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Nom : Caym
Prénom : Belial
Âge : 28ans
Orientation : Bisexuel, préférence pour les hommes.
Moyens : Plus élevé que la moyenne, sans être riche.
Métier : Psychologue.
Physique :Je suis un humain. Un humain aux cheveux bleus, certes, mais un humain. Les colorations ne sont pas là pour faire jolies, et j'en ai usée un bon nombres sur ma personne. D'ailleurs mes cheveux sont coupé d'une façon particulière, chez un coiffeur tout aussi particulier. Je ne me verrais pas aller me faire couper les cheveux chez quelqu'un d'autre que Boris, seul lui sait exactement ce qu'il me faut. Ils sont donc globalement court, effilé laissant plusieurs mèches bien définies se balader sur mon crâne, puis plusieurs longue mèches descendent le long de ma nuque, les plus longues mesurant environs une cinquantaine de centimètres. Ils sont très bien entretenu, doux et soyeux à souhaits, faisant un bon nombre d'envieux. Pour cette couleur bleuté, je l'ai choisis car elle correspond parfaitement à mon teins, un teins digne d'un vampire. J'ai la peau blanche tel du marbre. Aucun défaut ne se laisse voir, et je n'ai jamais été la proie de l'acné ou autre chose infâme de ce genre. Mes yeux sont de la même couleur que mes cheveux, tout aussi bleu. Mon regard se fais toujours perçant, sondant votre âme, vous rendant parfois mal à l'aise à vous en faire détourner les yeux. Mes cils sont plutôt long, ce qui me donne une once de féminité. Pourtant mes lèvres sont glaciales, aussi glaciale que de la glace, et lorsque je me laisse aller à vous offrir un sourire des plus malsains, mes deux canines se laissent voir, brisant cet air féminin pour le remplacer par un air démoniaque, vampirique, qui vous glace les os. Je possède également trois piercing sur mes lèvres, deux serré à gauche, et labret décalé droit. Tous sont des anneaux de couleur métallique, anneaux que l'on retrouvent aussi sur mes oreilles, chacune bordé de deux piercing au lobe, l'un remontant un peu plus vers le haut, ainsi qu'un autre au cartilage, seulement sur l'oreille gauche. Cela a le dont de m'attirer le regard de quelques curieux. Je suis quelqu'un de grande taille, mesurant dans les mètres quatre vingt, je dépasse la moyenne des japonais. Cela doit venir de mon coté russe. J'ai un corps muni d'une ossature fine, ce qui me donne cet air frêle. Néanmoins je peu me permettre de dire que je suis musclé, certes pas aussi « armoire à glace » que le gagnant d'un concours de body-building, mais j'ai ma propre petite musculature. Assez pour calmer avec facilité des personnes qui m'agresserait. Mes muscles sont d'ailleurs assez voyant, bien que je me montre rarement dévêtu en compagnie de quelqu'un. Non pas que je sois pudique, mais je n'en vois pas l'utilité. J'ai d'ailleurs la chance d'être partiellement imberbe, sans doute parce que je suis blond, sous ma coloration bleu. Au niveau vestimentaire vous me verrez souvent habillé de la même façon, surtout si je vous côtoie au statut de patient. J'aborde généralement une simple chemise blanche, recouverte d'un simple costume noir, comme ceux que l'ont porte aux enterrement, pour vous donner une idée. Mes chaussures sont des plus simple, également de couleur noir. En dehors de mon travail j'ai à peu près la même tenu, mais il m'arrive d'avoir un style un peu plus décontracté, retirant la veste de mon costume, défaisant les premiers boutons de ma chemise.
Caractère :Mon caractère est le vice.
Lorsque je suis à mon travail, vous ne verrez qu'un masque. Une personne qui vous écoute, vous délie la parole pour faire sortir toute cette souffrance qui émane de vous. Je serais la personne a qui vous pourrez tout dire sans craindre d'être jugé, sans craindre que je vous mette à la porte. Je prends mon travail très au sérieux, et n'aime pas que l'ont doute sur mes talents de psychologue. Lorsque je sors du cadre professionnel, je suis une toute autre personne. Mon air calme et serein quitte ce visage auquel vous faites confiance. Vous savez pourtant, rien qu'à mon attitude, que je suis quelqu'un de dangereux, quelqu'un de fourbe et de cruel, qui n'hésitera pas à vous mettre à nu devant un public s'il le faut. Quelqu'un à la domination extrême qui vous fera pleurer de douleur, vous humilia autant mentalement que physiquement, et pourtant vous m'approchez. Je suis le vice, et je vous attire. Je suis très distant, ne m'attachant pas à quelqu'un, vous n'êtes que des jouets pour moi, et je sais en profiter. Je ne supporte pas les personnes puériles, immature. Je ne rentre jamais en colère, sachant parfaitement me contrôler, je sais jouer de ma personnalité, montrer plusieurs facettes, pour me sortir de situations qui ne me plaisent pas.
Histoire :Naissance :
Mon histoire débute en Russie, lieu ou mon père à rencontré ma mère. Il y allait pendant six mois pour un simple voyage d'affaire, et rencontra ma mère lors d'une réunion entre les deux entreprises souhaitant faire échanges d'articles, en plus d'avoir mon père comme aide pendant ce laps de temps. Il s'hébergeait dans un hôtel, avant que ma mère fasse le premier pas vers lui, lui proposant d'habiter chez elle pour lui faire faire des économies. Excuse légèrement bidon, sachant que le voyage de mon père était entièrement financé par l'entreprise dans lequel il était employé. Il accepta tout de même sa proposition, et vécu donc chez elle durant six mois. Durant ces six mois leurs relations avaient beaucoup évolué, découvrant rapidement qu'ils étaient l'un et l'autre attiré. Ils furent fiancés dans les six mois, et ma mère tomba enceinte deux mois avant que mon mère finisse son contrat de six mois en Russie. Inséparable, ma mère laissa tomber son entreprise pour rejoindre celle de mon père, et ainsi le suivre au japon. Elle fut placé en congé maternité trois mois avant que je naisse. Je naquis le quatre décembre, une journée ou la neige avait décidé de s'écrouler sur le japon, l'ensevelissant sous un mètre complet de sa texture. C'était un dimanche, mon père qui ne travaillait pas avait abandonné l'idée de l'emmener à l'hôpital, et téléphona en urgence à un hôpital pour avoir des conseils. Il s'est apparemment débrouillé comme un chef, vu que je suis là, bien en vie, et en parfaite santé.
Enfance :
J'avais atteins l'âge de cinq ans, et j'étais un enfant des plus curieux. J'avais mes séries favorites à la télévision, elle se caractérisaient toutes comme policière, intrigue, meurtrière. J'arrivais à trouver facilement qui était l'assassin, riant à cœur joie dès que je voyais les proches pleurer ou bien même une scène de torture, ou lorsque les policiers questionne un suspect. Cela me fascinait. Lorsque j'étais à l'école, j'arrivais toujours à être premier de la classe sans fournir beaucoup d'effort, à la grande joie de mes parents. Je comprenais doucement le cours de la vie, observant dès mon plus jeune âge que les préjugés était partout présent. J'étais le seul blond aux yeux bleu de mon école primaire, et je n'avais que très peu d'amis. Certain me trouvaient étrange, d'autres m'enviait, ne supportant pas d'être moins bon que moi. Les enfants une un esprit de concurrence très élevé … Et les lèvres bien pendue. Je restais pourtant assez discret, me plongeant dans l'apprentissage des lettres et de la parole.
Adolescence :
J'abordai fièrement mes pauvres petits 14ans, j'étais rentré dans un collège de bonne renommé, faisant la fierté de mes parents. J'avais pris pour habitude d'observer un bon nombre de personnes, sélectionnant ceux à qui je pourrais parler sans avoir des problèmes. Je savais déjà ce que je voulais faire plus tard, psychologue. Le cerveau humain me fascinait autant qu'il me fascine aujourd'hui. Comme dans mon école primaire je restais toujours en tête de liste des meilleurs élèves. J'eus d'ailleurs quelques embrouille avec les jeunes de mon âge, mon attitude froide et dédaigneuse avait tendance à les agacer, d'autant plus que contrairement à eux je consacrais du temps à mes études, au lieu de fumer et de me battre. C'est simplement à l'un de ses petits incidents que je découvrit mon penchant sadique. Un des adolescents de ma classe, Shigure, me prit à part, pendant que j'étais en train de me laver les mains dans les toilettes. Il m'attrapa par le col de ma chemise, me plaquant contre le mur, me menaçant de me battre à mort si je n'arrêtais pas d'avoir cet attitude, et si je ne faisais pas chuter mes résultats scolaire. Je lui répondit d'un sourire glacial, et ce dernier avait du mal le prendre. Son poing atterri sur ma joue, laissant une petite trace rouge, et mon regard bleuté se releva sans faiblesse sur lui. Il avait l'air toujours aussi agacé, mais un peu désemparé de me voir réagir avec si peu d'agressivité. Sa main s'empara de mes cheveux blond pour me tirer le visage en arrière, déballant une nouvelle série de menace et d'insultes. Je fermais les yeux le temps de sa prise de parole, puis les rouvraient, sans me débattre. « Laisse-moi deviner … » Commençais-je d'un ton sombre, un léger rictus sur les lèvres. « Tu m'envies parce que je réussis mieux que toi, tes parents doivent surement te comparer à moi, te poussant à bout pour que tu révises et prenne en main ton avenir … Ce trop plein de pression te fais me haïr, mais je suis certain que je t'obsède tout autant. » Le brun ouvrit de grand yeux, et relâcha ma chevelure doré. J'avais apparemment visé juste, simplement en parlant de théorie. Mon regard se fit plus malsain, et ma langue passa lentement sur mes lèvres, déjà orné de deux piercing. « Ce n'est pas du tout ce que tu crois … » répliquait-il sur un ton incertain. « Alors pourquoi passes-tu ton temps à m'observer en cours ? Tu n'es pas très discret. » Son visage vira au rouge, et mon sourire s'agrandit. La sonnerie signalant que nous devrions retourner en classe retentit, et il s'enfuit en vitesse.
Peu de temps plus tard, il revient me voir, déblatérant à nouveau des menaces. Il voyait pourtant bien que je ne le prenais pas au sérieux. Cela devait simplement lui plaire, que je lui dévoile la face. Son petit coté rebelle m'amusa ensuite, peu à peu il s'approchait de moi, jusqu'au jour ou il ne pu résister à l'appel charnel, m'embrassant dans la cour entre deux buissons. Je fus satisfait de le voir souffrir ainsi. Il avait l'air tiraillé entre la haine et l'attirance qu'il avait envers moi, et j'accentuais ce sentiment à chaque fois que nous nous voyons. Je me plaisais à le torturer moralement. Bientôt je passais à l'étape corporelle. Deux ans plus tard. Je le retrouvais dans le même lycée que moi, et j'avais désormais seize ans. Le hasard nous réservent bien des surprises, car nous étions à nouveau dans la même classe. Je l'observais, résister à l'envie de venir me voir. Cela dura presque un mois. Il rougissait à ma vue. Mes cheveux étaient devenu bleu, et cela n'avait pas l'air de lui déplaire. Viens un jour ou je le coinçais contre un mur. « Pourquoi me fuis-tu ? » lui lançais-je alors. Celui-ci me répondit en un fougueux baiser. « Viens chez moi, ce soir. » disais-je sur un ton approchant l'ordre. Il savait ou j'habitais. J'en avertissais mes parents, qu'un ami viendrait passer la nuit à la maison. Me voyant comme un élève modèle sans aucun vices, ils acceptèrent. Durant ces deux dernières années un bon nombre de personnes étaient passé dans mon lit, aussi bien homme que femme. Maintenant, c'était son tour. Ce qu'il fit. Il arrivait, un air visiblement stressé et anxieux se lisait sur son visage. Je l'accueillais, puis le fit monter dans ma chambre. Il avait l'air d'en mourir d'envie. J'avais bien flairé ma proie, c'était un parfait objet sexuel, et je lui faisais subir les pires vices. Je répétais de nombreuses fois ce traitement sur lui, sans pourtant m'attacher à sa personne. Je le faisais pleurer de douleur, et cela me plaisait, me faisais frisonner, faisait vibrer mon âme. Ce petit jeu dura jusqu'à la fin de mon lycée. Shigure partit en Amérique poursuivre ses études, et je ne chercha pas à avoir de ses nouvelles.
Je fis ensuite le nombre d'études nécessaire pour obtenir un bon niveau en psychologie. Tout dans mon entourage ce passait pour le mieux. J'attirais le nombre de jouets qu'il me fallait, satisfaisant mes pulsions sadiques à volonté. Une fois mes études finie, ayant fais beaucoup de stage dans le monde professionnel et m'ayant fais connaître assez rapidement par d'autres grand psychologue, ces derniers me donnèrent les clés pour pouvoir ouvrir mon propre cabinet médical. J'avais quitté le domicile familial à l'âge de mes vingt ans, et je changeais encore d'appartement, en prenant un dans le même secteur que mon cabinet. Mes anciens patron de stage détenaient mes cartes de visites, et les clients ne tardèrent pas à affluer.
Hé, toi, t'es qui au fait ?
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