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Sujet: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki] Jeu 9 Fév - 22:34
Me voilà dans l’air glacial du petit matin d’un hiver plutôt rude. Depuis quelques jours, le temps a décidé de me faire les misères en descendant les températures a plus de moins 10 degré. Pour une personne comme moi, qui passe le plus clair de son temps en extérieur, c’est un peu difficile. Je me paye le luxe d’un hôtel dans la ville mais ce n’est pas terrible. Il est crasseux, l’air passe sous les vitres mal isolées et l’humidité fait moisir les murs. Bref, je vis dans un hôtel complètement pourave, mais c’est tout ce que je peux me payer. Je ne bosse pas, mon seul moyen de revenu c’est le vol. Je suis un pique Pocket plutôt doué, mais bosser pour les humains ne m’intéresse pas, c’est comme ça que je vis.
Comme à mon habitude, je ne me cache pas, mes oreilles noires pointent hors de ma tignasse qui virevolte au gré du vent hivernal. Je n’ai ni gants, ni bonnet même pas d’écharpe pour me réchauffer. D’ailleurs, je vais aller de ce pas m’en chercher, je ne tiens plus ce froid. Je vais encore avoir le droit à ces regards hautain et dédaigneux, mais peut importe, je vais faire comme à mon habitude, feindre l’ignorance de ce qui m’entoure.
Je marche en me frottant les mains l’une contre l’autre, je monte ma veste haute sur mon cou pour empêcher un minimum l’air de s’y engouffrer. Je vois un magasin pas trop cher dans lequel je vais pouvoir m’offrir de quoi me réchauffer. J’entre, une petite sonnerie retentit pour signaler mon arriver aux vendeuses. Elles me fixent étonné puis leur regard se transforme en dégoût. J’ignore leurs messes basses et je fouille dans la boutique pour me trouver des affaires. J’opte pour des choses simples, un bonnet en laine noir, des gants bien chauds ainsi qu’une grande écharpe uni. J’aime le noir, ça me donne une impression d’être une ombre, qu’on ne me regarde pas, mais c’est qu’une impression…
Je paye mes affaires puis je retourne dans le froid. J’ai vraiment besoin de boire quelque chose de chaud. Je m’enroule bien dans mon écharpe, laissant juste mes yeux et mon nez ressortir. Pour une fois, mes oreilles sont caché par le bonnet, on ne m’évite plus dans la rue, je passe inaperçu. Tellement inaperçu que je percute un gars sans faire attention alors que je regardais l’intérieur d’une vitrine en marchant. Dans la brutalité du choque, j’en perds mon bonnet. Je le ramasse et m’excuse d’un ton morne et sans véritable intérêt. J’aurais dû faire attention….
- Hey le sac à puce ! Tu vas payer pour ce que tu viens de faire !
Je lève mon regard vers ce type qui me menace. J’époussette mon bonnet en donnant des coups dedans avec la main pour enlever la neige qui s’y est collé. Je repose mon bien sur ma tête et observe cinq types devant moi. Ils sont plutôt jeune, un peu prêt mon âge mais leurs look ne présage rien de bon, ni leur attitude envers moi.
- Sac à puce ? Et c'est un sac a merde qui me dit ça ?
Voilà, c’est plus fort que moi, quand je me sens agressé il faut que je réponde et ce, malgré les cinq gars devant moi. Techniquement, si une bagarre ce déclenche, même à 5 je peux les maîtriser. Je dis bien techniquement, sauf que…j’ai remarqué que trop tard que les sacs qu’ils portaient était marqué « Dojo ». Soit ce sont des karatékas, soit des judokas dans les deux cas, je suis dans la merde. Mais fier comme je suis, je ne taille pas, je vais au bout de ma connerie. Tout s’enclenche vite à cet instant, je me sens tenir au col, je vois son poing venir vers mon visage. Je décale ma tête par reflexe, envoyant mon pieds pour me dégager. Sauf que le type a de très bons réflexes et repousse mon pied.
- T’es mort sale parasite !
En réalité j’allais finir pas loin de ça. Je tente de me dégager, j’envoie mon poing ver le visage du type en feintant avec mon deuxième poing vers son abdomen. Je percute son visage mais aussi rapidement que j’ai attaqué je me fais maitriser par ses acolytes qui me maintiennent par les bras et me plaque au sol en faisant une pression douloureuse sur ma nuque. Mon visage est maintenant dans la neige, c’est froid et je ne sais pas si je vais pouvoir gérer ces types. Je suis bête, j’aurais dû faire plus attention, est ce que je rouille ? J’ai d’habitude de très bons réflexes grâce à mon entrainement de ma vie passé de tueur à gage mais le froid m’engourdis. Ils me lâche, je pensais pouvoir réagir mais l’un d’eux me prend le pied et me tire comme un vulgaire sac dans une ruelle déserte et sombre. Je vais passer un sale quart d’heure, c’est certain, mais je me laisserais pas faire, ils vont morfler autant que moi.
Mon pied est libéré, je me relève rapidement, j’observe mes adversaires, il faut que j’attaque en premier, l’effet de surprise va plaider en ma faveur. Je fonce vers le premier type en sortant mes tonfa, je frappe d’un coup sec. Il pare avec son bras ce qui est une mauvaise idée. Les tonfa sont des armes de choc, ce le prendre de plein fouet comme ça, c’est le bras cassé assuré. Je pensais sérieusement qu’ils attaqueraient un a un, comme le font les petites frappe mais il semblerait qu’ils sont plus intelligents que prévu. Ils viennent ensemble, frappant l’un après l’autre, j’ai du mal a riposté, je ne peux qu’’esquiver pour me protéger. Je me prends un premier coup dans l’estomac, je tombe sur le genou en toussant, plié en deux. Un pied viens percuter ma mâchoire, je pars en arrière, mon dos touchant le sol, me voilà étaler comme une merde par terre, le sang de mes lèvre teintant la neige d’un rouge profond. S’en suis de multiple coups sur mon visage, mon ventre, mes côtes, ils frappent tous en même temps, je ne peux plus rien faire qu’encaisser. Ils s’arrêtent juste quand je pensais sombrer dans l’inconscience, je sens qu’on me tire une oreille brutalement.
- Je vais te laisser en vie mais tu vas te souvenir de moi pour un petit moment, Neko.
Et la une douleur vive sur mon oreille, j’essaie de retenir mon cri de douleur. Je viens de me faire planter un couteau dans mon oreille féline, me bloquant ainsi au sol. Je ne peux plus bouger, je les vois partir en rigolant, ma vision ce trouble. Vais-je finir comme un clochard à crever dans une ruelle sombre, frigorifié par la neige qui m’entoure ? Ça en a tout l’air…
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Sujet: Re: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki] Ven 10 Fév - 15:35
Manoki dormait tranquillement sur le canapé du salon, près du feu. La petite neko dormait profondément, pensant à pleins de belles choses. Sa maîtresse était partit à son travail, et lui avait fait un feu avant de partir. C'était la toute première fois qu'elle se sentit aussi bien. Se souvenant encore de son passée qui n'était pas terrible. Déjà, quand elle était chez ses parents, elle était vraiment maigre. Mais elle est quasiment devenue anorexique quand elle a dut travailler dans ce manoir. Son magnifique corps était blessé par les coups de fouet qu'elle recevait régulièrement, son visage n'avait plus aucune couleurs, mais restait des traces de larmes. Depuis qu'elle est allée dans ce mystérieux camions, celle-ci fut devenue une merveille. Ni trop grosse ni trop maigre, des couleurs vive apparaissait sur son beau visage beigeâtre.
Les petits crépitement venant du feu l'apaisa ainsi que la chaleur. Un petit sourire se dessina alors sur son visage. Elle avait vraiment hâte que sa maîtresse arrive.
Manoki rêva d'être dans la neige. Elle avait déjà entendue parler de cela, mais malheureusement, elle ne la jamais connue. Comment était-ce la texture ? Étais-ce aussi froid que comme on lui avait dit ? Pleins de petites questions comme cela se posèrent de la tête de Manoki.
Soudainement, Manoki entre-ouvrit ses yeux noisettes. Elle leva son dos seulement pour étirer ses bras. Ensuite elle bailla un bon coup et se frotta les yeux. Voyant un peu flou au début, sa vue s'améliora. Elle voyait le feu tout chaud tout flamme. Et bien, le feu était très résistant ! Mais il se dissipa petit à petit. Ah non ! Manoki ne veut pas que le feu s’éteigne ! Elle se leva entièrement, mes se mit accroupi aussitôt pour aller prendre le sifflet, puis elle le refit jaillir. Comme il était beau, plus beau que tout à l'heure. On aurait dit que toutes les lumières étaient allumées. Ceci la réchauffa bien. Elle eut l'idée de se faire du thé.
Allant dans la petite cuisine, elle fit chauffer de l'eau. Pour l'instant, elle choisissait le sachet. Tilleul rose jasmin violette, orange saveur pin d'épice... Et pourquoi pas orange caramel ? Cela peut être délicieux. Manoki décida alors de tester. Elle versa l'eau dans une tasse, et mit le sachet. Mmh, Manoki adorait le bruit du versé de l'eau bouillante si vous voyez où je veux en venir. L'adorable neko éteignit la lumière, et retourna s'assoir sur le canapé. Quel moment agréable pour elle. Il manquait plus que sa maîtresse qui lui manquait déjà.
Une fois avoir finit son thé, elle se leva mettre sa tasse dans le lave-vaisselle. Regardant par pur harsard la fenêtre, la jolie neko se stoppa net. Ses yeux était en train de s'illuminer de joie, mais pourquoi ? Et bien dehors, il neigeait. La neko fit un très large sourire joyeux. Elle posa la tasse dans le lave-vaisselle avant de sauter de joie.
-YOUPI !!! Il neige, il neige !! Hourra !!!
Manoki fonça alors dans la chambre pour regarder la garde robe. Elle savait bien qu'il fallait qu'elle que chose de chaud. Elle prit alors une grande écharpe toute douce, un jolie bonnet péruvienne assorti à ses cheveux et ses yeux, un long manteau blanc qui était tout doux accompagné de gant de la même couleur que son bonnet, et pour finir, de longues bottes.
Elle éteignit le feu, et partit gaiement.
Manoki sautillait de joie voyant la neige tomber lentement. Elle ouvrit la bouche pour accueillir quelques flocons. Elle adorait le son de ses pas, comme pour les crépitements d'un feu. Elle enleva son gant pour toucher la neige. Brrr, comme c'est froid ! Ce n'est pas aussi doux qu'elle ne le pensait, mais pourtant, c'était un peu près le cas.
La neko sautilla pas à pas, et chantonnait très doucement. Elle ne savait même pas où elle allait. Mais tout d'un coup, elle trébucha. Son petit nez était à présent tout froid, et son manteau était parsemée de neige. La joyeuse neko débarrassa les flocons qui s'accrochait désespérément sur le manteau puis se retourna et vit un pauvre neko qui s'était fait agressée. Les yeux de la belle exprimait la peur. C'était un spectacle terrifiant. Elle s'imaginait tout le massacre qui l'a dut subir. Une larme glacée et salée s'écoula sur sa joue. Le pauvre neko. Elle courut vers lui même si il ne se situait pas loin d'elle et s'agenouilla en laissant les larmes couler. Elle mit sa tête vers son cœur pour essayer d'entendre son pouls. Son cœur et sa respiration marchait toujours, mais avec difficulté. Ensuite, elle mit sa main sur son front. C'est froid. Très froid. Combien de temps est-il ici ? Peut-importe, elle essaya de le lever jusqu’à y arriver et pour l'amener chez lui. Le problème, c'est qu'elle ne savait plus ou elle était ! Les pas était effacée par la neige ! Malgré tout, elle le reposa, enleva son gros manteau chaud et le mit sur lui. Le relevant, elle essaya de revenir sur ses pas.
Après un bon bout de temps, elle réussis à le retrouver sa maison. Elle le posa sur le canapé. Celle-ci avait attrapé froid. Mais pas le temps de s'occuper d'elle-même, il fallait guérir le pauvre neko. Il fallait un feu. Oui, un bon gros feu, comme celui de tout à l'heure. Seulement, elle ne savait pas comment faire. Mais Manoki avait bien vue sa maîtresse le faire. Alors, elle l’imita, mais le temps presse, il fallait faire le feu le plus vite possible.
Malgré plusieurs essaie, elle arriva à son but. Super ! Maintenant, elle enleva le couteau qu'avait le neko, et alla chercher une bouillotte. Après l'avoir un peu près soigner, elle s'assit espérant que le neko va mieux...
Aki
Neko Rebelle
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Sujet: Re: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki] Ven 10 Fév - 22:28
Depuis combien de temps je suis par terre ? Je ne sens plus mes mains, ni mes pieds même mon corps semble ce jouer de moi. J’essaie de me lever mais mes forces sont épuisé, je retombe dans la neige, mon visage en contact avec cette texture froide et humide. Je n’en peux plus…rester éveillé me deviens difficile, respirer deviens étrange et éreintant, est-ce le froid qui m’engourdis de la sorte ? La fatigue associée au froid me fait sombrer dans le monde des rêves.
Je suis inconscient, mon corps est inerte, pourtant je sens une présence, un contact sur mon corps. Qui vient me sortir de ma mort ? Laissez-moi mourir ici, ce monde est pourri, je ne veux pas revenir. Pourtant je n’ai pas le choix, je me sent manipulé, mes jambes me porte que légèrement, le haut de mon corps se trouvant en hauteur sur quelqu’un ou quelque chose. Je n’arrive pas à voir correctement, j’ouvre légèrement les yeux mais tout n’ai que mystère, c’est flou. Je marche par instinct, mes jambes avançant au gré des déplacements de mon bienfaiteur. Je marche, je suis le mouvement, j’ai l’impression que ça n’en finit pas, ou allons-nous ? Je ne sais même pas si je vais vers les enfers ou le paradis. Si c’est un humain, je suis dans la merde, je ne veux pas finir enchainé encore une fois…mais je n’ai même pas la force de me rebeller.
La température change brusquement, il semble que je sois entré à l’intérieur d’un bâtiment bien chauffé. Est-ce une maison ? Je suis donc chez un humain ? Je ne veux pas être redevable à ces gens sans cœur ! Je suis posé sur quelque chose de moelleux et agréable au touché. La chaleur que dégage l’endroit me brule le visage, j’ai l’impression que tout mon corps est en feu, c’est horrible. Une douleur vive à l’oreille me fait grimacer et réprimer un cri de douleur au fond de la gorge serrant ma main contre mon pantalon. Mon corps se crispe mais je ne peux pas me soulager, toutefois la douleur part relativement vite. Je respire fortement, je dois sembler bien malade de la sorte.
Quelqu’un s’occupe de moi, me soigne, j’ai pourtant encore très mal, j’ai l’impression d’avoir été secoué dans tous les sens sans ménagement et que j’ai cogné sur plusieurs mur comme une pierre. Le temps passe, ma vision s’éclaircit et deviens de plus en plus net. La première chose que je vois, c’est un grand feu dans une cheminée. Je suis donc bel et bien dans une maison, je me demande juste qui a bien pu m’aider. Je scrute l’endroit, pose mon regard sur le sol puis sur ce qui m’entoure. L’endroit semble chaleureux et très paisible. Mes pupilles sombres se posent sur une personne, une belle Neko assise un peu plus loin.
Je sers les dents et me redresse pour me mettre assis sur le canapé ou je suis installé. Je regarde cette personne de mon air impassible et froid, celui que j’ai constamment sur le visage. Je peux paraitre arrogant, froid et agressif de cette façon mais bizarrement ça ne me fait rien. J’espérais vraiment en finir dans la neige, mais cette personne m’a sorti de ma délivrance. Ce monde, je n’y ai pas encore trouvé ma place. Je fixe la Neko, je ne baisse pas le regard, je suis même peut-être un peu trop agressif a cet instant. Je n’ai rien demandé, pourquoi elle vient m’aider celle-là ? Je déteste être redevable, et même si j’aurais préféré finir crevé dans la neige, j’ai pas trop le choix que de la remercier de ce geste de compassion pour moi.
- Merci…de m’avoir…
Je n’arrive pas à finir ma phrase, quand je parle, je respire, j’ai l’impression que mes côtes ce brises sous la pression. Je dois surement en avoir une de casser voir deux pour que ce soit aussi douloureux. D’ordinaire, je sais encaisser les coups ou la douleur mais l’accumulation avec le froid ma rendu plus sensible. Je grimace pour éviter de grogner mon mal être.
- …aidé
Je parle par saccade mais au moins j’ai pu la remercier. Mon ventre vint crever le silence installé dans la pièce. Je ne sais pas depuis combien de temps j’étais resté étalé par terre après la bagarre mais mon ventre me faisait comprendre qu’il en avait assez d’attendre et qu’il était temps que je le remplisse.
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Sujet: Re: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki] Dim 4 Mar - 15:13
[HJ : Je m'excuse de mon énorme retard. Pour me pardonner, j'ai fais une longue réponse pour que tu es de l'inspîration -Ou pas-. Encore désolé !]
Le temps que le jeune homme-neko se réveille de son coma, Manoki alla se soigner elle même. La neko ne voulait pas attraper froid même si c'est le cas. Alors, elle alla voir ans le tiroir à pharmacie se qu'elle pouvait faire. Elle était déjà enrhumé, et mal à la tête. Manoki était sensible au niveau de cela,et elle n'aimait pas du tout ça! La neko pensait que si elle ne prenait pas de médicament, son corps se renforceras ! A-t-elle raison ? A-t-elle tort ?On verras bien !
La neko toute craquante revînt dans le salon s'assoir à côté du neko blessée. Elle avait oublié de boire son thé. Il fallait le réchauffer, pour pas de gachi. Manoki soupira avant de se lever mettre la tasse au micro-ondes. Bon, elle aurait put remettre l’eau à bouillir et... Non ça non plus c'est pas très... D'accord, on va dire que c'est une bonne idée qu'elle a eut... Ou pas. Peut importe, le thé était à présent réchauffer. Elle retourna dans le salon avec. Mais celle-ci avait oublié de prendre des gants ou un torchon pour se protéger de la chaleur du thé. Du coup, celle-ci se brûla et renversa la tasse. Nan mais j'vous jure !
Manoki avait fait une grosse bêtise. Elle avait renverser une des tasses préféré de sa maîtresse. La neko docile se mangea une gifle par... Elle-même évidement.
-Idiote !! Tu n'est que tout simplement une idiote Manoki !! Tu vas te faire punir ! Allez... Faut que je ramasse. Non mais quelle blonde !!!
Alors, la neko soit disant blonde d’intérieur, ramassa sa bêtise, et décida de s'en refaire une nouvelle.
Revenant une bonne fois pour toute dans le salon. L'adorable fille-chatte posa sa tasse trop chaude sur la table basse et rectangulaire. Elle jeta un cœur sur le neko endormi. Il avait les cheuveux noir, raides et court, de grande oreilles noir et douce gâchée par la blessure, une longue queue élégante pendante, et surtout... Un visage irrésistible. Un long nez fin, des lèvres envoutantes, des yeux endormi ravissant. Manoki ne put s'empêcher de tomber par terre. Le neko était délicieux pour les yeux. Elle trouvait ça absurde que de tel gens saccager un charmant neko. Est-ce que son caractère était aussi plaisant que son physique ? C'est à voir. Pour passer le temps, Manoki décida de chanter.
can you hear me? nee ima dokora hen hiiru o haki nagara calling wakatta sore ja mata ato de okiniiri no music kaketara odekake magiwa kagami ni wink dobikiri kawaii kakko de boryuumu agete let's gouon kibun wa full 10 de knockout! [...]
Cinq minutes passèrent, sa chanson prit fin. La neko ne s'était pas réveiller, et Manoki s’inquiétait. La neko empoigna la tasse de thé et bu deux gorgée précisément.
Encore de long minutes s'écoulèrent, et l'homme-neko chou se réveilla. Manoki se réjouit. UN large sourire se dessina sur ses lèvres séduisante. Elle était tellement heureuse et soulagée, que la belle bête montra ses dents blanches et carrée, et laissa une petite larme transparente dégouliner sur sa peau douce et blanche.
- Merci…de m’avoir…
Le garçon-chat pris une pose. Il avait l'air très très mal au point. Par pur réflexe, Manoki tendit ses bras pour lui dire qu'elle était là pour l'aider. Mais ceci avait réussi à finir sa phrase. - …aidé
Manoki ne disait rien. Elle était intimidé par ce beau jeune homme-chat. Mais le ventre du blessée criait famine. Alors, Manoki se leva et lui dit:
-Je vais tout de suite chercher à manger, et rapporter d'autre bandage pour tes côtes. Apparemment, ce n'est pas assez.
Puis l'adorable neko s'évapora de la pièce.
La voilà une nouvelle fois dans la cuisine. La neko lui prépara des pâtes avec un bon steak haché, et une pomme en dessert pour lui.Par gourmandise, Manoki en prit deux. Une pour lui, et une pour elle. Ensuite, le temps que la viande chauffe, la neko alla chercher les bandages et alla directement dans le salon pour lui mettre.
La jeune femme-neko enroulait le jeune-homme neko dans un longs pansement. Elle espérait que cela seras utile. Au moins pour éviter de céder le sang de échapper, et peut-être pour resserrer les côtes qui devait être légèrement déformée.
-Voilà pour ça. Maintenant, je vais t'apporter ton plat. Dit-elle d'un ton maternelle, plongeant ses yeux noirs profond dans ses yeux noisettes. Puis elle reparti incessamment.
Voilà enfin le délicieux plat qu'elle lui avait soigneusement préparer. Elle apporta sur un plateau et mit sur ses jambes.
-Voici ton plat que j'ai soigneusement fait. Espérant que cela te plaise.
La neko lui laissa le canapé entier, et s'assit par terre regardant parfois le neko s'assurant qu'il aimait son plat en mangeant sa pomme juteuse et bien rouge, en buvant sa tisane.
Aki
Neko Rebelle
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Sujet: Re: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki] Mar 13 Mar - 18:26
Mon ventre qui crie son mécontentement me met un peu mal a l’aise. Cette jeune Neko m’aide déjà assez en m’ayant offert un toit le temps que je reprenne mes esprit, si en plus elle doit me nourrir… j’ai vraiment l’air d’un naze.
-Je vais tout de suite chercher à manger, et rapporter d'autre bandage pour tes côtes. Apparemment, ce n'est pas assez.
Ben voilà, maintenant elle va me chercher de quoi manger. Je soupir, je suis vraiment gêné mais surtout énervé. Je n’aime pas être dépendant de quelqu’un, devoir quelque chose est pour moi un sentiment horrible. C’est une façon détourné d’être aux chaines d’une personne. Etant donné qu’elle a disparu je ne sais ou, j’ai le temps de regarder autour de moi. Il y a une cheminée, l’ambiance est apaisante et agréable. C’est chaleureux comme endroit, je suppose que le maître de cette neko doit être du genre sympathique. Enfin ça reste quelqu’un qui se prend pour un être supérieur, gentil ou pas, je ne l’aimerais pas. Je me redresse tant bien que mal pour me mettre assis sur le canapé, je grimace et laisse sortir quelque grognement de douleur. La Neko revient avec des bandages et prend soin de me les ajouter sur le corps. Je me laisse faire, son odeur me montant dans le nez, je suis enivré par cet odeur douce et agréable.
-Voilà pour ça. Maintenant, je vais t'apporter ton plat.
Elle semble prendre plaisir a me soigner, elle doit surement s’ennuyer toute seule la journée. Je dois être une super attraction du moment, enfin, moi sur le coup, ça me conviens parfaitement. Ça fait du bien d’être dorloté de temps en temps. Elle repart pour revenir rapidement avec un plat de pâte et de viande haché qu’elle dépose sur mes jambes à l’aide d’un plateau. Je la regarde prendre place par terre, prenant sa pomme et buvant sa tisane. Je la fixe quelques seconde, puis décide de manger son plat. Il est bon, bien assaisonné et juste chaud comme il faut. Je ne dis rien, mangeant en silence en jetant de temps en temps des coups d’œil à la Neko. Je fini mon plat puis pose le plateau sur la table en grimaçant encore une fois. Décidément je vais avoir du mal à bouger pour un certain temps.
Je pose de nouveau mon regard sur la bel Neko, elle a de beaux cheveux bruns, ses oreilles qui pointent dans la masse sont surmonté de petits poils blancs, donnant l’impression qu’elle les utilise comme des pinceaux. Elle est svelte et agréable à regarder, j’aurais presque envie de toucher, elle semble si parfaite et soigné. Je suppose que son maître doit prendre soin d’elle ou du moins faire en sorte qu’elle ait ce qu’il faut pour. Après quelques minutes a la contempler je décide enfin a lui parler de ma voix roque et m'enfoutiste.
- Puis-je te demander ton nom ?
Mh pas très poli, je demande son nom sans même me présenter moi-même. Il faut que je remédie à ça.
- Pardon, je m’appelle Aki, merci de m’avoir sauvé. Je te revaudrais ça…Par contre, ton maître risque de rentrer non ? Pas sûr qu’il apprécie qu’un autre Neko soit dans sa demeure.
En réalité c’est moi qi n’ai pas envie de rencontrer de « maître » je me méfie assez d’eux pour les éviter un maximum. J’ai soudainement un courant électrique qui passe dans tout mon haut du corps, un geste trop brusque ou mal fait et c’est l’électrochoc. Je grimace et râle encore une fois, le souffle coupé apr la douleur. Les côtes brisé, je m’en souviendrais. Je plaque mes oreilles féline contre ma tête et la aussi douleur, non sérieusement, ai-je encore un endroit où je n’ai pas mal ?
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Sujet: Re: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki] Ven 16 Mar - 16:34
La pomme était délicieuse ! Manoki n'avait jamais manger une pomme aussi bonne. Celle-ci était juteuse, fraiche... Le problème, c'est que le fruit glaçait les dents, et Manoki n'aimait pas ça. Surtout qu'elle était en hiver.
Enfin bref, elle avait engloutit toute sa pomme. Il lui restait plus qu'à finir de boire sa tisane. Elle a prit alors dans ses mains, mais avant de poser ses lèvres au rebord de la tasse, une voix rocailleuse surgit.
- Puis-je te demander ton nom ?
C'était le neko gravement blessé. Manoki remit sa tasse sur la table, se retourna, inspirant en ouvrant la bouche. Elle était prête à lasser des mots s'échapper. Mais lorsqu'elle laisse un son échapper, le neko se reprit :
- Pardon, je m’appelle Aki, merci de m’avoir sauvé. Je te revaudrais ça…Par contre, ton maître risque de rentrer non ? Pas sûr qu’il apprécie qu’un autre Neko soit dans sa demeure.
Lorsqu'il disait cette phrase, Manoki expira et ferma sa bouche et tendit ses oreilles. Quandil finit sa phrase, Manoki fit un sourire irrésistible en disant :
-Mais de rien, je n'allais quand même pas te laisser dans la neige avec des blessures aussi grave. Tu n'as rien à me rendre en retour. C'était tout à fait normal. Moi, je me nomme Manoki. Ne t'inquiète pas, ma maîtresse reviens tard c'soir. Je ne suis même pas sur qu'elle revienne ce soir. Tu peux même rester la nuit si tu veux.
Elle ferma les yeux qui formait de fentes et les courbèrent -on pouvait dire que les yeux "souriaient"- et dessina un nouveau un jolie petit sourire sur ses lèvres, puis se retourna.
Elle reposa une fois de plus ses lèvres et pencha un peu la tisane pour que le liquide coule, mais cet alors, qu'elle entendit un grognement. Directement, elle posa une nouvelle fois la tasse et se retourna brusquement en se levant. Manoki vit que Aki avait une nouvelle fois mal. Par pur réflexe, elle lui dit si ça allait. *Grosse débile ! Tu vois bien qu'il a mal !*
La neko était un peu paniquée, elle ne savait pas trop quoi faire à par de dire bêtement "ça va". Elle ne supportait pas voir quelqu'un souffrir, et de ne rien faire pour l'aider. Mais Manoki pouvait rien faire. Elle se tût et le regarda d'un air un pu inquiet, mais peu après, elle décida de lui tenir la main, espérant qu'il aille mieux...
Le feu commençait à s'affaiblir, et vu que c'était la seule lumière qui brillait ici, ça serait un peu 'problématique' si elle s'étendrait. Mais Manoki était tellement occupée à regarder et à lui tenir la main du pauvre Aki qui souffrait, qu'elle ne savait même pas que c'était un feu qui illuminait la pièce, et elle n'avait même pas remarquer qu'il s’effaçait.
Puis le feu s'éteignit. Ils étaient das le noir à présent. Manoki mit sa main sur sa figure violemment que ça fit un "clac' et se répétait dans la tête que c'était une sotte.
Après s'être de nombreuses fois traitée, La neko avertit Aki qu'elle se déplacerait pour chercher un interrupteur qui illuminerait la pièce.
Aki
Neko Rebelle
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Sujet: Re: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki] Sam 31 Mar - 10:20
-Mais de rien, je n'allais quand même pas te laisser dans la neige avec des blessures aussi grave. Tu n'as rien à me rendre en retour. C'était tout à fait normal. Moi, je me nomme Manoki. Ne t'inquiète pas, ma maîtresse reviens tard c'soir. Je ne suis même pas sur qu'elle revienne ce soir. Tu peux même rester la nuit si tu veux.
Donc cette charmante Neko s’appelle Manoki.. un jolie nom pour une jolie demoiselle. Je tique un peu sur le faite que sa maitresse ne rentre que tard le soir voir pas du tout. Pourtant elle semble bien le prendre. Je me demande quel genre de relation elle a avec sa maitresse…A première vu elle semble bien traité, son poils est soyeux et bien entretenu, je ne vois pas de marque de blessures ou de bleue, elle ne se fait donc pas tabasser. Mais ça ne change en rien ma vision sur les humains, pour moi ce ne sont que des êtres empli de haine qui se sont autoproclamé supérieur à nous les Nekos.
Je fixe Manoki pendant toutes mes réflexions, observant ce jolie sourire éclairé son visage. Bon, je n’ai pas à m’inquiéter pour elle, on dirait qu’elle apprécie sa vie. Grimaçant de douleur, je vois bien que je la fais paniquer, mais comme j’ai le souffle coupé, je ne peux pas lui dire de rester calme et d’attendre. Je sens soudainement un contact avec ma main, en relevant les yeux je peux voir Manoki très proche de moi, m’agrippant la main comme pour me soutenir dans ma douleur. Elle est mignonne, j’ai presque envie, en fait non, j’ai envie de la prendre dans mes bras, toucher sa peau qui semble si douce et agréable. Mais je vais m’abstenir de faire ce genre de chose un peu trop osé.
Je la fixe, je ne suis aps du tout gêné de croisé le regard des gens, je suis plutôt du genre a gêné les gens par justement ce manque de timidité envers eux. Je regarde le feu qui semble perdre en intensité, si on ne fait rien on va se retrouver dans l’obscurité, pourtant je ne peux rien dire, la présence de Manoki, son regard anxieux sur moi me trouble un peu puis ce qui devait arriver, arriva. Le feu nous quitte subitement, nous plongeant dans l’obscurité de la pièce, uniquement éclairé par la luminosité de la lune à l’extérieur à travers la fenêtre.
J’entends un « clac » puis elle me fais avoir qu’elle va chercher un interrupteur dans la pièce. Au même moment je décide de me lever pour ranimer le feu, sauf que mes jambes cogne dans celle de Manoki, s’entremêlant bêtement et nous faisant chuter l’un sur l’autre. Afin de ne pas l’écraser complètement, je me rattrape sur mes avant-bras, le choc au sol me réanimant la douleur de mes côtes. Je plaque les oreilles contre ma tête, crispe mon corps, je sens les larmes monter aux coins des yeux. C’est vraiment douloureux, je ne me souvenais plus que c’était aussi intense de ce casser les côtes. Je suis à pas moins de 10cm du visage de Manoki, sur le coup je ne m’en rends pas compte, j’ai trop mal pour ouvrir les yeux, mais l’odeur agréable de celle-ci me monte au nez assez rapidement. Une fois la douleur plus ou moins passé, j’ouvre les yeux, pouvant admirer son visage de très près, même si la luminosité laisse à désirer.
- Heu…pardon, je voulais juste…
J’effleure les lèvres de la Neko avec les miennes par simple envie. Je suis du genre à prendre ce que je veux mais a cette instant ce n’ai pas vraiment ce que je devrais faire. Elle ma sauver, ma soigné et moi j’essaie d’abuser de sa gentillesse. Je suis quand même une saloperie de mec. Je me redresse lentement, non sans remord, j’aurais bien voulu gouter ses lèvres qui semblaient si douce. Je me met à genou au-dessus d’elle puis fixe les braises du feu dans la cheminée.
- Je vais….le ranimer, la luminosité d’un feu et sa chaleur est plus agréable que l’éclairage artificiel.
Je me lève et viens m’accroupir devant le feu, je prends du bois et ajoute l’allume feu à l’intérieur que j’enflamme avec une allumette. Le feu reprend vie lentement, je souffle dessus pour l’aider, malgré ma difficulté à remplir mes poumons sans douleur. Une fois bien reprit, j’entasse deux trois morceau de bois pour qu’il tienne de longues heures puis reviens lentement m’assoir sur le canapé. Je fixe Manoki de mon regard neutre et inexpressif.
- Désolé…je suis impulsif…
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Sujet: Re: Pas de chance et pourtant...[PV Manoki]