Nouvelle vie, peu amusante? [PV Fushigi Kurai]

L'animalerie, l'animalerie et encore l'animalerie... Cela faisait plusieurs semaines que je faisais le mannequin dans la vitrine... Je me demandais quand es-ce que j'allais pouvoir être adoptée et amené loin d'ici. Oui, j'avais enté de me sauver. Oui, j'avais échoué. comment j'avais fais? J'avais profité du temps où le gardien m'amenait de la nourriture... Disons que dans cette vitrine, où je suis, il était obligé d'ouvrir la porte pour me donner ma nourriture. J'en avais marre de cette bouffe en canne... On me traitait vraiment comme un chat, comme un ''Vrai'' animal et j'en avait plus que par dessus la tête. Ils ne comprenaient pas que j'aimais aussi les légumes et la bonne viande, comme eux, les ''humains''. Mouais... J'avais si hâte de partir, que j'avais essayé de pousser le gardien et de m'enfuir par la porte avant, l'entrée de cette animalerie, comme on l'appel... Par chance, il ne m'avait pas frappé, car j'étais son plus beau mannequin, mais il ne me donna pas cette bouffe en canne pendant deux jours, seulement de l'eau. De toute façon, je détestais cette nourriture. Je suis certaine que ça coûte presque rien pour eux et ça maintient les ''animaux'' en vie.

Un matin, je me leva de très bonne heure. Le gardien et le vendeur n'était pas encore arrivés pour travailler. Je me souvenais aussi que c'était mon jour de bain. J'avais hâte que la dame arrive pour me laver! Je commençais à avoir le poil sale, à force de faire mes besoins sur du papier journal... C'était répugnant... Il nous prenais réellement pour des animaux, mais j'avais déjà été dans une animalerie et même les ''vrais'' chats sont mieux traités que nous. Mais bon, si j'étais encore envie je le devais à cette jeune femme qui me lavait chaque semaine. Elle me protégeait, sûrement qu'elle m'aimait, en quelque part au fond d'elle. Mais elle était là qu'une fois par semaine pour venir faire le lavage des neko dans la vitrine. À ma gauche, il y avait un neko mâle. Charmant, cheveux foncé, yeux pâles. Il me faisait souvent de beaux yeux, mais je m'en foutais. Moi, tout ce que je voulais, c'était sortir de se trou pour essayer de m'enfuir et me venger de mon père. J'avais encore cette haine au fond de moi, celle qui me maintient encore en vie... Celle qui m'anime. Mais... Une fois devant lui, je me demande bien ce que j'allais faire... Allais-je être aussi faible que je pouvais l'être avant?


En après-midi, la jeune femme arriva, elle me sortit de ma vitrine et elle m'amena dans la salle de bain. Je n'essaya pas de me débattre ou de m'enfuir avec elle, bien que je le pouvais car elle ne me semblait pas très forte. Je la respectais. Elle me fit entrer dans un bon bain chaud avec de la mousse blanche qui sentait les fruits. J'appréciais son geste d'avoir mit une mousse dans le bain! Je m'adossa contre le bain et je ferma les yeux. Elle me laissait toujours une bonne demi-heure dans le bain pour me vider l'esprit, pour que je puisse prendre du ''bon temps''. Après ma demi-heure passé, elle me sortit, m'essuya et elle me passa les cheveux et le poil sous un espèce de gros ventilateur chaud. Désolé de ce mot, mais je ne connais pas ce truc... Elle me dit que c'était un séchoir géant. Alors voilà, c'est ça. Ça fait énormément de bruit, mais c'est agréable de sentir le souffle chaud qui pousse contre notre peau frêle. Je me souviens d'avoir eu un frisson, pas n'importe lequel des frissons, celui où vous vous dites que vous êtes ''bien''. Une fois toute séché, la jeune femme me donna un chocolat très mou que je dégusta et je mangea rapidement, pour ne pas que le garde ou le vendeur me vois. Je le dégusta en le tétant et elle vint me reconduire jusqu'à ma cage.

En fin de journée, toujours dans ma cage, j'attendais... Je ne sais quoi. Le gardien nous apporta notre diner, la classe, j'avais encore la moitié d'une canne de saumon avec un verre d'eau. J'en avait marre du jambon en canne il était temps qu'il fasse changement! Sûrement que cette semaine, le saumon était en spécial dans les épiceries... On ne le saura jamais. Je mangea mon saumon avec appétit et je bu mon verre d'eau au complet, pour garder la force d'affronter le soleil plombant sur mon visage une journée de plus. C'était très difficile de rester chaque jour devant un soleil qui plombait sur nous. Mais avant que je puisse encore pensé au soleil reflétant sur moi, je vis un homme passer devant l'animalerie et il entra. Je me demandais qui serait le chanceux ou la chanceuse qui allait quitter ce trou à rat une bonne fois pour toute. Je faisais des poses sexy, comme le vendeur me le demandait. Je devais faire ça à chaque fois que je voyais quelqu'un passer, que se soit un homme ou une femme.

Fushigi Kurai se sentait d'une humeur massacrante et infernale aujourd'hui. Surement parce que sa prime n'avait cessé d'augmenter depuis qu'il avait recroisé l'hybride à qui il devait ces tourments. Ce soir-là il dut courser toute une unité de police, sans compter l'hélicoptère qui l'avait ébloui de son projecteur. Bien sûr ces évènements datèrent depuis déjà une bonne semaine. Ce matin-là, le tueur fut appelé pour appuyer un braquage. Son rôle fut celui de transporteur et son efficacité fut sans précédent. Lorsque l'explosion eu retenti, il avait déjà fait préchauffer les pneus de la voiture en accélérant, frein à main levé. Les forces de police avaient déjà pénétré le secteur et les braqueurs entraient à peine dans la voiture du fugitif. Passage en première. La BMW noire zigzaguait au milieu des voitures désorientées de flic, ceux à pied tentait vainement à l'aide de leur arme de fissurer la vitre pare-balle de la voiture. Les seul moyen de le mettre en difficultée fut les herses et le contact direct, car la carrosserie de la voiture est plus solide que la normale et son blindage, caché sous une peinture noire brillante, la protègeait des impacts d'IEM employés couremment par les forces de polices pour arrêter les suspects en poursuite. Une fois lancé dans la ville, l'automobile fonça à plus de 120 kilomètres heures, prenant exprès des routes étroites pour faire lacher des poursuivants tenaces. Sorti de la ruelle il freina brusquement, un barrage avait été mis en place. Les autres voitures qui le poursuivait restèrent à l'arrière pour pièger les suspects. Le conducteur soupira puis gloussa. Il refit préchauffer les pneus, laissant gronder un moteur qui laissait envisager ce que le transporteur eu prévu. Il accéléra à fond, le couple du moteur fut si puissant que les roues avant quittèrent le sol. Fushigi utilisa la puissance de couple pour passer le barrage. Le bas de caisse rebondit sur les voitures du barrage avant d'atterrir de l'autre côté. Après quelques dégats et une bonne demi-heure, il échappa aux derniers policiers et alla hors de la ville, plus précisément sous le pont autoroutier où il déposa les braqueurs, une camionnette attendait là. Ainsi en une journée, Fushigi avait encaissé le quart de la somme volée: 240.000£. Après le départ de la miteuse camionette, il chercha dans le coffre de la voiture, une plaque d'immatriculation qu'il installa à la place de l'ancienne. Ce fut la mesure basique du contrevenant.

Une fois toute les mesures prises, il entra à nouveau dans sa voiture et retourna vers le centre-ville, où un marchand lui devait depuis belle lurette un montant de 20.000£. En effet, il avait du traquer des nékos qui avait tenté de s'évader et qui malheureusement n'avaient pu aller loin avec cet homme impitoyable envers les cibles qu'on lui donne. Et si encore sa cruauté s'arrêta là, il se donnait un malin plaisir à titiller la fierté néko. Non pas qu'il les considérait comme des animaux ou une race inférieur, c'est plutôt le contraire qui le dépitait: leur potentiel était rabaissé plusieurs fois à des tâches ingrates (souvant à un jouer sexuel) et ceux-ci acceptaient docilement alors que leurs membres félin constituaient leur meilleur atout. Il n'aimait guère ce caractère pitoyable sensé le culpabiliser... cela lui donnait au contraire des envies de les massacrer tous et de leur offrir le salut: la mort. La voiture s'arrêta enfin dans une rue en face de l'animalerie. Il sorti et marcha un peu plus loin pour mettre ces sous dans l'horodateur avant de revenir sur ces pas, passant devant la vitrine qui renfermait une néko aux formes généreuses qui tentait surement de faire du charme aux clients dans le but de l'acheter. Il ne tourna même pas la tête, le spectacle ne lui en valu pas la peine. Il entra dans l'animalerie, le son de la cloche retenti et le vendeur ne put se retenir de faire un pas en arrière.

M...Monsieur Kurai! Je ne m'attendais pas à...

Assez causé Igor... sa fait un bon mois que j'attends ton paiement! Tu crois que sa m'a fait plaisir de raler tes nékos par la peau du cul? C'est humiliant sais-tu de se faire passer pour une nounou?

Mais pas du tout! Enfin vous êtes loin de la simple nounou, vous rendez un fier service à la communauté!

La même qui me traque et qui expose les nékos dans une vitrine comme une robe à porter je suppose... Bordel c'est quoi cette odeur!

Surement...

Bon sa va je ne veux pas savoir! Donne moi mon argent, j'commence à me faire chier ici.

Les affaires ne sont pas florissantes! Je ne pourrais pas encore vous verser cette somme...

C'est fort dommage alors.

Sans prévenir, l'homme de main sorti son arme et la braqua contre le vendeur qui leva instinctivement les mains.

Non attendez! Pitié!

Tu sais ce que j'en fais de ta pitié?

Laissez moi vous donner quelque chose d'équivalent alors!

Un néko galeux qui s'est chié dessus ou alors une qui est devenu un légume en ayant été trop sautée? Autant que je les dégommes et toi avec.

Il abaissa son arme et le vendeur alla ouvrir la porte menant à ce qui semblait être la vitrine. Il y sorti la néko aux poses érotiques. Fushigi la fixa alors avec attention regardant de haut en bas, regardant méticuleusement toute qualité et défauts apparents. Il en était venu à ce diagnostique: néko au corps de rêve en apparence mais horriblement fragile à en juger par sa finesse qui laissait envisager le régime pain sec et eau dans le pire des cas. Côté caractère: déterminé. Il avait pu le voir dans une lueur de ces yeux, alors que le regard de l'homme, caché derrière ces lunettes brillait de fureurs et de rancunes... aussi de désirs multiples de meurtres de torture et de viols. Il voulait des cris et des larmes. Elle semblait vouloir autre chose de plus que sa liberté. Typiquement le genre de néko qu'il pouvait manipuler avec son petit rêve d'enfance, donc potentiellement plus efficace que Kiyo qui était chargée du magasin aujourd'hui. Il rangea son arme dans sa veste et croisa les bras attendant les explications du vendeur.

[pour une idée de la voiture: http://www.netcarshow.com/bmw/2011-m5_concept/]

Effectivement. Un homme étrange était entré dans le magasin, demandant une somme dût. Je n'avais encore jamais vu le vendeur qui voulait autan se chier dessus.. .Expression étrange, mais il avait une peur bleue de cet homme. Je me demandais si il allait bien le tuer, j'en avait envie. Bien qu'il ne m’ait jamais touché ''sexuellement'' ça valait pour lui. Il me laissait pourrir ici depuis déjà des semaines. J'en avait marre et je voulais partir d'ici, retrouver mon père et le tuer. Je sais que j'en serais capable, bien que je n'ai jamais commis de meurtre, il le méritait. Il avait tué ma soeur et ma mère. Je ne pouvais cacher la rage que j'avais en moi, celle qui m'anime encore, celle qui me tiens en vie après tant de jours captive.

Le vendeur décida de lui donner un neko en échange de sa dette. Je me dis alors que le prochain neko qui allait être celui de cet homme, allai certainement souffrir... Il me semblait brutal, violent et... manipulateur peut-être. Mais à ma grande surprise, le vendeur me sortit de la vitrine. Je me dis alors que je n'avais pas de bol... Mais il paraîtrait que je valait 20 000 euro... M'enfin. En me sortant, l'homme mystérieux m'examina de haut en bas. Les bras pendant sur le côté de mon corps, je m'élança de cracha à la figure de cet homme. Peut-être que je n'aurais pas du, mais je ne voulais en aucun cas qu'il m'achète. Je voulais un maître ou une maîtresse faible, du genre qui me laisserait me sauver. il ne fallait pas qu'il me prenne...

Le vendeur s'excusa de mon comportement et il ajouta:

Vous ne croyez pas que vous aurez du plaisir avec elle? Regardez-moi cette belle poitrine...

Il me prit un sein, le massant pendant quelques instants. Je me débattue et je lui donna un cou de poing au ventre puis à la figure. En voulant m'échapper, je tomba dans les bras de l'homme inconnu. Le vendeur vint me reprendre et il me tenait par les deux bras, caché en arrière de moi. Soit il avait peur de cet homme et qu'il se cachait ou bien il était totalement barge de me laisser devant lui... Je n'avais pas peur de recevoir un cou de poing sur la figure pour mon geste, j'avais envie d'un peu d'action à vrai dire. J'en avait eu l'habitude avec mon père, lorsque j'étais u peu plus jeune. Je n'avais jamais pleuré lorsqu'il me violait ou me torturait, jamais. Ce n'était pas là que ça allait commencer. J'espérais juste qu'il ne me tue pas pour ce geste, j'avais envie de vivre pour me venger.

L’hybride audacieuse lui avait craché au visage alors qu’il la regardait de près. L’humain trouvait cela horriblement irritant, l’envie de meurtre lui était souvent arrivée pour moins que ça. Le vendeur avait beau demander des excuses pour l’attitude de la néko, essayant de négocier son pardon en pelotant le sein pour donner en vain une autre envie au terrible homme au regard sombre. La néko se désarçonna de l’étreinte de son revendeur, profitant pour lui donner des coups bien assurés… mais sa fuite fut stoppée par la carrure imposante de l’assassin. Le petit homme prit alors l’hybride par les poignets et l’exposa à Fushigi, tentant de se cacher désespérément derrière. Il la fixa sans sourire, prit un mouchoir et s’essuya le visage. Il écrasa ensuite son mouchoir et l’envoya dans la corbeille. La tension fut à son comble, il put le sentir. Les nékos dans leur cage furent soulagés de ne pas avoir été choisi, éprouvant de la pitié pour la petite camarade désormais en proie au courroux du prédateur. Il passa l’un de ces doigts sur la poitrine de la jeune, appuyant à un moment avant de prendre le sein en main, pour le masser.

Effectivement c’est de la poitrine…

Dès le dernier mot disparu, il écrasa le sein dans son poing et l’utilisa comme une poignée sans grande importance, à laquelle était incrusté un morceau pendant de chair. Par sa force, il n’eut pas de difficultés à la lever du sol, le vendeur laissant ces mains libres allant se débattre vainement sur le bras du sinistre, dont rien ne pourrait le faire lâcher en cet instant, il voulait montrer à cette petite prétentieuse qu’il fut bien moins accueillant des autres humains qui auraient pu lui faire endurer quelques épreuves.

… mais c’est loin d’être suffisant pour survivre.

Il pressa d’avantage et la balança contre le comptoir. Il écrasa ensuite sa semelle sur la joue de la jeune fille sous les yeux terrifiés du vendeur. Il riait intérieurement lorsqu’il avait vu la figure du néko se transformer si vite, la surprise avait ralenti le tout. Lui masser le sein et la violer pour un crachat en pleine figure lui étaient apparu comme un trop grand cadeau de bienvenue accordée à cette néko. Pour lui, seule une mort lente et douloureuse laverait cet affront. Il réfléchit un instant cependant à l’utilité de cette néko. Elle avait quand même réussi à se défaire de l’étreinte du vendeur, cela suggérait une certaine débrouillardise. En y regardant, Kimiyo lui avait certes servi pour faire l’appât mais non guère comme un soutient. Avec un peu d’entrainement et un peu plus de discipline, cette néko était susceptible de pouvoir être d’une grande utilité au grand homme. Il retira alors son pied et le posa au sol.

Sinon gamine… ta mère ne t’a jamais appris qu’il était malpoli de cracher sur les gens ? Laisse-moi deviner… ton père à du t’enseigner le contraire pour te montrer qu’il t’aime ? T’aurais pu au moins apprendre que la vengeance est un plat qui se mange froid idiote !

Il ne savait guère ce qui était arrivé à cette néko. Mais les faits de tous les jours étaient sans conteste. La majorité des hybrides ont connu des violences de leurs maîtres ou alors même de leur proche. Il était bien facile de deviner que c’est ce qui fut arrivé à cette néko. Le bluff avait une chance sur dix de marcher. Mais à en déduire de son jeune âge et de son regard déterminé, les chances et les décisions penchèrent sur l’hypothèse d’un père violent. Il n’avait plus qu’à voir si ces prévisions furent juste.

[désolé du retard, mais la wifi de mon ordi semble merder en ce moment, j'utilise donc le linux de mon frère... bref j'me fait chier =_=]

L'homme c'était essuyé le visage avec un mouchoir. La jeune neko eu un petit sourire en coin. Il n'allait quand même pas lui faire de mal ici, à la vu de tout le monde... Mais à sa grande surprise, il lui empoigna le sein, ce qui la fit gémir de douleur. Il y allait si fort... plus fort que son père avait fait auparavant... Il n'y allait vraiment pas de main morte. Il la souleva du sol, la projetant contre le comptoir du magasin... Mia voulut se relever, avec difficulté, elle avait mal au dos, la chute avait été brutal, mais avant de pouvoir se relever, l'homme mystérieux vint appuyer son pied sur sa tête, l'écrasant. Mia ne bougea pas, elle savait qu'il lâcherait prise, alors pourquoi le provoquer?

Enfin, il enleva son pied de sa figure d'ange. Il lui demanda par la suite si sa mère lui avait déjà dit que de cracher sur les gens était malpoli... Pfff... Comme si elle ne le savait pas. Puis il vint parler de son père... Ce qui la mit dans une rage indescriptible. Elle se releva, et elle se lança sur son agresseur, le mordant au cou. Il eu un peu de sang, mais elle n'avait pas pu mordre bien profond vu que le vendeur vint la frapper au visage. Mia tomba par terre, mais elle se releva, avant que le vendeur lui dise qu'elle avait fait une bêtise et qu'elle allait le regretter. Elle le vu détacher sa ceinture, comme son père avait l'habitude de lui faire.

Le vendeur prit un élan pour la frapper avec la ceinture et il lui projeta deux coups sur ses seins. Elle eu deux marques qui commencèrent à saigner. Il n'y avait pas été de main morte et il avait l'air de vouloir lui faire plus que quelques coups de ceinture... Effectivement, il détacha son pantalon, laissant apparaître un membre en érection. Alors la violence le faisait bander? Comme son père... C,était vraiment dégoutant à voir. Mais la jeune neko ne voulait pas se laisser faire. Le vendeur, sans pudeur, prit Mia par les mains, la tourna dos à lui e il l'accota sur le comptoir du magasin. Il commença à détacher son habit avec une main, l'autre tenant fermement les poignets de Mia. La jeune fille se débattait, mais son agresseur mettait tout son poids sur elle pour ne pas qu'elle se libère...

''Je crois que tu es vierge ma belle... Regarde ce petit trou!''

Mia réussit enfin à se défaire une main de son dos et elle chercha une arme sur le comptoir, avant qu'il ne réussisse à la violer. Elle trouva donc un stylo bleu pour écrire et elle le planta droit dans le cou du vendeur. Celui-ci la lâcha immédiatement, se retrouvant à l'agonie, en train de mourir. La jeune neko était debout devant lui, elle le regardait souffrir. Peu à peu, le vendeur mourrait à petit feu... Mia regarda l'homme mystérieux et elle lui dit d'une voix neutre:

''Alors. Que me réserve-tu?''

L'homme avait regardé Mia tout de temps, sans rien faire. Et puis... Il s'en lavais les mains, Mia avait fait son boulot en quelque sorte. Mais il traina la carcasse du vendeur dans l'arrière boutique et il passa la serpillière sur le sang fraîchement sortit du corps. Il revint vers la jeune neko et il lui dit qu'il l'aurait certainement attaché à un arbre, la laissant se faire violer ou encore lui arracher les entrailles... Bref, un truc du genre. Elle écoutait à moitié, elle s'en foutait. Elle n'avait pas un sourire aux lèvres, bien au contraire, elle avait une rage dans son regard, elle ne voulait pas de ce maître. L'homme lui dit alors que Mia lui servirait à rien si elle était morte... Encore heureux! Il lui mentionna également qu'elle avait la moitié des qualités qu'il cherchait chez une Neko. La jeune fille détourna le regard jusqu'à ce qu'elle entende un truc qui attira son attention. L'homme craqua ses doigts et il enleva ses lunettes. Elle pu apercevoir son regard rouge, menaçant. Il lui mentionna alors qu'elle devait se préparer à être baiser comme jamais. Mia lui fit un petit sourire moqueur. Elle pensait bien qu'il ne réussirait pas à faire quoi que se soit avec elle.

Mia le regarda, avec un regard aussi froid que le sien. Elle avait une idée en tête, mais es-ce que cet homme allait accepté? Elle s'approcha de lui, elle déposa ses mains sur le torse de l'inconnu et elle avança son visage vers l'oreille droite de celui-ci, se mettant sur le bout de ses pieds. Elle était vraiment plus petite que lui, amis ça, elle s'en foutait. Elle vint lui dire à l'oreille des mots peut-être provocateur, mais au fond d'elle, à voir le caractère de ce homme, elle savait qu'il allait s'en moquer. Mais... Pourquoi pas essayer? D'une voix douce elle vint lui dire:

''Je pourrais te faire jouir comme jamais tu l'a fais auparavant! Mais tu sais, si tu ne me touche pas, je suis prête à t'aider. Je tuerai autant de fois que tu le voudra.... Et je ne serai plus méchante avec toi.''

Elle espérait que ça allait le faire changer d'avis. Elle ne voulait pas être baiser par un inconnu, tout ce quelle voulait, c'était se venger de son père. Alors elle eu une autre idée. Elle se tourna dos à l'homme et elle alla s'asseoir sur le comptoir de la boutique. Elle eu un petit sourire malsain avant de croiser les jambes et de se rhabiller.

''Si tu m'aide à tuer mon père, je promet de faire tout ce d'on tu voudra et je ne te manquerai plus de respect.''

Mia resta assise sur le comptoir, contemplant la carrure de l'homme devant elle. Faisait-elle un pacte avec le diable lui-même? Aucune idée... Mais elle serait prête à tout pour tuer son vieux père. Mais pourquoi elle avait besoin d'un aide tel que lui? Simplement pour le déplacement... Elle savait qu'elle était prête à le tuer, tout comme ce vendeur idiot qui avait toujours tenté de la baiser dans l'arrière boutique. Par chance, jamais il n'y était arrivé. Jamais elle aurait voulu donner son corps à un homme aussi pourrit que lui. Mais cet homme devant elle... Quelque chose l'attirait. Elle savait qu'il avait trop besoin d'elle pour la tuer. Elle allait en profiter au maximum. Mais pour cela il fallait aller chez lui. Mia se leva du comptoir et elle alla au mur derrière le comptoir. Il y avait pleins de jouets sexuels qu'il vendaient aux humains pour jouer avec leur neko fraîchement acheté. Elle prit une cravache noire et elle la testa sur le comptoir derrière elle. Mia eu un petit sourire malsain. Elle garda la cravache en main et elle alla voir l'homme qui attendait.

Elle passa la cravache sous le menton de celui-ci, prenant plaisir à s'exciter elle-même. Puis elle regarda l'homme directement dans ses yeux, leur regard se mélangeant. Elle avait drôlement envie de coucher avec lui, mais elle ne le ferait pas. Pourquoi? Simplement parce qu'elle voulait l'utiliser, en quelque sorte. Elle voulait qu'il l'aide à tuer son père, à faire, ce d'on elle avait tant désiré depuis toutes ces années passé dans cette vitrine. La cravache se retrouva à masser l'entre-jambe de cet homme et Mia eu un sourire pervers. Elle voulait partir d'ici, mais il fallait convaincre l'homme.

''Alors... Tu m'emmène ou tu prend un autre neko?''

La jeune néko tenta de passer un contrat avec l'humain: l'aider à traquer son père et le tuer. L'idée fut bien tentante et la prime qu'elle lui promettait fut alléchante. Mais il y avait bien quelque chose qu'elle avait oubliée: c'est que ce ne fut pas n'importe quel humain qui fut devant elle. Fushigi Kurai était bel et bien l'homme de main le plus solicité, connu à travers le monde par les cruautés infligées aux victimes avant qu'elles ne soient exècutées. De sa main, il avait déjà tué des hommes, des femmes, des enfants, des familles, pour une bonne somme de livre sterling, ce qui avait constitué sa plus grande richesse. Aujourd'hui il fut même affublé des taches ingrates à savoir la capture des nékos en échappes. Il laissait à ces cibles un instant de victoire pour les mettre en conscience avant de leur arracher par une démonstration de force. La sensation de voir leurs yeux plein d'espoir se vider dans les larmes ne fut que trop jouissif pour cet homme que rien n'épate.

Alors une promesse aussi grande que celle de la néko ne fut sans aucun doute le plus gros bobard qu'on ai voulu lui faire avaler. Il serait si simple de fonctionner ainsi. Ayant accepté et trouvé le père de cette hybride, il se serait fait descendre après l'avoir confié une arme. Cette néko était bien trop avide de liberté pour respecter un tel contrat, il l'avait constaté dans sa vivacité alors qu'elle s'était attaqué au marchant, sa volonté avait parlé dans l'action du meurtre... Or quand c'est la volonté d'un Kurai qui parle, c'est l'adversaire qui tend à baisser la tête.

Un claquement retenti, la néko avait prit une cravache et l'avait abattu sur le comptoir. Elle s'approcha de l'humain et mit le bout de la cravache sous le menton de Fushigi. Quel impertinence qu'il fut trop impatient de corriger. La cravache massait maintenant son entre jambe qui se mit à durcir. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas violé une victime, souvent se fut l'humiliation donné à l'agonisante qui mourrait dans les larmes et le sperme. Elle avait réveillé cette envie, et maintenant elle allait en payer les frais. Il croisa les bras et la regarda le sourire amusé.

De belles avances pour une hybride qui veut la liberté à tout prix... c'est facile de me promettre le respect et la soumission sexuelle et de me coller une balle après t'avoir livré ton père sur un plateau...

Il saisi instantanément le poignet de la néko et le retourna pour la maîtriser. Le sourire alors se fendit, le regard fut de braise.

Mais je crois que tu ne sais pas trop bien à qui tu as à faire... si ton vendeur fut un pitoyable boulet, je suis bien moins sympathique que lui, ma confiance se gagne.

Il tourna d'avantage le poignet de l'hybride avant de la coller à son dos. Il ne savait que trop que la faiblesse résidait dans les articulations. Il la plaqua contre le comptoir et de sa main libre plongea sa main dans le soutien-gorge, massant la boule qui constituait son sein. Il saisi délicatement le bout du téton qu'il fit glisser entre ces doigts sans trop le presser, il voulait partir en creschendo, que son extase corresponde à l'expérience la plus marquante de cette néko.

Tuer ton petit pervers de père ne poserais aucun problème, te donner un foyer non plus, t'avoir comme assistante dans mon travaille serait d'une très grande utilité et ton corps est aussi appréciable de vue qu'à baiser... mais il y a quelque chose que tu as oublié... c'est moi qui manoeuvre, c'est moi qui décide... je suis le maître, tu es ma domestique.

Il retira sa main et alla la faufiler sous le léger tissu qui couvrait son intimité, allant la carresser du bout des doigts avant de faire légèrement pression.

Prouve moi ce que t'avance et fait moi jouir comme jamais!

[désolé si je traine encore à l'animalerie, je préfère terminer le rp avec kimiyo pour qu'on fasse un rp à trois dans la maison de Kurai. Et désolé du retard... problèmes perso...]