Alyséa Neko Rebelle
Messages : 268 Date d'inscription : 28/03/2011 Age : 32 Localisation : Entre les cuisses d'Akihiko.
| Sujet: Alyséa. La renaissance. Lun 27 Juin - 13:52 | |
| Nom & PrénomPrénom : Alyséa. Âge : 19 ans. (25 janvier) Orientation : Homosexuel. Classe : Libre. Physique :Ton corps parfait, tes courbes et ta minceur, tu en prenais tout le temps soin. Tu n'as jamais gâché ta beauté de Dieu Grecque, a toujours pris soin de toi au summum du possible. Pourquoi tu en ferais autrement ? Tu sais pertinemment que tu es magnifique. Tu t'en vantes. Tu l'aimes. Les autres t'aiment, mais ils ne t'aiment peut-être pas pour ce que tu es. Là encore, tu le sais. Ton corps est plus attirant que ton caractère de merde. On t'as toujours trouvé élégant et gracieux dans tes mouvements, tes oreilles et ta queue de félin te rendant encore plus séduisant malgré que pour les humains tu sois un monstre, une bête de foire qu'on apprivoise. Sauf qu'on ne t'as jamais apprivoisé, qu'on as jamais réussi à le faire. Tu as beau errer, tu adores ça et tu aimeras toujours ça. C'est mieux que de vivre dans une maison ridiculement bien meublée et des ordres à tout bout de champ. Les ordres que tu n'as jamais aimé. Alyséa... on t'as toujours trouvé grand, tu aimes être grand d'ailleurs. Ton mètre quatre-vingt fait ta force, ton plaisir. Tu regardes de cette façon les gens de haut. Mais tu te fais aussi facilement remarquer. On aime aussi beaucoup tes cheveux grisonnant (que tu aimes coiffer en mettant une queue de cheval sur le coté ou un simple chignon), te faisant comparer à un vieux neko par les enfants. D'ailleurs, tu n'as jamais aimé les enfants, mais tu arrives très facilement à les supporter. Et puis ces yeux, là. Ces yeux dorés qui transpercent, tuent et séduit. Ces yeux, tu aimes beaucoup t'en servir et tu aimes beaucoup les regarder. Chez les autres aussi tu ne fais presque attention qu'aux yeux. Sauf si la personne à de belles courbes elle aussi. Avec tes yeux, tu amènes les gens dans ta tanière où ils peuvent faire ce qu'ils veulent. C'est ça, le pouvoir de l'attraction et tu en es l'heureux détenteur naturel. Ta façon de t'habiller ne regarde que toi. Tu met du gris aussi souvent que possible mais tu aimes les couleurs. Ce qui flashe, tu aimes. Ce qui colle au corps, qui montre tes courbes et ton physique de tombeur, tu aimes aussi. Tu aimes aussi beaucoup les sweat. En hiver tu en met souvent mais l'été tu es un peu dégoûté de ne pas pouvoir à cause de la chaleur étouffante. Mais tu fais comme tu peux, de toutes façons on t'aime comme ça. Caractères :Alyséa, au fond, il est pas compliqué. Il est comme tout le monde, il a un caractère à lui mais simple pourtant. C'est difficile de se faire à son caractère tellement il est assez... trempé dirons-nous. Mais pourquoi, pourquoi est-ce qu'on ne t'aimerais pas, hein ? De toutes façons on ne fait que se baser sur ton physique. Ton caractère importe peu, Alyséa, pour beaucoup de gens. Mais toi il t'importe, tu l'aimes et jamais tu ne le reniera. Tu as appris à vivre avec et ce sera toujours comme ça. Tu es quelqu'un de très patient. Les enfants, tu ne les aiment pas mais tu adores leur faire plaisir. Tu les supporte, tu fais ceux qu'ils veulent mais au fond tu râles énormément. Parce que ça ne te plait pas, l'arrogance des enfants. Et puis tu aime la fête, on te qualifie très facilement fêtard vu ce que tu fais. Tu aimes t'amuser même si tu ne le fais pas vraiment souvent et que tu es un gros moqueur, donc tu te fais souvent rejeter. D'ailleurs, Alyséa, arrête de te moquer des autres, c'est malsain et méchant. Mais bon, tu es quelqu'un de sérieux alors on te pardonne très souvent. Tu sais te faire pardonner, n'est-ce pas. Avec ta tête de chien battus et tes yeux de merlan fris. Et de toutes façons, on t'aime alors... Mais tu es narcissique. Tu aimes ton visage, tu aimes ton corps, tu aimes tes courbes. Tu t'aimes toi-même et tu as peur de t'abîmer, souvent. C'est malheureux, tu t'empêche de vivre. Tu te bat autant de fois que c'est possible pour avoir ta nourriture et tu t'abîme. Tu n'aimes pas ça mais tu doit le faire, sinon tu crèves. Par contre, qu'est-ce que tu es égoïste ! Tu ne partageras jamais rien, ton trésor est ton trésor. Tu n'aimes pas prêter (sauf tes clopes), n'aime pas donner et si tu trouves quelque chose tu serais prêt à le manger pour le garder avec toi. Et le matin tu es grognon. Trop grognon. Tu trouves toujours quelque chose de méchant à lâcher. On n'aime pas ça, tu le sais mais tu ne peux pas t'empêcher de continuer. Alyséa est nymphomane, hein. Tu aimes le sexe comme tu aimes manger du poisson frais ou te rafraichir dans de l'eau gelée en été. Tu baises souvent. Espèce d'animal. Tout le monde déteste que tu sois rancunier. Peut-on dire quelque chose, tu te vexe, tu grognes et tu en veux directement à la personne. Un "Alyséa t'es chiant" peux péter ta journée. C'est pur, c'est simple et ça te ronge parce que tu n'aimes pas ça du tout. Comment fais-tu pour vivre comme ça ? Grâce à ta gentillesse. Parce que malgré ta froideur, tu es gentil et agréable. Tu parles de tout et de rien, rigole et fais plaisir. Tu es tout simplement adorable. Mais tu es nerveux et colérique, prêt à taper dès que tu en as l'occasion et qu'on te cherche tout simplement. Alyséa, il faudrait que tu arrêtes de te battre. Mais tu ne veux pas. C'est toi ou c'est ton caractère qui ne veux pas changer ? Enfin, tu es sage. Prêt à aider et à faire la morale. C'est tout ce qui compte, n'est-ce pas. Alyséa... tu veux une pomme ? Histoire :─ Raconte moi ton histoire ! ─ En quoi ça t'intéresse, hein ?
"Would you take a straight and narrow critical look at me ?" Tu as toujours été comme ça, tu ne voulais jamais rien raconter. Tu sais que les gens veulent en savoir un minimum sur toi avant d'entamer une relation. Mais tu te renfermes, parce que ton passé te dégoûte. Mais tu sais quoi ? Moi je vais le raconter. Rien que pour t'emmerder. Et puisque tu n'aimes pas qu'on t'emmerde, tu vas me le faire évidemment regretter ensuite. Tant pis, je m'attends à tout. Mais ta vie n'est pas aussi terrible que tu ne le crois. Tu t'amuse à dramatiser les choses dans ta tête. En réalité, tu ne sais même plus réellement ce qu'il s'est passé dans ta vie. Tu sais juste une seule vérité : tu es né de deux parents nekos qui se sont fait attraper par la fourrière juste quelques mois après ta naissance. Tu ne savais pas te débrouiller et heureusement que les vieilles dames sont presque aveugles à partir d'un âge très avancé. Ce que tu ne sais pas c'est qu'elle pensait que tu étais un chaton. Elle te nourrissait comme un chaton, te traitait comme tel et à cause de ton absence de poil au niveau de ton dos et ton abdomen, elle pensait que tu avais eu un accident qui ne les faisaient plus pousser. Quoi qu’au début, elle te pensait tondu. Tu comportais comme un vrai chat lorsque tu étais gosse, mais tu ne t'en souviens pas. Vers tes cinq ans, tu t'es rendu compte que tu ne pouvais plus faire comme cela. Tu étais un humain à l'extérieur. Tu sortais sur tes deux pieds et plus sur tes quatre membres. A l'intérieur tu restais le chaton de Gertrude, et elle t'entretenait avec toujours autant d'amour jusqu'à ce qu'elle décéda. Tu avais beaucoup pleuré à l'époque, tu ne t'en souviens même pas, sale animal. Cette mémoire sélective aura tué tout ton être. Autant, si elle n'était pas comme ça, tu aurais pu avoir un caractère différent, être une toute autre personne. Mais tu es ce que tu es, maintenant. Quand la vieille dame est morte, tu es resté un moment chez elle jusqu'à ce que la maison soit vendue. Tu vivais bien lorsqu'elle étais vide. Tu avais toujours ta propre chambre. Celle qu'elle avait laissée vide pour une quelconque visite de ses petits enfants, elle te l'avais raconté. Mais tu n'avais jamais vu personne. Même pas après sa mort. Personne pour récupérer les affaires. Le voisin tout - aussi vieux - avait fait l'effort de venir puisqu'il était assez proche de la dame. Tu t'étais caché dans la maison ce jour là pour ne pas te faire repérer. Mais il savait malgré tout que tu étais là puisqu'il te connaissait. Il te rassurait en disant qu'elle était mieux ou elle venait de partir. Et tu l'écoutais du placard en hoquetant.
"I feel you in my bones." Tes quinze ans. Ca, tu t'en souviens qu'un minimum. C'est fou comme tu dérapais pendant tes quinze ans. Tu essayais tout et n'importe quoi. Le sexe, la drogue, l'alcool. Tu volais pour avoir la poudre et le liquide. Tu faisais la pute pour avoir un peu de plaisir dans ta vie minable. Tu ne vivais nulle part, Alyséa, à cette époque. Tu étais LE véritable SDF que tu n'es plus totalement maintenant. On te donnais de l'argent mais tu ne le gâchais pas pour des plaisirs aussi... illégaux. La drogue tu y as, certes, beaucoup touché mais avec des écarts larges. Tu n'en prenais jamais trois fois par semaine. Seulement six fois par mois. De ce fait, tu n'étais pas dépendant totalement et tu as pu arrêter facilement. L'alcool... par contre... tu buvais fréquemment. Pas au point de devenir accro aussi mais tu es resté pas mal embué pendant ton année. Mais tu t'étais repris à tes seize ans. Donc ça allait mieux. Même sans cette dame, tu survivais. Tu étais bien et quand tu couchais on te payais parfois des hôtels. Tu en profitais pas mal pour appeler le room service et manger à ta faim. C'était sur le compte de ton hôte. Ils en râlaient quand tu partais en plein milieu de la nuit. Parfois tu laissais un mot, parfois non. Ceux qui n'en voyaient pas étaient assez dégoutés. Dégoutés parce qu'ils t'aimaient bien. Mais tu ne l'as jamais su, ça. Même si au fur et à mesure tu avais des habitués. Un homme à qui tu plaisais beaucoup t'as même refilé un téléphone portable pour te contacter au cas où. Tu l'as toujours, d'ailleurs. Tu le gardes précieusement car il avait un beau physique et beaucoup d'argent. Il n'y a que ça qui t'intéresse. Alyséa, tu avais pas mal d'amis à cette époque. Je me demande comment tu as fait pour en faire fuir la plupart. Pauvres enfants.
"I was Nineteen." Dix-neuf ans. Ahah. Tu as dix-neuf ans et tu es toujours aussi con. Tu es toujours le même que le toi de seize ans. Tu n'as pas pensé à changer. Ta vie ne s'est pas trop amélioré. Tu couches avec les habitués et personne d'autre. Tu as peu d'habitués, certains n'ont plus contactés alors que tu avais refilé le numéro du portable que l'on t'avais donné. Certains t'ont peut-être oublié mais tu sais qu'ils reviendront un jour, même si tu t'en fiche pas mal. Tu t'es trouvé une belle baraque abandonnée dans le quartier pauvre de la ville. C'est bien ! Tu y as même quelques meubles. Décrépits, sales, remplis de poussières et avec quelques rats comme colocataires mais tu y es bien puisqu'on ne te fais pas partir. Là bas, on ne te cherche même pas. Tu fais bien attention de ne pas te faire suivre dès que tu rentres chez toi... personne n'y est jamais allé. Parce que tu as peur qu'ils te dénoncent. Après tout, tu ne guérira jamais ta méfiance.
"Call me." Hé, toi, t'es qui au fait ? Pseudonyme : Andy. Comment as-tu découvert le forum ? Anciennement j'étais Nekoni. Puis j'étais sur la première version xD. As-tu lu le règlement ? Auto-validation mon coeur.Comment l'améliorer selon toi ? Hm sans rien faire. Un petit plus ? Nooon <3 | |
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