Akihiko Neko Rebelle
Messages : 23 Date d'inscription : 26/06/2011
| Sujet: Akihiko [100%] Dim 26 Juin - 15:40 | |
| Akihiko
Feat Orihara Izaya 『F*** ME ★』
▬ NOM : ... ▬ PRÉNOM : Akihiko ▬ AGE : 21 ans ▬ ORIENTATION : Homosexuel, mais il ne manque pas l'occasion de séduire une femme si il a quelque chose à y gagner ▬ CLASSE : Libre
Nous allons nous aimer
Regarde-moi Regarde-moi Regarde-moi
Akihiko n'est pas particulièrement impressionnant, physiquement parlant. Du haut de son mètre soixante dix-huit, sa silhouette fine ne lui permet pas de paraître menaçant. Contraint par son physique chétif, Akihiko est généralement traité comme un chaton inoffensif. Grossière erreur. Malgré son physique svelte, le chat est plutôt sportif. Doté de cette agilité propre à tous les félins, il a un sens de l'équilibre particulièrement aiguisé. Petit avantage lié à son physique, il peut aussi bien jouer le gamin innocent que le félin lascif. Il est en effet capable d'adopter une démarche féline, presque sensuelle, sachant parfaitement que cela ne peut laisser personne indifférent, sauf les gosses et les frigides. Les cheveux ébène, sa queue et ses oreilles sont de la même couleur. Il a priori l'air d'un Neko plutôt ordinaire au premier coup d'œil, mais il sait prendre avantage de ses atouts et les mettre en avant. Ce sourire carnassier, par exemple, ponctué par deux canines aiguisées. La courbe de sa queue, ondulante, hypnotique. Akihiko se sait beau et aime le montrer.
Assez pâle de nature, il évite de trop s'exposer au soleil, le comble pour un animal qui adore la chaleur. Il n'y peut rien, il ne supporte pas vraiment la lumière trop forte. L'iris de ses yeux est décoloré, ce qui lui donne une couleur pourpre, sanguine. De ce fait, la lumière peut facilement l'éblouir, mais cela ne l'empêche pas de voir parfaitement la nuit. Sa peau est blanche, tranchant fortement avec ses cheveux noirs. Cela pourrait lui donner un air assez princier, mais non, la pâleur de sa peau est cassée par son regard de démon. D'ailleurs, comme tous les chats, ses yeux brillent dans l'obscurité, ce qui le rend un peu plus inquiétant.
Habillé par les humains, Akihiko a pris goût aux beaux vêtements. Il déteste porter quelque chose de trop abîmé ou poussiéreux, préférant de loin les vêtements neufs et soyeux. Ne manquant jamais l'occasion de mettre son corps en valeur, le félin s'amuse à s'habiller avec des pantalons moulants et des tee-shirts suivant de près les lignes de son corps. Quand il en a la possibilité, le Neko trouve également plaisant de porter un kimono, rien n'est plus excitant que le charme traditionnel de ce pays. Alors, sexy, oui, mais pas vulgaire. Akihiko connaît les limites et s'en fixe, c'est ce qui le rend plus attirant, après tout.
Fuis-moi Fuis-moi Fuis-moi
Autrefois particulièrement docile, Akihiko ne se laisse plus faire aussi facilement. L'envie n'est plus là, probablement, et bien que connaissant le risque d'être un Neko libre, il n'a plus rien à perdre. Ne vous fiez pas aux apparences, au fond, le félin est un être malsain et manipulateur. Manipulateur au point de jouer la comédie et de se faire passer pour ce qu'il n'est pas. Assez joueur, il est capable de faire semblant d'être soumis pour ensuite vous sauter à la gorge. Blasé par la violence des humains, il ne semble pas avoir peur de grand-chose, sinon d'être enfermé. Extrêmement cynique, toujours très sarcastique, le Neko peut parfois être très agaçant. C'est ce qui l'amuse, vous faire sortir de vos gonds. Rien ne le fait plus rire que quelqu'un cédant à ses provocations. En effet, il teste souvent son interlocuteur en le secouant quelque peu, mieux vaut savoir à qui on à affaire.
Les ordres sont quelque chose qui irritent le chat à coup sûr. Indépendant et fier de l'être d'ailleurs, il joue la sourde oreille quand on essaye de l'obliger à faire quelque chose. L'idée d'avoir à nouveau un maître l'horripile, cela ne risque pas d'arriver à moins de trouver le maître parfait. Se riant de la soi-disant domination des humains, il n'hésite cependant pas à faire preuve de lâcheté et s'enfuir en courant. Il vaut mieux sauver sa peau que de jouer le courageux, quand même. D'ailleurs, le félin est doué pour la fuite, et son statut de Neko lui donne une agilité hors pair qui lui permet de toujours échapper aux humains qu'il aurait trop provoqué. Bien que rejetant violemment sa nature profonde d'esclave, Akihiko ne peut pas s'empêcher d'agir comme un chat, que ce soit en miaulant ou en ronronnant. Il n'y peut rien, c'est quelque chose d'incontrôlable. Ce qui l'irrite également, ce sont ses oreilles de chat, le trahissant à tous les coups – il est tellement facile de lire dans ses mouvements.
Même si son physique ne lui permet pas toutes les folies, Akihiko peut parfois se montrer violent. Après tout, il reste un être vivant, et il arrive que la haine et la colère l'envahissent. Quand cela lui arrive, il n'a pas peur de faire mal. Pourquoi en aurait-il peur, d'ailleurs ? Il n'aime personne. Aussi indépendant qu'un félin, il n'éprouve pas le besoin de s'attacher à quelqu'un. Ou plutôt... Il le rejette. Assez peureux de ce côté-là, il ne veut pas souffrir, et préfère autant souffrir de la solitude. Naïf, vous dites ? Il le sait. Et pourtant... Cependant, Akihiko n'hésite pas à faire partager ses ressentis et ses sentiments – mais pas à n'importe qui, quand même. Il préfère autant parler aux inconnus, c'est plus facile.
Très attaché à sa liberté, il ne comprend pas pourquoi les autres Nekos ne se rebellent pas. Oui, il avoue, lui-même a été comme ça, mais cette époque est révolue. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, il ne rêve ni d'un monde où humain et Nekos vivraient en paix, ni d'une ville prospère où il pourrait se promener librement. Conscient de l'absurdité de la chose et connaissant l'avidité des humains, il sait ces rêves totalement irréalisables. Il faut savoir rester réaliste. Akihiko n'est pas stupide. Enfin, du moment qu'il a assez à manger pour vivre et qu'on le laisse tranquille, il ne se plaint pas, mais gare à vos fesses si vous osez trop l'agacer.
Nous allons nous détester
Chapitre un – De l'ineffable horreur humaine
« Akihiko, tu n'es qu'une pute alors écarte les jambes. »
Sa voix, dégoulinante, envahissante, toute proche de ses oreilles. L'humain poussa un long feulement grave en s'enfonçant en lui. Akihiko grimaça. Les caresses du client n'étaient pas désagréables, mais lourdes et violentes, emplie d'une envie de domination. Il se mit à haleter. Il fallait jouer le jeu. Plus vite l'humain en arriverait à la jouissance, plus vite tout cela serait fini. Se concentrant à gémir, puisque c'est ce que l'homme attendait plus que tout, le chat ferma les yeux en serrant les dents. Parfois, tout cela lui donnait envie de vomir, mais il n'en faisait rien. Il n'était qu'une des nombreuses prostituées de cet établissement, il se devait d'être parfait pour le client. Les entrailles retournées, il poussa un long soupir de soulagement lorsque l'humain eut terminé son affaire. Le corps trempé de sueur et d'autres fluides corporels, il ramena sa queue de félin contre lui. T'aimes ça, hein ? Oui. C'était la seule réponse que l'on attendait de lui. Ces types, il les haïssait tous, mais pourtant, il remplissait toujours sa tâche avec habileté. La force de l'habitude, probablement. La force de l'habitude. Haha. Mais c'était dégoûtant ! Il le savait, et pourtant... Et pourtant... Ce n'était qu'un moyen de survivre. Il y avait pire, et il le savait. Ce n'était qu'un moyen de survivre, se répétait-il chaque fois que tout cela devenait insupportable. Un moyen de survivre, car il ne vivait pas, non. Il survivait.
Fais-moi mal.
La maîtresse de maison était une très belle femme. Elle s'occupait de gérer la maison de charme dont les seuls employés étaient des Nekos, fille ou garçon. Oui. Un bordel. La maîtresse de maison n'aimait pas ce mot, que Akihiko s'amusait à employer en sa présence. Elle disait que c'était vulgaire, et le chaton riait, riait... Tu n'es qu'une pute, lui disait-on. On l'insultait, on l'humiliait, n'avait-il donc pas le droit d'employer ce mot ? Pour lui, ça convenait tout à fait à l'endroit que c'était. C'était comme sa vie. C'était un bordel. Le reste du temps, Akihiko ne parlait pas beaucoup. Il n'avait pas grand-chose à dire, de toute façon. Quoi ? Raconter les exploits du type dont il s'était occupé la soirée dernière ? Non. Il n'était qu'un objet, et l'intérêt que l'on pouvait trouver à sa vie était bien trop moindre pour qu'il puisse avoir quelque chose à raconter. Alors oui, il n'avait rien à dire. Il pinçait les lèvres et se taisait. N'ouvrant la bouche que pour gémir à l'oreille des humains, contraint de supporter ce plaisir forcé et écœurant.
Fais-moi mal, je me sens si vivant.
Des fois, il restait plus longtemps sur le lit, profitant des derniers instants de tranquillité avant qu'un autre client ne le réclame. Il n'était qu'un objet, vendu et passé de mains à mains. Mais il vivait, pourtant. Il vivait... Il survivait... Sous l'eau de la douche, il lui semblait que les traces des mains souillées des vieux pervers qui le caressaient s'effaçaient. Mais après réflexion, il sentait encore sur ses hanches les mains puissantes le maintenir avec force. A ces pensées, des frissons le parcouraient, inéluctablement. De plus en plus. Cela le dégoûtait de plus en plus. Ce travail – forcé, d'ailleurs. Ces gens qui se suivaient les uns les autres. Cette maîtresse de maison au rouge à lèvres écarlate. Elle en avait l'air d'une, aussi. De pute. Plus que lui, probablement. Il se pencha en avant, les mains sur son estomac, secoué par une violente nausée.
« Brave garçon... »
Tout cela lui faisait tellement mal. Chapitre deux – De l'étouffante captivité à la pénible liberté
Il ne supportait plus tout cela. Ça l'énervait. Ça l'irritait. Pire que ça, ça le blessait. Le cœur acéré, le corps maltraité. Akihiko souhaitait chaque jour que tout cela s'arrête. Chaque jour avec un peu plus de rage au cœur. Un peu plus de haine en lui. Il était dévoré de l'intérieur par son envie qui grandissait, grandissait et grandissait encore... Ce n'était que quelques petits changements, infimes sur le moment. Un grognement. Un feulement agressif, juste durant quelques secondes. Un refus. Puis un autre. Et encore un autre. Une protestation. Un coup de griffe. Et finalement... De plus, en plus... Une insulte. Des cris. Des coups. Les coups, eux, ne venaient pas de lui, mais des humains. De la maîtresse de maison, la si belle maîtresse de maison. Ce soir-là, elle portait une robe indécemment colorée, qui soulignait ses hanches. Une décolleté plongeant laissait entrevoir sa généreuse poitrine. Akihiko ne regardait pas cela. Il se fixait sur son visage, ces yeux incroyablement verts, brillant d'une colère écœurante.
« Stupide chat ! J'ai tellement fait pour toi... Et c'est comme ça que tu me remercie ?! »
Oui. Merci. Haha. Ironie de sa part. Le félin laissa échapper un long soupir, esquissant une moue affligée, prenant ouvertement sa maîtresse pour la dernière des idiotes. Merci pour tout. Elle leva la main, ses oreilles tressaillirent. Ce n'était jamais plaisant de se faire frapper. Des fois, les clients le faisaient. Ça les excitait. Lui, ça lui faisait mal. La maîtresse de maison le gifla. Pas trop fort. Pas assez pour lui faire vraiment mal, en tout cas. Il se demanda un instant si c'était parce qu'elle n'avait pas de force ou parce qu'elle n'osait pas l'abîmer. Elle était grande, en tout cas, sa belle maîtresse. Plus que lui. Il poussa un bref miaulement aigu, la surprise, certainement. Elle criait encore. Elle disait qu'il était ingrat. Que d'autres humains le traiteraient bien moins gentiment que cela. Il se mit à rire. Car c'était si drôle !
… Il ne supportait plus tout cela.
Encore cette main aux ongles vernis qui se lève. Ses oreilles tressaillirent une nouvelle fois. Mais cette fois, elle ne frappa pas. La lumière s'éteignit avant. Panne d'électricité ? Akihiko n'en avait que faire, il voyait parfaitement. La maîtresse de maison sembla sa calmer un instant. Elle lui caressa l'oreille droite. « Je vais chercher des bougies ». Son ton s'était calmé, elle était si douce quand elle parlait de cette manière. Ça la rendait tellement plus cruelle. Akihiko avait envie de pleurer quand sa maîtresse tenait un discours à la fois si doux et si acéré. Il s'était souvent demandé si elle l'aimait. Peut-être. Elle prenait soin de lui, après tout. Mais ça, ce n'était que pour l'argent, non ? Non ? Akihiko aurait aimé espéré que non, mais il n'en avait pas la force. C'était tellement éreintant de chercher ainsi l'amour des gens. Des fois, les clients se comportaient avec lui avec une douceur exemplaire, et ça lui donnait encore plus envie d'être aimé. Mais il ne voulait pas se faire d'illusion. Ça ferait encore plus mal qu'une gifle.
« Pourquoi tu me fais ça, Akihiko ? »
La maîtresse revenait, une bougie allumé à la main. Elle la posa délicatement sur la table de chevet, sur ce bougeoir argenté. Le félin détourna le regard. Elle n'avait plus l'air aussi en colère qu'avant. Elle avait juste l'air... abasourdi, peut-être. Elle semblait s'étonner de l'attitude du chat. Je ne sais pas, répondit Akihiko. Le stress, peut-être. Encore de l'ironie. Elle frappa, plus fort que précédemment. Akihiko glapit, la table de chevet trembla. Le bougeoir tomba. Et la flamme, ondulante, dévorante, s'attaqua aux rideaux de soie. Le félin sursauta violemment, courut se réfugier loin de la chaleur brûlante du feu qui venait de naître. La maîtresse de maison n'était pas faible. Elle essaya d'éteindre le feu, alors que le petit chat noir en profitait pour fuir. Et puis, si vite, tellement vite, le feu s'étendit. Le lit, la porte. Piégée. La maîtresse de maison hurla, si fort que même en bas de la rue, Akihiko l'entendit. Il frissonna. Elle criait au secours, appelait Akihiko. La lumière du feu agressait ses yeux si sensibles. Il tourna les talons et se mit à courir.
Libre ? Trop beau pour être vrai. Chapitre Trois – Du bonheur retrouvé
Il faisait froid, si froid que Akihiko ne sentait plus le bout de ses doigts. Il entoura les bras de son corps, se concentrant à calmer ses tremblements. Le claquement de ses dents résonnait dans la ruelle vide. Un an. Une longue année à errer dans la rue, après la mort de sa chère maîtresse. Une longue année à voler pour se nourrir. Une longue année à se cacher pour échapper à la fourrière. C'était long, quand on y pensait, et la dureté de la vie rendait tout cela encore plus long. Il faisait froid, mon dieu, il faisait froid. Tellement froid qu'il croyait en mourir. Une écharpe volé à un clochard, un pull déchiré, un jean sale. Ces vêtements le dégoûtaient, mais à présent chat des rues, il ne pouvait plus faire la fine bouche. Il devait les porter, question de vie ou de mort. Il devait les porter, sans s'en plaindre. Akihiko se roula en boule en gémissant. Le vent était glacial. La nuit était sans lune. Le jour est mal choisi pour mourir, songea t-il en regardant le ciel.
Des bruits de pas. Fourrière ? Peut-être. Il n'avait pas la force de fuir. Il repensa à sa vie et se dit qu'il aurait dû en profiter plus. Juste un peu plus. Être un peu plus heureux. Vivre sans se soucier du lendemain. Ne plus avoir peur, jamais. Fuir à jamais cette violence. Une main chaude sur sa joue. Encore une femme ? Non, un homme. Un travesti. Haha, quelle drôle de vision avant de mourir ! Il aurait presque pu en sourire. Presque. Son visage resta de marbre, ses lèvres rendues violettes par le froid ne bougeaient pas. La main s'en allait. Ah non ! Réchauffe-moi. Dernière volonté. Et puis, l'homme posa sur ses épaules un manteau épais en laine.
« Tu es tout seul ? Tu veux venir avec moi ? »
Oui... De toute manière, il n'avait plus rien à perdre. Il ferma les yeux. Lorsqu'il les rouvrit, il était dans un lit, un grand lit. Il se demanda un instant si il n'avait pas rêvé. Si il était encore dans cette maison de charme. Si c'était un client dans la salle de bain à côté. Non, ce n'était pas un rêve. L'homme à la beauté féminine, plus beau encore que sa précédente maîtresse s'approcha prudemment d'Akihiko. Ah. Le chat avait trop chaud, maintenant. Il se redressa en repoussant les couvertures qui recouvraient son corps. En jetant un bref coup d'œil sous les draps, il se rendit compte qu'il n'était vêtu que d'un caleçon.
« Vous, euh..., fit-il en fronçant les sourcils face à sa presque nudité. — C'était la manière la plus efficace de te réchauffer, et tes précédents habits trouvaient plus leur place dans la poubelle. — Tu les as jetés, heeeeey !, Protesta le chat — Du calme. En voilà d'autres. »
Annonça t-il en lui tendant des habits qui sentaient bon le neuf. Le félin s'en saisit en poussant un faible miaulement de remerciement. Les vêtements étaient tout à fait à son goût. Épuisé par ses aventures dans la rue, il était presque ému. Trop gentil. Il détestait les gens trop gentils. Après quelques brèves paroles échangées, l'humain lui expliquait qu'il gérait une maison close. Lui aussi. Mais différente. Pour Akihiko, c'était la même chose. Les clients te traiteront bien, lui confia l'homme, ils en seront obligés.
« Alors ? Tu veux bien travailler pour moi ? »
Akihiko regarda par la fenêtre. Dehors, il neigeait.
« D'accord »
Soyons sérieux un instant
Pseudonyme : Aki Comment as-tu découvert le forum ? J'étais sur la précédente version. As-tu lu le règlement ? Validé par Judikaël ♥ Comment l'améliorer selon toi ? Des maîtres bandants et le droit de vote aux chats. Un petit plus ? Rrrrrrmiââââââw. Même si il semble docile puisqu'il travaille pour un humain, Aki est bien libre. Il lui arrive de temps en temps de s'occuper de quelques clients, mais la plupart du temps, il fait ce qu'il veut.
Dernière édition par Akihiko le Mar 28 Juin - 20:55, édité 1 fois | |
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