Je me suis perdu... Quel boulet ! [Pv-> Justice]

Il fait nuit et je me ballade en ville, question de me dégourdir les jambes. Ces temps-ci je n'arrive plus à dormir, probablement à cause du 30ième anniversaire de ma pâtisserie qui arrive bientôt. Lorsque je me promène le soir, j'ai toujours un petit kit d'explorateur sur moi; Une lampe de poche, un peu de trucs à manger, un peu d'argent.. des piles, des mouchoirs.. M'enfin, pas besoin de tout énumérer ce que je traîne dans mon sac ! Je vois un panneau. « Vous nous quittez ? À bientôt ! » Ce qui annonçais ma sortie de la ville. Puis je marchais plus loin et j’aperçus une forêt au loin. Tient, pourquoi ne pas aller y faire un tour , rien que pour s'amuser ? Pensais-je, un sourire au lèvres. J'aime découvrir de nouvelles choses. Pourquoi ne pas profiter de ma curiosité ce soir ? pensais-je une nouvelle fois. Puis je me dirigea vers la forêt en ne prenant pas attention à la pancarte qui se trouvais pas très loin de cette dernière. J'entra, mais comme je suis maladroit, je me suis dit que je me perdrais aisément et que comme en même temps je suis plutôt débrouillard, que j'allais m'en sortir le lendemain matin.

«- Je sais , je suis idiot, mais j'aime bien les défis. »

Furent les mots qui s'adressaient à moi même, comme si j'attendais une réponse de moi même. Je me mettait à marcher vite, parce que je voulais explorer le milieu de la forêt. J'était très curieux et j'avais envie de voir les animaux sauvages qui y traînait. Je me suis dit que sa en vaudrait la peine si je passais la nuit là. Je me souvint que j'avais oublié quelque chose; Mon sac de couchage pour le camping. Bon.. c'est vrai que j'ai pris la décision d'y aller à la dernière minute , mais bon, j'aurais pu y penser avant !.. Tant pis, j'y retourne.. râlais-je , dans mes pensées. Je voulu retourner chez moi, mais plus j'avançais, plus je me perdais. Après un moment , j'ai décidé de m'asseoir pour me reposer. Ça ne vaut pas la peine de t'enfoncer plus loin dans un endroit que tu ne connais pas. Soudainement, j'entendit des craquement de branches.

«- Hého ? Il y a quelqu'un ?»

la journée avait été longue et laborieuse. J'avais passez la matinée a fuir les hommes et mon après midi a chassez dans la foret. j'avais emmener mes deux couteaux de lance et de quoi emporter mes proies. Donc je me baladais silencieusement en attendant de voir un quelconque animal qui puisse me servir de dîner. Malheureusement rien n’arriva et je restait les mains vide sans la moindre chose a me mètre sous la dent. Mais je refusait de rester le ventre vide et resta donc a l’affût au risque de rester toute la nuit dehors.
Quand tout d'un coup un mouvement sur ma droite, Un jeune lièvre était la et mangeait se qui ressemblait de la salade. D'un mouvement fluide et rapide le poignard vola en direction du lapin et lui traversa la tête. Tressautant une dernière fois le lapereau tomba sur le coter. Je le ramassais et le pendit a ma ceinture. ma première prise de la journée et surement être la dernière au vue du soleil qui avais disparut.J'était dans le noir et n'étant pas sur de retrouver mon chemin je décidais donc de passez la nuit a la belle étoile. Je me mis en quête de branche pour pouvoir faire un feu. Ne faisant plus attention au bruit que je faisais. Une branche se brisa sous mon pied et une voix retentit clair et forte, elle devait se trouver approximativement a quelque mettre de moi. je continua un peu et fis un tour sur moi même je remarquais une lumière perçant faiblement a travers les arbre. je m'approcha et vit un homme dd'une vingtaine d'année environ, les cheveux brun. Il était assis au milieu des arbre et semblait perdu. Je m'approchait tout en restant cacher derrière les arbre. j'était pris entre deux envie étrangement similaire le premier simple et efficace consistait a le laisser en plan au milieu de la foret et s'en allez comme si de rien était l'autre était d’essayé de voir se qu'il voulais. Je n'était pas vraiment d'humeur a parler avec un humain et encore moins a l'aider mais mon coter trop curieuse reprenait le dessus et je ne pus m’empêcher d'ouvrir la bouche en sortant de ma "cachette" (si on peut appeler ça comme ça).

-Tout dépend de qui tu parle en utilisant le mot "quelqu'un" car si c'est un homme que tu cherche je ne suis pas vraiment dans le critère demandé.

Lorsque la personne fit face, je ne fut pas surpris; Une hybride. Je lui souriais, naïf. Eh bien, je suis heureux, au moins je ne suis pas le seul à s'être "Perdu" on dirais. Je me levas lentement sans m'approcher, de peur qu'elle ne s'en aille. Puis, je pris ma voix la plus douce, question de la rassurer à mon sujet, car dans la tête de tout les demi-chats, nous somme tous les même et bla bla bla..

«- Je considère les hybrides comme des êtres normaux. Alors oui, tu est quelqu'un. Dis-moi, tu n'a pas faim ? J'aurais un truc pour toi au cas. »

Dis-je , en sortant de mon sac un sandwich bien garnis de viande froide. Puis je lui fit signe de se rapprocher, tout en sachant qu'elle pourrais s'en méfier . Mais bon, pourquoi ne pas tenter sa chance ? Sa sert à quoi de rester là sans essayer de se faire de nouvelles connaissance ? Cette Hybride m'a l'air très méfiante, mais je sais que je ne suis pas méchant, elle le découvriras. J'avança et mis le sandwich sur une pierre, près d'elle en reculant pour qu'elle puisse le prendre.

«- Tu peux prendre la viande. Je m'appelle Marc. Quel est ton prénom ? »

Puis je pris un autre sandwich, parce que je commençais à avoir faim. Ça devait faire quelques heure que je me suis perdu. Puis je pris une bouchée, puis deux, puis trois... Après sa , je le remettais dans son emballage, car c'était tout de même bourrant avec toute la viande qu'il y avait !

«- Je me suis perdu, quant à toi, tu te sauve de qui ? De la fourrière ? »

Demandais-je, curieux. J'en demandais beaucoup, mais j'adore parler , je suis une vraie pie, quand je commence, je ne m'arrête plus... Je lui souriait toujours, mais il commençait à faire froid, je n'avais pas de chandail pour me réchauffer , alors je ramassais des branche et des feuilles et je l'allumais avec un briquet qui traînait dans mon sac.

«- Profites-en si tu veux faire griller ton lapin et te réchauffer, il fait froid maintenant. »

« -Comment tu as fais pour te perdre... tu n'est pas du tout équiper pour une nuit a la belle étoile... d'un autre coter moi non plus. Tu voudra quel morceau ?
- Bah, J'avais oublié quelque chose chez moi, Ma tante comprise. Je lui souriais , refusant sa proposition C'est à toi, c'est toi qui l'a chassé, moi j'ai encore une boîte congelée avec quelques trucs à manger. Quand il feras jour je pourrais retrouver mon chemin.»

Au début, cette hybride avait l'air très distante, mais finalement, en l'analysant mieux, elle a l'air sociale. Je voulais lui demander pourquoi elle était comme sa mais je n'ai plu besoin de lui demander puisque ce n'est plus le cas. Finalement, mes tranches de viandes méritaient d'être cuites, donc je suis allé faire comme elle; Chercher une branche d'arbre pour les faire cuire dessus.

«- Ça fait combien de temps que tu vis dans la forêt ? »

Questionnais-je Justice. Je lui souriait toujours en entendant les branches titiller à cause de la chaleur. Puis mes tranches de viandes furent grillées. Je voulu en manger un peu en soufflant dessus mais c'était encore chaud, donc je les posais sur un contenant de plastique qui est sur mes genoux. Je regardait le feux danser pendant que j'attendait sa réponse.

«-En faites, tu fais quoi dans la vie ? J'ai cru sentir une légère odeur de sucre.
- Je suis pâtissier, ma spécialité c'est les pains-gâteaux. J'en ait un si jamais tu veux y goûter. »

Je lui souriait et pris une tranche de ma viande en m'assurant qu'elle n'était plus trop chaude. J'avais une faim énorme, mais probablement pas plus qu'elle. Je pris une bouchée. C'était meilleur cuit que cru. Bref; Je mangeais et je posais quelques fois mon regard sur elle, puis dirigeais mon regard vers ce que je faisait après. Justice avait l'air de bien apprécier la viande du lapin. Mais moi, je n'aime pas trop sa , en plus qu'il y a des hybrides à demi-lapins , c'était comme si elle mangeait un de ses semblables. Je me secoua la tête. Oublis ce que tu viens de penser, idiot. Je lui posais une question, pour me changer les idées, ou même les replacer.

«-Te méfies-tu de moi ? Parce que sa se vois dans tes yeux. »

Je posais mon regard sur ma viande et finissais la tranche que j'avais dans les mains. Mh, oui , pas mal cette viande, je préfère sa. J'attendait qu'elle réponde en entendant des criquets chanter. Ce bruit m'agaçait et j’espérais ne pas dormir avec ses imbéciles d'insecte à la noix.

Je n'aime pas spécialement les gâteau et je ne répondit pas a sa proposition j'était plus concentrer sur le cuisseau que je tenais entre les mains... je savais que je ne pourrait pas tout manger et il faudrait que je les fasse sécher. J'essayer d'enlever les question parasite de mon esprit pour me concentrer. Il était en face de moi et la phrase qu'il prononça me figea.

-Te méfies-tu de moi ? Parce que sa se vois dans tes yeux.

Mon coeur manquât un battement, c'était si visible que ça. j'était gênée qu'il m'ai percée a jour et le rouge me monta au joue. Que faire ... Que faire ?! ma queue fouettait l'air derrière moi. j'était extrêmement embarrassé. en évitant de croiser nos regard je répondit en bagayant.

-N...nan je... c'est pas.. c'est pas ça... Enfin.. je...

ma façon de parler maintenant me paraissait disproportionner et aussi idiote. Je me mordis violemment la langue. Ce geste, bien qu'il soi douloureux, me remis les idée en place et je répondit plus sereine, le regard farouche.

-En faite c'est exactement ça malgré tout les efforts que je fais je n'arrive pas a te voir autrement que comme une personne qui pourrait être gentille car tu es Humain... H.U.M.A.I.N.

Je respirait un grand coup et le regarda droit dans les yeux. voila j'avais dévoilé ma pensé et je me trouvait tout d'un coup calme.

«- N...nan je... c'est pas.. c'est pas ça... Enfin.. je... En faite, c'est exactement ça malgré tout les efforts que je fais je n'arrive pas a te voir autrement que comme une personne qui pourrait être gentille car tu es Humain... H.U.M.A.I.N.
- Oh je vois...»

Je n'arrivais pas à cacher ma gêne, ce qu'elle disait me blessais quelque peu. Calme-toi, respire, et ne la regarde plus. Pensais-je. Ne lui manque pas de respect en la regardant. continuais-je. Il se faisait tard, mes paupières étaient lourdes et je me suis dis que je n'allais plus tenir très longtemps. Je regardais mon inventaire dans mon sac pour voir ce que je pourrais me "Construire" comme abris, car je commençais à percevoir un signe d'humidité.

«- Alors si jamais cette nuit tu n'est pas loin et que tu as une quelconque peur, je comprendrais si tu m'attaquait.»

Puis une goûte d'eau fraîche tombait sur mon nez, puis dans mon cou. J'avais une toile de plastique bleu dans mon sac que j'avais oublié d'enlever. Je la sortait en fit un abris , afin de pouvoir me couvrir et abriter la jeune Hybride, si elle en avait besoin. Il commençais à pleuvoir des cordes mais j'avais mis la toile un peu au dessus du feu. Elle nous recouvrait, comme une tente de camping, mais sans son confort.

«- Il y a une chose que je veux te dire ; Si tu veux rester ici toute la nuit, tu en a le droit, car je crois qu'il va pleuvoir jusqu'à demain. »