Satoshi, The Sexy Neko Boy

Descriptions du Personnage

• Description physique :
  
  
  La beauté de l’apparence est seulement un charme de l’instant ; l’apparence du corps n’est pas toujours le reflet de l’âme.
  
  George Sand
  
  C'est un petit neko qui se tient là. Même par sa taille, il en demeure pas moins resplendissant. Du haut de ses un mètre soixante-huit, il sait conquérir les femmes à l'aide de son regard. Humaine comme Neko, les jeunes filles s'y attachent un peu de trop. Satoshi à longtemps éviter de se regarder lui-même dans un miroir. Sa maigreur était pour lui un défaut de taille qu'il ne pouvait surmonter. C'est vrai qu'à en juger par son apparence, il ne devait pas dépasser les 45 kilos. Il s'était pesé, une fois ou deux, mais avait renoncé de peur de découvrir deux chiffres minimes. Il avait ainsi oublié sa ténuité en la transformant en atout. Ce dont-il était le plus fier était son regard. Ses yeux bruns, se modifiant en couleur plus doré lorsqu'un rayon de soleil venait faire son apparition, généraient chez les femmes comme une étrange sensation de désir, à la fois moral que physique. Pourtant, ce neko ne l'utilisait pas à son avantage car, pour lui, un vrai Neko se doit d'être fort et d'aimer son égo. Or, Satoshi ne respectait en aucun cas ses caractéristiques.
  
  Sa chevelure d'un ton blanc reflétait la pureté de son âme. Il les coupait que occasionnellement mais avait la tendance de les gardait mi-long. Il aimait par dessus tout, jouer avec la mèche qui se trouvait entre ses yeux. Celle-ci avait alors pris une allure fouillis tout en lui donnant un style assez coquet. Mis à part ses cheveux, aucun poil de lui poussé autre part. A en regarder ses jambes, il avait une allure efféminée.
  
  Il se vêtait d'habit blanc pour mettre en valeur sa crinière opalescente. Il n'aimait pas la marque mais aimé tout de même gardé son propre style. Parfois même, il bravait de s'habiller avec des couleurs un peu plus flachies ou plus maussades en passant par le style gothique, voir religieux.
  
  
  
  Pour faire bref, Il est :
  
  

  
  Beau
  Rayonnant
  Blanc x)
  Maigre
  Envoutant
  
  
  
• Description mentale :
  
  Comment pourrait-on le dire ? Mentalement ? Hum ... A vous dire vrai, il est plutôt sociable voir très sociable. Il aime par dessus tout avoir des amis et les garder, de préférence. Il est cependant très timide, malgré son allure. C'est sûrement ce qu'il y a de plus touchant chez lui. Il cherche avant tout de l'affection et pas des engueulades à tout va. Un peu lunatique sur les bords, il aime rigoler. Il reste malgré tout un neko mystérieux, peut-être difficile à comprendre de part ces actions, ses pensées, mais son histoire résume bien sa manière de pensée et sa tristesse qu'il garde au plus profond de son coeur.S'amuser et pour lui un point crucial de la vie qu'il ne faut en aucun cas négligé. Il n'attend qu'une chose, qu'une maîtresse pointe le bout de son nez car il est très attaché aux humaines.
  
  

En faite, Il est :

Généreux
Lunatique
Protecteur
Penseur
Sociable

Son Histoire

Un rayon, une lueur. Ma première vision de ce monde était ma sœur que j'aidais à sortir d'un tunnel assez étroit. Déjà toute petite, elle était faible et je me rendis alors compte que j'allais devoir joué le rôle de grand frère, voir de protecteur, toute ma vie à ses cotés. Mikki, c'était le nom de ma mère. Mais ce n'était pas elle qui m'avait donné ce prénom. Ce fut Dai, mon père, qui le choisit. Il me disait que ce nom me rendrait fort mais s'il me verrait aujourd'hui, il verrait bien qu'un nom n'est qu'un nom. Un simple mot banal pour désigner quelqu'un. Mikki avait choisit Yuki pour ma sœur. Ses petites oreilles qui frétillaient lorsque le docteur à la grosse voix discutait avec ma mère. Vous allez alors me dire «  Mais c'est impossible de se souvenir de sa naissance » Pourtant je m'en souviens comme si c'était hier. Moi et ma sœur fûmes alors transportés vers notre nouveau chez nous. On y vivait paisiblement : un vieux taudis fait de taules et quelques cordes . Notre famille était soudée. Lorsqu'un membre avait un ennuie, chacun prenait une part de responsabilité pour l'aider. Hormis ma sœur, Yuki. D'ailleurs, c'était souvent elle qui nous rapportait de mauvaises nouvelles qu'elle avait faites. J'aimais le fait qu'elle me dise tout avant de le déclarer aux parents. Je prenais alors sur moi pour dire leurs dire que c'était moi qui avait créé ses bêtises sans dévoiler la réelle coupable. Je voulais la protéger. Sans moi je pense qu'elle aurait été une petite menteuse. Mais nous vivions heureux ensemble. Nous nous complétions à notre manière d'être.

Pourtant, il fût un jour où le rêve s'arrêta brusquement. Moi et Yuki devions avoir à peu près 10 ans. Une journée chaude comme on n'en avait quasi jamais eu ici. La famille était de sortie au parc. Je me souviens que nous nous amusions à une bataille d'eau et que les parents se tenaient à coté, sur une branche, à nous regarder et rire de nos chamailleries. Nous sortîmes alors, pour prendre un peu de repos. On se suivait toujours. On était inséparable. Le temps de grimper à l'arbre, les parents n'étaient plus là. On descendit alors ensemble afin de les trouver. On se sépara, pour la première fois afin de les trouver. Jouer t-ils eux aussi ? Puis …

Je me souviens encore de ce cri d'effroi. Cet hurlement perçant qui fendit le silence du parc. Je n'osais pas voir se que je voyais. Était-ce un simple cauchemar ? Ma sœur ne bougeait plus, terrifiée. J'aperçus alors deux corps baignant dans leur sang. C'est depuis ce jour, quand je portais ma sœur si faible pour la ramener chez nous, que je lui dis que je la protègerais toujours. J'avais alors stopper toutes paroles. Presque qu'aucun son ne sortait de ma bouche si ce n'est ces quelques mots pour la rassurer. Plus aucun contact avec les humains, nous étions renfermés sur nous même. Ce manque d'amour parentale était de trop.

Voilà pendant 9 ans nous vivions comme cela. La peur, la crainte, l'espoir et les souvenirs qui tournaient dans nos têtes. Jusqu'au jour où la fourrière des Nekos nous prit à courir dans la rue après avoir volé quelques poissons frais du poissonnier. Nous fûmes alors séparés et ma promesse ne se tint plus. Je pleurais chaque jour. On m'avait tout pris. Qu'avais-je donc fait pour mériter cela ? J'attendais alors la délivrance pour la retrouver. Je n'espérais pas être adopté si je ne la reverrais jamais.

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