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| le début d'une nouvelle histoire [PV ryo ] | |
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Invité Invité
| Sujet: le début d'une nouvelle histoire [PV ryo ] Dim 19 Juin - 20:09 | |
| Le jour ce lève, une nouvelle journée commence. Mes yeux s'ouvrent sur la rue, qui est encore vide d'animation, il est encore bien trop tôt pour que les gens soit à l'extérieur, les magasins n'ouvriront que dans une ou deux heures. J'ai la chance d'avoir une vue sur l'extérieur grâce à ma vitrine, je suis censé appâter le client. L'inconvénient c'est que les cages y sont plus petites, donc beaucoup plus inconfortable que les autres cages. Déjà qu'une cage normale ce n'est pas le grand luxe... . De plus la nourriture est infecte et je nourris l'ambition de tuer le sal**ard qui tient cette boutique. Cet idiot a eu la joyeuse idée de me proposer une cage plus confortable pour la nuit en échange d'un petit service.. ce minable.. tout ce qu'il a gagné c'est une belle griffe sur le visage et moi pas de nourriture de toute la journée. Je commence sérieusement à avoir fin et mon humeur se fait sentir. Bref j'ai connu des jours meilleures.. La journée vient à peine de commencer et je suis énervée.
Le vendeur distribua a tout le monde des croquettes qui étaient censé nous nourrir et un peu d'eau, moi bien sur je n'ai rien eu. Mais c'est pas comme si je regrettais. Je me met à regarder la ville s'éveiller. Les commerçants commençant à ouvrir leurs magasins, les gens qui commencent à circuler dans la rue. Certains nous observent comme si on était des bêtes de foire, je les hais. Heureusement j'ai l'habitude d'attirer l'attention. Aujourd'hui il fait beau le ciel est bleu avec quelques nuages, et la légère brise présente à l'air d'être agréable. Qu'est ce que je donnerai pas pour sentir cette brise sur mon visage à la place de la puanteur des cages. Le neko sur ma droite est une femelle aussi mais, elle, elle est complètement soumise, je comprendrais jamais ces nekos qui se laissent aller à leur sorts. Pour moi il est hors de question que j'en fasse autant. Plutôt mourir! Et c'est certainement ce qui va finir par m'arriver... Enfin tout le monde meurt un jour et moi je veux mourir libre!
Le magasin ouvre, un homme entre, il va voir le vendeur, apparemment c'est une de ses connaissance. Il lui sert la main. Il se ressemble assez tout les deux, tous deux sont horrible à regarder avec leur ventre énorme leurs peau et cheveux gras. Mais l'autre le visiteur, lui à l'air riche. Car ces vêtements ont l'air assez coûteux. Il regarde le magasin et fini par poser le regard sur ma cage. La plaie, il me lâche plus et s'avance vers moi. Pas moyen qu'un porc pareil pose ses mains sur moi. Il me regarde avec un grand sourire, je vois déjà dans ses yeux ce qu'il prévis pour moi. Beurck! Le vendeur essaye de le prévenir que je suis assez sauvage mais il ne l'écoute pas et passe sa main à travers la cage. Et là il fait l'erreur de sa vie il pose sa main poisseuse sur ma cuisse. Je plante alors mes ongles dans son bras et le griffe à sang tout le long. Il n'a pas le temps de s'éloigner de la cage que je m'attaque à son visage. Il se met à hurler et réclame une punition exemplaire, il demande même le droit de me l'administrer. Le vendeur lui explique que mon seul avantage est mon physique et que par conséquent il ne peu pas se permettre de m'abîmer. Le mec devient fou et s'en va en fulminant qu'il fera fermer cette boutique.
Moi je le regarde partir fière de moi. Mais quand je vois le regard du vendeur posé sur moi je sais que je vais déguster. Il y a d'autre moyen de me faire souffrir que les coups. Je le sais pertinemment, comme le poison, il va certainement trouver un moyen de me rendre malade sans pour autant me tuer. De la nourriture avarié par exemple ou un poison pas très puissant qui me fera me plier en deux. Franchement je n'ai pas hâte d'y être. Mais je ne regrette pas mon geste, je ne regrette jamais ce que je fais. De toute façon je me vengerai et infligerai cent fois tout ce qu'il me fera . C'est une promesse. Il en haut de ma liste des humains à réduire en bouillis. Je le défis du regard et il finit par retourner à se caisse en fulminant l'idiot. Certains nekos me regardent comme si j'étais folle, ils savent autant que moi ce qui m'attend. Et je dois l'être au fond, folle. Mais je suis sacrément fière de l'être! D'autres clients entrent, certains s’ intéressent à moi, mais le vendeur prend toute les précautions pour vendre d'autres nekos à place. Il tient à prendre sa revanche ça c'est sure. Bon je crois que je ne vais pas y couper... Tant pis. La porte s'ouvre une nouvelle fois, et un humain entre. Sera t -il comme les autres ? Ou sera t il une source de divertissement. Mais j'étais prête à parier qu'il serait comme les autres... Peut être à tort pour une fois... |
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| Sujet: Re: le début d'une nouvelle histoire [PV ryo ] Lun 20 Juin - 16:07 | |
| Aujourd'hui j'avais bien commencé ma journée, je m'étais levé avec quelques dizaines de minutes d'avance sur le soleil et, à peine habillé, je m'étais jeté dans le grenier, cet amas de vieux objets souvent traités comme des vieilleries que nous, humains, nous donnions la mission de ranger là parce qu'on les entassait sans jamais oser y faire le tri et en jeter le moindre grain de poussière qui aurait élu domicile sur une armoire. Ce n'était pas vraiment pour cela qui j’étais monté, comme la maison de grand-mère était à la sortie de la ville, on avait une vue assez impressionnante. J'avais pour but d’interpréter mon point de vu sur ce que l'on pouvait observer de plus beau par la fenêtre: le soleil qui se levait et projetait sa douce lumière sur les immeubles et autres édifices. Traçant avec mon crayons favoris les traits irréguliers, j'obtins vite un croquis en noir et blanc, loin d'être satisfait, j’hésitai ce pendant un moment. Dois-je mettre en couleur ce croquis et y gaspiller de l'encre? Ce n'est pas que je n'en avais pas envie mais la couleur signifiait que j'aimais ce que j'avais fait et je trouvais ce croquis fade, je ne l'aimais pas, loin de là, je le trouvais imparfait et temps que ce n'était pas parfait, je n'en voulais pas et grand-mère n'en voulait pas non plus! Ma grand-mère était un juge pour moi, c'était à elle que je devais tout même les planches sur lesquelles je marchais et le toit sous lequel je dormais. Les hésitations furent de courte durée car mon ventre commença à crier… On aurait dit un orage ! Pas mal comme comparaison… Déjà l’heure du petit-déjeuner ? Je devrais sans aucun doute me presser un peu mais contrairement à la plupart des gens qui se levaient à la même heure que moi, je n’avais aucun rendez-vous et je ne risquais pas d’arriver en retard.
Le petit déjeuner n’était pas ce que j’appréciais le plus, c’est à ce demander comment on fait pour varier dans un tel repas, le matin je mangeais toujours léger mais ce matin, j’avais envie de perdre un temps fou assis sur une chaise à me demander comment je pourrais bien varier tout de même. En y réfléchissant bien c’était vraiment inutile alors j’ouvris les placards, partis en quête de la traditionnelle confiture de mûre, me servis une tasse de café au lait avant de faire quelques tartines que j’avalai vitesse grand V. Après avoir engloutis mes tartines comme si j’étais pressé, je bus moins de la moitié du café que je m’étais servi, je le ratais vraiment à tout les coups.
Ce matin je n’avais rien à faire du tout, rien d’autre que « glander » bien que ce terme ne convenait pas du tout, ce n’était pas mon langage mais c’était ainsi que parlaient les petits malins qui prenaient le même bus que moi le matin. Pourquoi je me rendais en ville si je n’avais rien à faire ? Et bien pour ne pas m’ennuyer et surtout : pour dessiner, j’en avais marre de dessiner tout le temps la même chose, les mêmes arbres que je voyais de ma fenêtre, les mêmes fleurs qui essayaient tant bien que mal de pousser dans mon jardin car cela m’ennuyait. Pourquoi prenais-je le bus alors que j’avais largement les moyens de passer mon permis de conduire ? Pas envie de le faire? Pas seulement, quand je montais dans un bus, j’étais toujours prit d’une grande envie de dessiner, en fait tout ce que j’y voyais me donner envie de l’interpréter, les gens qui trouvaient leurs amis dans le bus qu’ils prenaient, ceux qui, impatient de voir leurs proches qui les attendaient derrière les portes, martelait le bouton de demander d’ouverture des portes avec l’inquiétude que le chauffeur n’aie pas compris leurs appels de détresse. L’espoir des certains qui retrouveraient dans quelques arrêts des gens qu’ils n’avaient pas vu depuis longtemps, il y avait de tout cela dans un bus mais aussi des histoires moins joyeuses, je pourrais en parler toute la journée si on m’en laissait l’occasion. J’ai certainement l’air timbré n’est-ce pas ?
Dans le bus j’avais fait quelques croquis, une petite fille s’impatientais, elle voulait, sortir du bus, faisait taper les talons de ses chaussures, agitait son lapin en peluche qu’elle tenait par l’oreille, jetait fréquemment des regards intéressés au panneau lumineux qui indiquait le prochain arrêt, bien qu’elle ne sache pas lire. Sa maman ne cessait de lui répéter de ne pas faire tant de bruit. Je trouvais cela mignon. Peu être que ce croquis là je l’encrerais et le mettrais en couleur, avec des teintes lumineuses et colorées. Malheureusement, à l’arrêt qui suivit, une petite bande de joyeux imbéciles était montés dans le bus, se dirigeant vers le fond du bus, là où je m’étais assis, le plus idiot observa mon croquis, il m’énervait déjà celui là ! Je ne dis pas un mot jusqu’à ce qu’il soupire et me traite de petite tapette et qualifie le dessin «d’occupation pour filles ou petits vieux» il semblait ne pas s’y connaître du tout mais vite, il m’ennuya, alors, je lui frappa la tête avec mon carnet et descendis au prochain arrêt. C’était le même que celui où la petite fille était descendue : non loin de l’ «animalerie». L’enfant se précipita, ouvrit la porte de la boutique et entra à l’intérieur, elle partit à la recherche d’un ou d’une neko. Je me demandais si je ne devais pas faire pareil, ma grand-mère m’avait toujours dit qu’à force de rester seul à dessiner des natures-mortes, je finirai par mourir de solitude. J’entra donc dans la boutique, fit un tour complet, m’apprêtait à ressortir bredouille mais le vendeur, un gros bonhomme aux cheveux gras et aux allures pas très net, s’approcha de moi et prit son ton mielleux pour me poser la question qu’il devait répéter dix fois pas jours : « Bonjour, en quoi puis-je vous être utile ? »
J’avais envie de l’envoyer se faire voir, je lui répondis que j’allais me débrouiller seul et me dirigea vers la vitrine tout en faisant semblant de ne pas voir qu’il me suivait du regard. Je me demandais ce que pouvaient bien penser les nekos qui étaient là. Il y avait une neko dont personne ne s’approchait parce que le vendeur les en empêchait. Moi, je pris cela comme un défi et m’approcha d’elle. Je me demandais pourquoi il ne voulait pas la vendre car elle avait l’air de valoir cher, elle était belle, avait de longs cheveux argentés aux reflets violets et de magnifiques yeux bleus. Le vendeur essaya de me dissuader aussi mais je le repoussa poliment, c’est moi qui allonge la monnaie alors j’en fais ce que je veux non ? Je ne pris pas la peine de m’approcher plus de la cage et demanda sur le même ton froid qu’à mon habitude:
« Quel est ton nom ? » |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le début d'une nouvelle histoire [PV ryo ] Mar 21 Juin - 16:59 | |
| L'homme qui entra dans la boutique fit le tour des cages sans s'arrêter et s'apprêtait à repartir quand le vendeur vint vers lui pour le conseiller. Il l'envoya bouler et finit par venir vers moi, pourtant il avait dû entendre le vendeur dire que je n'étais pas vraiment à vendre pour le moment. Mais il vint quand même vers moi en laissant un espace entre ma cage et lui. Maintenant qu'il était plus près je pouvais mieux le voir, il était sans conteste bel homme et ses yeux rouge m’ intriguait. Au lieu d'être effrayant il lui donnait plus de charme. Mais il état humain et le ton avec lequel il me demanda mon nom me plus pas du tout. Pour qui il se prenait ? Était il Dieu ? Non je ne croyais pas. J'étais loin d'être à son service et s'il croyait que j'allais être impressionné par sa personne il se trompait lourdement. Car en s'adressant à moi de cet façon il avait fait une lourde erreur. Je lui jeta un regard glacial et lui répondit sur un ton cassant et froid :
-La politesse exige qu'on se présente avant de demander le nom de quelqu'un. Et vu la façon dont le mien a été demandé et que l’espèce de chose qui sert de vendeur dans ce magasin m'a mis de très mauvaise humeur tu peux toujours courir pour que je te dise mon prénom.
C'est à ce moment là que le vendeur choisit d'intervenir il m'avait vu venir mais il avait pas eu le temps d'intervenir avant que je ne réponde. Il avait l'air à la fois paniqué et furieux. Paniqué à cause du client car il craignait d'avoir encore perdu un client par ma faute, et furieux contre moi et mon caractère plus que scandaleux pour une neko. Mais loin de me laissée démontée je lui adressa le sourire le plus mesquin et fière de moi que je possédais. Le rendre encore plus mal à l'aise et furieux qu'il ne l'était déjà était un exploit dont j'étais très fière mais j'en avait pas encore finis avec lui, car je me vengerai de ce qu'il s'apprêtait à me faire. Mes yeux devait refléter toute la colère, le dégoût que cet homme m'inspirait mais je m'en fichais de toute façon mes propos reflétais assez bien ce que je ressentais. Dès qu'il arriva au niveau de l'humain dont je ne connaissais pas le nom, il prit la parole sur un ton d'excuse mêlait à la colère que je lui inspirais.
-Je m'excuse pour la façon dont cet neko s'est adressée à vous, soyez certain qu'elle sera punie. Elle a déjà blessé un client il y a quelques minutes c'est pour cela que je ne voulais pas qu'on s'approche d'elle. Elle a besoin de savoir qui est le maître.
-Maître ? Jamais de la vie je te reconnaîtrais comme mon maître espèce de porc, et si ton charmant client n'avait essayait de me toucher je n'aurai pas planté mes griffes. Mais je suis sure que la punition sera à la hauteur des attentes des clients, mais il ne faudrait pas abîmer mon physique , qui est mon seul charme n'est ce pas. On va donc y aller au poison ! Mais ne t'inquiète pas à la seconde où cet cage s'ouvrira je compte te faire payer tout ça au point que tu n'osera plus jamais t'approchais d'un neko de te vie.
J'avais parlé d'une voix méprisante avec un sourire vengeur et cruel. S'il me faisait le moindre mal j'étais prête à le tuer, de toute façon c'était soit lui soit moi, et je préférais largement que ce soit lui ! Si l'humain avait été attiré par mon physique il devait avoir été largement refroidis. Ma mauvaise humeur ne faisait que s’accroître alors je décida de leur tourner le dos et de regardais l'extérieur après avoir jeté un dernier regard mauvais aux humains qui se trouvais de l'autre côté de ma prison. J'entendis le vendeur demander d'une voix suave à l'humain.
-Puis je vous conseiller un neko qui saura combler vos attente ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le début d'une nouvelle histoire [PV ryo ] Mer 22 Juin - 15:53 | |
| Il devait bien y avoir là plusieurs dizaines d'hybrides mais plus cette demoiselle s’énervait, plus j’étais sur de mon choix. Je n’étais pas du genre à donner des ordres et je n’aimais pas trop qu’on me regarde comme si j’étais un être supérieur, pourquoi ? Parce que je n’étais pas un être extraordinaire et j’étais de ceux qui se contentaient d’être humains en toute simplicité, avec toutes les qualités et tout les défauts que cela occasionne. Et puis elle était plus naturelle que la plupart des autres hybrides qui miaulaient à s’en arracher les poumons et faisaient leur petit cinéma pour sortir au plus vite de leur cage. Eux faisaient tout le contraire de ce qu’ils voudraient faire au fond d’eux, c’est ainsi que l’on oublie qui on est et c’était une très mauvaise chose. Son histoire tenait la route. J’imaginais la scène, le client pervers qui s’approche de la jeune neko, le fait qu’elle s’énerve était totalement logique ! Je réfléchis à ce qu’elle avait dit avant cela : <> . C’est vrai que je ne m’étais pas montré très poli mais c’était dans mon caractère, j’étais comme cela. Je connaissais la politesse mais j’étais froid et désagréable. J’étais asocial et je n’aimais pas parler aux gens, c’est pour cela que je ne parlais pas beaucoup, les rares fois où je parlais c’était comme cela. Le vendeur était en colère contre elle, cela s’entendais dans sa voix. Ce pendant dés qu’il se tournait vers moi il faisait son cinéma lui aussi et prenait un ton accueillant, une caractéristique des commerçants. Il me demanda si je souhaitais qu’il me conseille un autre neko qui comblerait mes attentes, pour faire simple il voulait que j’achète un des hybrides les plus chers et qui fasse le meilleur cinéma. Visiblement il ne comprenait pas facilement ! Je lui avais déjà dit que je voulais me débrouiller seul et j’étais sur de ce que je disais. Je ne désespérai pas pour autant et lui répéta que je voulais me débrouiller. De toute manière j’avais déjà fait mon choix : c’est cette neko-ci que je voulais, il y avait en elle tout ce que je cherchais. Bien que je sois rentré par hasard, juste parce que la petite fille que j’avais vu dans le bus y étais entré et qu’elle m’avait fait repenser aux paroles de ma grand-mère, je savais que je n’achèterai pas n’importe quel hybride, alors que j’achevai d’expliquer au vendeur que j’allais certainement faire encore une fois un nouveau tour de la boutique avant de faire mon choix, la petite fille du bus se mit à pleurer et on l’entendit à l’autre bout de la boutique. La femme qui l’accompagnait la prit par la main et la mena jusqu’au vendeur. La fillette passa à coté de moi tout en essuyant les larmes sur son visage. La femme expliqua au vendeur que le neko que désirait sa fille ne lui répondait pas quand elle appelait et qu’il lui tournait le dos, elle dit aussi que sa fille pensait qu’il était mort et que c’était pour cela qu’elle pleurait. Alors le vendeur prit encore son air « gentil » que je qualifierais d’expression type de tous les vendeurs du monde. Il rassura l’enfant en lui expliquant que certains hybrides font cela pour ne pas être vendu ou qu’il était peu être en train de dormir, puis il demanda qu’on lui montre la cage en question. Il semblait avoir décidé de m’oublier un moment pour s’occuper de la petite fille. Je pris cela comme une chance : il m’avait enfin lâché les baskets! Je décidai de parler sur un ton moins froid pour que cela passe un peu mieux : « Je vais te dire : je ne suis pas comme cette espèce de grosse baleine, l’idée même de me comparer à lui est une insulte alors je te demande de bien vouloir arrêter de le faire.» J’attendis, la jeune neko n’allait certainement pas me répondre puisqu’elle était déjà en colère contre moi. Les pleurs de la petite fille cessèrent tout d’un coup alors je pensa que le neko qu’elle voulait allait bien, quelques minutes plus tard, le vendeur ressurgit, prit l’argent de la femme et lâcha le neko qu’elle avait payé. La petite fille sortit du magasin avec le sourire, sur le trottoir, elle sautillait. Le vendeur revint donc vers moi. Par malheur, il ne m’avait pas complètement oublié. Il me répéta que je ferais mieux de m’éloigner de cette cage, qu’il me conseillera un neko plus sage et plus respectueux. Je fis non de la tête et expliqua que si je ne l’avais pas écouté les deux premières fois, la troisième n’était pas la bonne. Ce n’est pas demain la veille que j’écouterai quelqu’un comme lui. Le vendeur lança un regard noir à la jeune neko mais ne lâcha pas prise pour autant. Je lui conseillai de retourner derrière son comptoir pour s’occuper de ses autres clients mais il ne le prit pas très bien visiblement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le début d'une nouvelle histoire [PV ryo ] Mer 22 Juin - 17:19 | |
| Je regardais les gens défilaient devant moi quand le vendeur proposa de nouveaux ses services au jeune humain qui l'envoya de nouveaux très vote boulet. Une jeune fille accapara très vite toute l'attention du vendeur quand elle vint se plaindre avec une adulte que le neko ne bougeait pas . Peut être les humains croyait ils que les nekos ne dormaient jamais. Où qu'ils devaient répondre à tout leurs caprices. Bien sure que c'était le cas un neko ne devait respirer que si sont maître l'y autorisait. Cela m'énervait, la petite paraissait s'inquiéter sincèrement pour le neko, j'aurai pu être attendrie pour la petite fille, s'il n'y avait pas eu l'adulte avec l'air pincée, qui semblait si mécontente que le neko dorme alors que la gamine été là. Enfin, le vendeur alla très vite rassuré la fillette et ses pleurs cessèrent. Le neko fut adopté et tout le monde fut content surtout le vendeur qui s'en était mis plein les poches.
Pendant ce temps là Ryô m'adressa la parole, le ton avec lequel il me parla sonna plus agréable et le fait qu'il traite le vendeur m’intéressa. Je restais tout de même sur mes gardes il pouvait jouer la comédie pour tenter de m'amadouer. Bref je me retourna vers mon interlocuteur et le regarda intéressé. Le fait qu'il se sente insulté par le fait que je le mette dans la même catégorie que le vendeur me soutira un sourire amusée. Puis le vendeur revint à la charge, il essaya encore de vendre un autre neko à l'humain, mais il l'envoya bolet mais cette fois on vit que le vendeur commençait à l'énerver. Ce qui me fit encore plus sourire. Je n'avais pas baisser ma garde envers l'humain mais son attitude valait au moins une réponse. De plus le regard noir que me lança le gros porc, m'arracha un plus grand sourire encore. Il devait passr la plus sale journée de sa vie et moi j'étais contente. Mon humeur améliorer me fit parler avec cette fois un ton plus sympathique, même si je restais méfiante.
-Je suis Aku, abréviation de Akuma qui veut dire démon, ça me va bien n'est ce pas ? Sinon pour en revenir à la comparaison entre toi et le vendeur, j'en jugerai par moi même. Je ne te connais pas. Il est facile de jouer la comédie ici et de changer de comportement après. Tu n'es peut être pas comme ça mais j'y ait déjà eu le droit. Les tactiques humaines n'ont plus de secret pour moi. Mais pour le moment il est vrai que tu n'as rien avoir avec le vendeur ce qui est à ton avantage. N'empêche tu m'as toujours pas dit ton nom.
Le vendeur me regarda stupéfait, et oui il m'arrivait aussi de temps à autre d'être polie, mais ce n'est pas avec lui que j'allais l'être. Il pouvait toujours rêver. Je crois que c'était la première fois que j'étais polie avec quelqu'un devant lui, le pauvre ça a dû lui faire un choc. T moi ça me fait bien rire. Quel idiot ce porc, déjà que son physique n'est pas avantageux, alors avec un caractère comme le sien il doit pas être très aimé. Mais bien fait pour lui, il pourrait tout de même faire un effort avec le pognon qu'il se fait avec la vente des nekos, il pourrait au moins apprendre à se servir d'un savon et d'un déodorant. Ce ne serait tout de même pas du luxe. Même nous les nekos, on fait plus soigné que lui. Enfin, être polie ou presque me changeait, mais il ne fallait pas que cet humain croit que ça lui était dû désormais. Il me serait très facile de l'envoyer de nouveaux promener. Mais pour une fois je faisais un pas vers un humain. Quitte à sortir et avoir un maître autant que ce soit pas quelqu'un qui me soit totalement antipathique. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le début d'une nouvelle histoire [PV ryo ] Lun 4 Juil - 14:32 | |
| Parmi tous les clients de l’animalerie, l’horrible vendeur devait avoir à faire mais au lieu de cela, il restait là, choqué par la politesse de la jeune neko. J’aurai prié pour que les clients le menacent de quitter la boutique, il s’occuperait d’eux et me laisserai tranquille parce que j’en avais vraiment assez ! Après tout il voulait certainement me faire abandonner l’idée que j’avais en tête, il ne voulait pas que je choisisse cette neko pour pouvoir en suite la punir d’avoir blessé l’autre client dont il parlait tout à l’heure, moi je ne voulais l’écouter, je n’en faisais vraiment qu’à ma tête aujourd’hui. Il ne voulait pas s’éloigner de moi du moindre centimètre et la queue devant la caisse ne semblait pas le déranger l’espace d’une seconde, beaucoup de clients voulait lui poser des questions ou avaient fait leurs choix mais lui restait concentré, il nous surveillait pour être sur que ce soit lui qui me fasse changer d’avis et pas elle qui, d’après ses idées personnelles, me ferait quitter la boutique. On sait détecter ces choses là quand on observe les gens toute la journée, c’est précisément ce que je fais : je m’intéresse à la manière dont ce comportent les gens et j’en apprends beaucoup plus sur eux qu’ils ne le croient. J’en avais appris beaucoup sur ce gros lard, normal ! Puisqu’il ne cessait de me suivre ! Cela commençait à m’énerver de savoir qu’il me suivait, à l’affut du moindre geste, je m’en lassais, alors je compris que j’allais devoir lui montrer mon coté…. Légèrement moins calme ! Je tentai de remettre cela à plus tard pour ne déranger personne car il y avait peu être bien des gens qui essayaient de faire connaissance, le genre de personne qui n’étaient pas entré juste pour avoir quelqu’un à maltraité. J’étais entré au hasard et je commençais à me dire que j’allais finir par le regretter. Je m’apprêtais à donner enfin mon nom après avoir appris celui de la neko, elle s’appelait Aku, elle ajouta aussi qu’il s’agissait d’une abréviation d’Akuma et que cela lui allait bien. Moi je ne trouvais pas, pas plus que cela en fait. On a tous le droit d’embêter un peu son monde ! En suite elle avait dit qu’il était facile pour moi de mentir et qu’elle connaissait toutes les techniques des humains… Moi je n’utilisais aucunes techniques, c’était un peu comme porter un masque que de faire ce genre de choses. Quelqu’un appela le vendeur juste quand je commençais ma phrase, cela me laissa quelques minutes. J’expliqua alors :
« Désolé, j’avais complètement oublié cela. Mon nom est Ryôsuke Arisawa. Et si tu veux savoir je mens très mal, en général cela ne marche que sur les gens comme lui. »
Dis-je en montrant le vendeur du doigt, même vendeur qui revenait vers moi pour la énième fois. Comme à chaque fois, il me fixa comme si j’avais une tête d’extra-terrestre et s’assura de ne rien avoir raté. Je soupirai l’air de dire << Combien de temps va il encore falloir le supporter ? >> Et me tourna pour pouvoir lui expliquer convenablement que j’en avais marre de l’avoir sur le dos tout le temps ! Je pris en suite un air parfaitement sérieux, impossible de faire plus sérieux que cela tout en restant crédible, fixa le gros vendeur droit dans les yeux prêt à lui crier dessus mais je garda un ton relativement calme. En fait je n’avais pas envie de crier pour déranger tout les clients et peu être même me faire mettre à la porte… En temps normal cela ne m’aurais pas vraiment dérangé mais là je voulais vraiment passer la porte de l’animalerie accompagné de Aku, allez savoir pourquoi d’ailleurs ! Après avoir fixé le vendeur un moment en préparant des mots qui m’éviteraient d’être jeté dehors, je lança :
« Mais en fait, quel intérêt avez-vous à me surveiller ainsi ? Vous vous en fichez certainement mais vous avez dû perdre une petite dizaine de clients car vous preniez trop de temps à leur goût. Vous devez vous dire que tout est parfait dans le meilleur du monde tant que cette demoiselle ne passe pas la porte de l’animalerie… Bénéfice pour vous… Moins que rien. Vous êtes sur que ca va bien au niveau cérébral ?»
J’avais été un peu dur, moi ? Mais non ! Qu’allez-vous chercher là ? Je n’avais qu’une envie c’est rire mais là je me serai vraiment fait jeté dehors ! Je compris que j’avais énervé le vendeur au moment où je le vis prendre un air supérieur qui voulait tout dire et se diriger vers sa caisse. Victoire ! J’étais sans doute débarrassé de lui pour un petit moment car il lui faudra certainement du temps pour trouver réponse à ma question, même si je savais déjà que quelque chose clochais dans sa tête… Cela me semblait presque évidement à moi et j’étais persuadé que Aku aussi s’en était rendu compte depuis bien longtemps. Je lui avais fait la morale et cela arrangeait les autres clients qui s’impatientaient, le va-et-vient commençait à reprendre et les gens se dirigeait vers la caisse, soudain quelqu’un me percuta et mon carnet de croquis alla glisser jusqu’à sous un présentoir sur lequel se trouvait des colliers et des laisses, la personne ne s’excusa pas et se contenta de prendre un air supérieur, je devinai tout son caractère et ses moyens financiers, encore un riche abruti qui se croyait mieux que tous. Je me releva et me rendis compte que je n’avais plus mon carnet, paniqué, je me mis à le chercher mais en vain. Je devais l’avouer, ce carnet était mon trésor le plus précieux. |
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