maintenant, qu'allait-il faire d'elle ?

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Je sortais de cette salle, faisant signe à la néko de me suivre. Un autre boulot s'achève et une nouvelle fois je tirais ma révérance dans un meurtre. Je vais finir par croire que trop chercher l'idéal ne vous conduit uniquement à des déceptions. Je m'attendais à un défi d'envergure pour instaurer la crainte des autres en leur offrant la démonstration de mes prouesses de tueur, accomplir des actes qui dépasseraient l'entendement humain, car c'est face à l'absolu que l'humain expérimente quelques traumatismes. Alors comment réagiraient-ils devant l'Inommable? Un sentiment de profonde peur après cela dépend des individus. Désormais le but n'était pas d'être discret mais bien notoire. Je veux que ces microbes sachent au moins ce qu'ils risquent, ne serait-ce que pour me lècher les pied de la pire manière qui puisse exister.

Alors que je quittais le sous-sol, tenant le poigné de la néko pour l'emmener, je sortais mon flingue, le tenant à la main gauche. Je continuais de marcher, tirant sur le moindre obstacle. Chaque gardes passant à porté de tir furent tué. Une détonation violente suivie d'un bain de sang, ce liquide s'échappant de l'énorme orifice que j'avais ouvert à ce moment là. Un trou entre les deux yeux ou encore en plein coeur... ce genre de balle laisse de grosses blessures et donc peu de chances de survie, voire aucune. Les tirs affolèrent les occupants des autres pièces et la plupart foutaient le camp en vitesse, fuyant comme les petits rongeurs le rapace que je fus. Bien sûr ces mêmes tirs attirèrent plus d'hommes de mains... qui périrent à ma seule vue alors que je les visais avec précision. Au bout de cinq minutes nous avions quitté les sous-sols. Je gardais le poignet de la néko dans ma main. Je l'entrainais avec moi via la sortie de derrière pour nous échapper.

Une fois que je l'instalai dans la voiture, je rentrais à mon tour et mettait le contact. Avant de partir sur les chapeaux de roue. Je roulais assez brusquement pour m'évader au plus vite de cette zone qui serait bientôt sur-tension. Une fois assez éloigné je réduisais l'allure. Et prenait le chemin de ma maison.

Au fait, quel est ton nom, néko?

L'homme avait directement quitté la pièce, entrainant la neko en la tenant fortement par son poignet. Il avait l'air déçu du carnage qu'il avait produit, mais sûrement pas pour les raisons que s'imaginait Kimiyo. Son maître la tira à travers les couloir, tirant su tout ce qui bougeait avec une simplicité incroyable ! Kiyo observait la scène en tremblotant, mais sans oser essayer de se dégager. Elle regardait tout le temps derrière elle, ou les corps inèrtent, ou presque, s'entassaient.

Le voyage au sous-sol continuait. A croire que le bureau de l'ancien propriétaire du sex-shop habitait au -20è étage. Au fil du temps, des dizaines de nekos s'enfuiaient en entendant les coups de feux. D'autres, plus courageux, et payés pour, s'attaquaient au maître de Kimiyo, mais, sans succès. Après encore quelques minutes, la neko apperçu de la lumière. Enfin la sortie ! Ils sortirent de l'immeuble. L'homme tenait toujours la jeune fille fortement part le poignet. Le maître se décpèchait toujours et par chance, la voiture n'était pas garée bien loin. Il faisait encore nuit, environ 4 heures du matin.

Après l'avoir installée dans la voiture. L'homme entra à la place du conducteur et se mit à conduire très brusquement pour éviter d'avoir des ennuis avec la police, un fois qu'elle aura été mise au courant du carnage dans le sous-sol du sex-shop. Après avoir parcouru une dizaine de kilomètre dans un silence presque total, le maître finit par demander :

Au fait, quel est ton nom, néko?

Kimiyo, répondit la neko, Kimiyo Kayase

La jeune fille n'osa pas en dire plus et le voyage continuait dans le silence. Cela faisait quelques dizaines de minutes qu'ils roulaient. Se dirigaient-t-ils vers la maison de son maître, ou vers l'animalerie ? Ou pire... Les kilomètres défilaient et une nouvelle ribanbelle de frayeures de de questions se formait dans la tête.

Maître Messages : 99 Date d'inscription : 12/06/2011 Age : 32

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