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 Courez Neko, vous avez tué ma vie...

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MessageSujet: Courez Neko, vous avez tué ma vie...   Courez Neko, vous avez tué ma vie... EmptyMer 5 Oct - 14:37

Sanchez, Luna




Informations globales.


Nom : Sanchez.
Prénom : Luna.
Âge : 24 ans.
Orientation : Homosexuelle.
Moyens : Riche.
Métier : Propriétaire de l’hôtel de luxe ''La Roserai''


L'approfondi


Physique :

Mon corps à un visage d'ange.
Long et blond, les rayons du soleil se réfléchissent et rendent la couleur de mes cheveux encore plus belle. Ceux-ci, font ressortir les reflets dorés qui encadre mon visage en tout temps. Toujours plats, sauf quand je sors pour de grandes occasions ou de la douche, ils ondulent de chaque côté de mon visage encadrant en une autre manière mon minois angélique. Autre détail de mon visage, mes prunelles bleu sont profondes et attirantes. Un regard doux pour une personne qui en est autrement.

Je ne suis pas très grande et alors?
Pour sûr, je ne pourrais être qualifié de <>. Mais, n'allez pas croire que je suis petite. Peux être ai-je un corps frêle, mais je n'en reste pas moins de grandeur normal et ceci n'est en rien un complexe. Bien au contraire. Étant mince, j'ai la faculté de me faufiler n'importe où, ce qui me sort souvent des embûches que mon côté irréfléchi peut me créer. Cela dit, je possède un peu de <> prouvant sans nul doute que je ne suis pas anorexique ni boulimique et encore moins au régime.

J'aime les jupes et les rubans.
Il n'y a rien de mieux comme cadeau qu'un ruban, une jupe ou une sucette. Adorant les jupes, je cherche bien souvient une occasion pour en porter. Celle-ci sont habituellement légères et féminine tout en mélangeant le côté mignon et sexy. Je n'aime que très peu les pantelons et les shorts, aimant et étant plus à l'aise en jupe, voir en robe et entre nous, une jeune femme adorable en robe est toujours plus belle. Dans mes cheveux, vous êtes sur de trouver des rubans ou des fleurs, leurs couleurs variant évidemment avec ce que je porte. Par ailleurs, j'adore et je porte ce que l'on m'offre, quelques soient les occasions. Normal, non?

J'ai des marques sur le corps...
Une tâche de naissance, une coupure, un tatouage et un percing. La tâche de naissance se situe au niveau de l'aine, de mon côté droit. Une jolie petite tâche pouvant s'apparenter à un tatouage, car elle est en forme de croissant de lune. Une coupure sur la joue droite, une petite et mince ligne me rappelant la première fois que j'avais voulu dominer une Neko. Un tatouage, quelques étoiles sur mon bras gauche qui ne fait qu'ajouter une touche coquette à mon corps tout comme le percing à mon nombril. Un petit papillon argenter avec des diamants pour faire briller celui-ci.

Caractères :

Je suis? Toujours joyeuse et souriante.
La première chose selon moi que vous pourriez remarquer chez la jeune femme que je suis, serait la faculté surprenante d'être toujours de bonne humeur, de toujours sourire et de rendre les gens qui m'entourent, heureux. Depuis toute petite, je montre une facilité d'approche envers les autres. Rarement de mauvaise humeur, rarement en pleure, je ne montre jamais mes sentiments aux gens ou s'il m'arrive bien malgré moi de pleurer, se sera devant des gens de confiance pour les quelques rares privilégier. Il est très difficile de savoir si je souris vraiment ou si ce n'est qu'une façade, un masque de moi-même, car noter bien que je ne montre simplement pas mes sentiments, mais je les vis. Étant donné que je suis la seule à vivre dans mon corps et que celui-ci éprouve et ressent de sentiments que moi seule interprète, ceux-ci ne regarde que moi.

Je suis? Gourmande et enfantine.
La deuxième facette de mon caractère qui est proéminente est ma gourmandise toujours grandissante. Les sucreries de toutes sortes, surtout les sucettes sont les péchés-mignon de la petite fille qui régit ma tête. De ceux-ci, je pourrais en manger des quantités faramineuses sans avoir à me soucier de prendre un petit kilo. Les dents par contre, sont une tout autre histoire. Le chocolat ou comme mon père s'amusait à l'appeler, ciccolato ainsi que toutes les pâtisseries aux fruits font également parti des pêchers immortels du monde, lesquels sont vitaux pour ma santé mentale. De plus, en parfaite gamine plongé au coeur d'un monde pour adulte, je possède une peluche, un petit lapin que ma mère m'avait offert le jour avant ma naissance. Seul cadeau qui jusqu'à ce jour, venait entièrement d'elle.

Je suis? Naïve et irréfléchie.
La partie enfantine qui sommeille en moi, peut me causer bien des problèmes parfois. Mon lapin pourrait en témoigner sur l'honneur. Et oui, il le pourrait! J'ai une tendance à rapidement faire confiance et ne pas voir qu'on se moque de moi. Ce qui peut paraître vraiment étrange étant donné mon pouvoir. Mais, naïveté n'égale pas innocence. Il y a ici une nuance très importante qu'il vous faut saisir. Ma naïveté m'emmène quelques fois à faire des choses déplacer et/ou irréfléchi, ce qui me place dans des situations impossibles et insolites la plupart du temps. Franche, je n'irais pas par plusieurs chemins pour dire ce que je pense. Une étape encore ou l'irréfléchie prime sur le reste de mes idées.

Je suis? Sensible et attachante.
Moi, Luna j'aime les gens qui m'entourent qu'ils soient de la race supérieure ou simplement Neko. Aider, me rendre utile également. De nature douce et tendre avec les autres et ce même quand il s'agit de femme et d'amour, je n'hésiterais jamais pour faire plaisir tout en gardant mes intérêts et valeurs. Me sachant délicate, fragile et très sensible, je n'irais pas dans des situations ou mon caractère ne me le permettrait pas. Un vrai coeur en or, je crois encore possible de trouver la princesse de mon cœur. Un côté très délicat supplémentaire à mes enfantillages qui poussent certaine personne à vouloir me protéger, à faire en sorte que je ne cesse jamais de sourire. On s'attache facilement à moi de part ma douceur et ma gentillesse, mais aussi par ma beauté adorable et angélique.

Je suis aussi, colérique et violente....
Et pourtant, vous devez tous vous dire que jamais, Luna, cette jeune femme naïve serait capable de violence. Maintenant, détrompez-vous, car la femme qui ne pouvait pas faire mal à une mouche plutôt le peu, désormais. Je me fâche rapidement et peut même serrer les poins quand les gens s'attaquent à ceux que j'aime.Je ne supporte pas que les gens leur fassent du mal. Très jalouse en ce qui concerne la famille et les amours, je sais me montrer protectrice quand il le faut et des fois-même plus qu'il ne le faut. Que je suis gentille et innocente avec des humains, je change du tout au tout avec les Nekos. Je leurs en veux de ne pas être des jouets docile et avec eux, je peux faire les pires atrocités. Il ne sont rien et je les traite comme tel.

Histoire :

(Les paroles des personnages en couleur sont des personnages autre que Luna et les paroles précédés de deux tirets également. Les paragraphes en blanc sont des retour dans le passé.)

Nous étions en après-midi, vers les six heures et quart lorsque je mis les pieds dans l'hôtel qui se trouvait sur la plus belle vue du Dôme. L’hôtel le plus cher et le plus prestigieux qu'il m'a été donner de visité. Durant la journée, la question du << Quel hôtel? >> m'avait été posée par la demoiselle qui me suivait et qui n'arrêtait pas de regardée de gauche à droite, un nombre incalculable de fois. Moi, fière de mon coup, je n'avais dit mot sur l'origine de notre destination, le Roserai. Hôtel réputé du dôme commercial qui avait depuis sont ouverture, cinq étoiles à sont actif. Les grandes portes, faite pour des géants, mais anormalement légère s'étaient ouverte pour nous laisser passé moi et la dite, demoiselle. Et maintenant, nous étions à l'entré, aussi ébahie l’une que l’autre (plus elle que moi) devant l'incroyable beauté artificielle des lieux. Les hauts plafonds avaient des lustres en cristal, ce qui contrastaient bien avec la décoration moderne des meubles. Mêlant mes doigts avec les siens, on se dirigeaient vers le comptoir où un homme avec un sourire chaleureux nous accueillit. Cet homme, le parfait stéréotype d'hôtelier, prenait soin de lui et son sourire chaleureux nous montrait qu'il était charmeur comme l’exigeait sa profession. Les lieux respiraient la lavande, une odeur agréable qui me rappelait l'époque de ma jeunesse où j'étais encore qu'une petite fille faisant pour l'essentiel de ses journées, des gamineries. L'odeur me portait, mais mon esprit plus fort que mes rêveries, accordait son attention sur les paroles de l'homme et je me surpris même à lui répondre par mon nom et mon prénom. Alors que ses doigts pianotaient sur le clavier blanc de l'ordinateur, je vis dans ses yeux une lueur passagère d'envie d'être à notre place dans la suite que j'avais fait mise à mon nom. Il relevait les yeux vers moi, puis vers ma compagne et je su, qu'il savait. Il tournait des talons et sur le grand mur qui était derrière lui, cherchait une boite aux lettres où mon nom y était inscrit. J'appréciais cette attention de mon père, le propriétaire de mettre des noms au lieu des chiffres, ainsi j'avais l'impression de ne pas être une date d'échéance en cette première magnifique soirée. Je me mordais la lèvre inférieur lorsqu'il mit sa main sur un petit paquet et il paru étonné d'y voir écrit mon prénom à l'endroit de celui qui l'envoyait et le recevait. Il hésita à dires un commentaire, mais bien dressé il ne dit rien et me remit en main propre ce paquet cadeau tout comme la carte magnétique qui me donnait accès à la suite 1104 de cet hôtel de luxe. J'offris provisoirement les deux centre d'attention à mon amie et de la poche intérieur de mon manteau, sortis ma carte bancaire que j'offris avec une légère résistance à l'homme qui arborait un costume de pingouin. Encore là, il tapait avec grâce sur les notes du clavier et je profitais de cet instant en venant capter toute l'attention de ma consœur. Elle me regardait avec un sourire qui cachait un sentiment de culpabilité, mais qui démontrait une grande satisfaction d'être pour une fois, surprise réellement.

-Tu peux aller m'attendre où il y a le siège là-bas ? lui dis-je en lui désignant l'emplacement précédemment stipulé.

À mon grand étonnement, elle ne portait aucun commentaire et ne cherchait pas non plus à resté à mes côtés. Avec un déhanchement qui ravivait ma passion, elle partit en direction de l'endroit en question, me laissant seule devant le comptoir ou il y avait désormais un petit appareil et ma carte bancaire. Quand le quart de tour inverse à celui que j'avais posé pour lui faire face fût fait, je pris le moniteur et composait mon numéro secret tout en validant le montant qui se situait légèrement au dessus de 650$/£. L'attente ne fut pas longue avant la réponse de ma banque qui acceptait la transaction que je venais d'effectuer. Tout sourire, je remerciais l'homme qui était derrière le comptoirs et avant que je parte rejoindre la demoiselle qui laissait ses idées se mettre à l’œuvre dans la quête de réponse à la question qui était << Que contient cette boîte? >>, me dit que nos bagages étaient arrivés et qu'il nous attendaient derrière la porte de notre chambre. Les arrangements avaient été respectés et tous étaient près, conformément à leur réputation. Aussi rajouta t'il un << Bonne soirée mesdemoiselles! >> d'un ton qui trahissait ses idées perverses à notre égard. Je remerciais grandement l'homme et alla rejoindre ma douce rapidement. Mes mains se posèrent sur les siennes et mes yeux croisèrent son regard qui se voulait désormais complice du mien. Je pris la carte magnétique, lui laissant enfin le plaisir de tirer les ficelles du paquet mystérieux. Elle l'ouvrit et avec une immense joie, en sortit un diadème que j'avais acheté dans un magasin bon marché pour un prix presque dérisoire deux jours plutôt. Peux-être, aurais-je du compenser mon budget? Mais, mon plan fonctionnait à merveille et j'en était heureuse comme elle, semblait-il. Elle le posait sur sa tête et sortit de sa sacoche un petit miroir de poche en plaçant ses cheveux pour ainsi dissimuler les tiges de métal.

-Une ravissante princesse, lui dis-je en entrant dans l’ascenseur, suivit d'un couple. J'ai hâte d'être dans la chambre et d'immortaliser sa Majesté, rajoutais-je en riant subtilement tout en lui offrant une révérence.

- -J'arrive pas à croire que tu as fait ça !

Ses yeux trahissait l’excitation trop grande qu'elle tentait de me caché et se, tout comme sa voie. Le couple occupé à s'embrasser, j’eus une pulsion que je dû à tout prit assouvir. Silencieusement et avec des gestes sensuellement lent, je la tournais face à moi. Mon corps se hissant sur la pointe des pieds puis l'embrassait avec ardeur. Une bouffé de chaleur propre me prit et quand je la relâchait, je vis le diable sur ses joues.

- -Merci , dit-elle en murmurant.

Je lui souriait en venant coller son dos contre ma poitrine, mes bras autour de son ventre la retenant pour le temps du trajet. L'étage sept passait et celle juste après se trouvait à être celle du couple. Neuf, dix puis finalement notre étage, le onzième. L'étage avant le toit. Elle sortit la première de l’ascenseur et je suivait sans un mot. Le moment était palpable, celui avant de découvrir le plus gros cadeau. Celui ou l'on travaille un moment ou l'on cherche pour avoir notre surprise. Je regardais une nouvelle fois ma carte magnétique en m'assurant du numéro. On du franchir un couloir perpendiculaire et deux portes avant d'arrivé à notre logement provisoire. La chambre 1104. Ma main glissait le rectangle de plastique dans la fente et une petite lumière verte au dessus de la poignez s’illumina. Je tournais cette dernière en retirant la carte et la porte s'ouvrit sur son monde. Je la poussais nerveusement vers l'avant en venant fermer la porte qui se verrouilla automatiquement après notre passage. Nos bagages étaient bel et bien là, sur le tapis beige qui recouvrait la grande pièce, le passage et sa chambre. Directement dans l'angle du passage, une immense baie vitré et une porte patio ouverte donnait sur une grande terrasse. Elle s’élança, courant au travers du mini appartement et traversant celui-ci dans un temps recors. Ses cheveux plat et châtain qui lui arrivait à mis dos, vaguaient dans le vide du vent et peinaient à rattraper le corps qui les coiffait à tous les matins jusqu'à son arrêt complet où ils tombèrent sur ses épaules. J'enlevais mes ballerines en allant rejoindre la femme qu'elle était, sublime dans son bonheur et inaccessible pour le commun des mortels. Je m'adossais contre l'encadrement de la porte patio en croisant les bras sur ma poitrine, la regardant se pencher au dessus de la clôture de métal et de verre qui nous protégeait du vide.

-Bonne fête ! Dis-je d'une voie sexy à la femme qui se redressait en posant sur moi son regard.

- - C'est beaucoup trop pour moi! argumentait-elle en s'approchant furtivement.

- C'est mon cadeau et je crois que pour la ''star'' que tu es, rien n'est trop beau, alors accepte le et profite de se moment Princesse!

- -Je ressemble vraiment à une Princesse?

- À la plus belle Princesse du monde, lui dis-je en riant de sa question qui avait été dite avec une intonation enfantine et ou elle avait des rêves plein la tête et les yeux plein d'étoiles.

Elle franchit les derniers pas nous séparent, alors que je laissait mes bras l’accueillir comme il se devait. Elle nichait sa tête dans mon cou en se penchant légèrement, me prenant dans ses bras avec une infinité tendresse qu'elle seule était capable d’offrir, ses lèvres trouvant un chemin jusqu'à mon cou.

- - Merci Luna. Merci pour tous ce que tu as fait ce soir pour moi !

-Et demain ! Ajoutais-je en répliquant du tac au tac en venant me déprendre de son étreinte. Tu as vu la piscine là-bas?

- -Oui, s'écriait-elle en se tournant pour aller rejoindre la piscine creuser à même la terrasse.

-Maintenant, tu sais pourquoi je voulais ton costume de bain!

Déjà elle ne m'écoutait plus. Je l'avais perdu dans sa contemplation de l'endroit. J'entrais dans la suite en allant chercher nos valises. Deux par deux, je les transportaient jusqu'à la chambre en rangeant nos effets personnelles et notre linge en souriant bêtement. Tous étaient parfait. Les pétales de roses sur le lit, ma surprise en elle même. Javais réussit à détourner aisément mon ses soupçons et ainsi, la surprise avait été totale, cependant à partir de maintenant, je n'avais plus droit à l'erreur. Je me devais d'être impeccable et sans reproche pour le reste des évènements. Un bruit d'eau me parvint aux oreilles et un sourire naquit aux commissures de mes lèvres. Elle était une petite fille dans un endroit ou elle pouvait laissée court à ses folies. J'ouvris le placard en y plaçant nos valises et tout sourire, ressortis de la chambre avec des vêtements de rechange pour elle et moi. La porte de sa chambre fermé, j'allais dans la salle de bain en y déposant nos vêtements. Des bras humides me prirent par surprise et mes lèvres laissèrent un gémissement plaintif se faire entendre.

- -J'en est bien besoin avec le sel que j'ai sur le corps! Me soufflait-elle à l'oreille presque arrogante.

-Parfait, je n'attendais plus que toi pour ma petite fête.

Je me tournais vers elle venant lui faire face, me préparant à embrasser ses lèvres qui ne demandaient que cela. L'eau de la piscine ruisselait sur son corps déjà mit à nue et le mien en réponse à sa provocation s'enflammait de l'intérieur. Les mains de la belle se glissèrent sur mes joues, venant faire glisser mes lèvres qui allait à la rencontre des siennes.

-La douche!

- -Déjà?

Elle ne répliquait rien de plus, aucune parole, seulement des gestes. Ses mains prirent les miennes et les firent glisser sur mon corps qui ne demandait que ses caresses,... J'enlevais mes vêtements et les laissais aller à la rencontre du sol froid sans résistance. Je la repoussais amoureusement, jouant ma rebelle pour lui résister encore et encore, venant lui tourner dos et poser mes mains sur le rideau qui empêchait nos regards d'observer la bain.

- - J'ai vu ton père aujourd'hui, il parlait dans le vide et il semblait étrange, me dit-elle avec une pointe de curiosité, alors que ses mains se posèrent sur mes hanches.

Une petite moue de ma part qui se transformait en petit gémissement d'excitation. Les lèvres de la femme trouvèrent le chemin de mon cou, alors que mes pensées qui devaient au départ n'être que pour elle, divaguaient au loin dans mes souvenirs... des souvenirs heureux.


Il y avait dix-huit ans, Luna vivait dans une maison où quelques Neko logeaient et travaillaient sous l'égide d'une femme et d'un homme. L'homme se prénommait Marco Lurito, un homme de grande stature qui avait vécu plein d'histoire aussi incroyable les unes que les autres. Chaque soir, en fermant les yeux, la petite demandait à cet homme qui était jusqu'ici, l'homme de sa vie, de lui faire une histoire qui était pour elle, conte et légende. Des légendes qui n'en étaient pas, cependant. Une petite fille de cinq ans bercé d'illusions que son père alimentait jour et nuit pour la faire rêver. Ne lui en voulez pas, il était lui-même bercé d'illusion. Bien qu'humain, il détestait avoir sous son emprise des êtres inférieurs pour créer un monde soie-disant parfait. Adepte d'histoire, Marco avait étudié l'histoire américaine lorsque le monde était encore monde, soit plus ''normal'' à la situation d'aujourd'hui. Et ce qu'il voyait, était ce que les États-Unis d'Amérique d'autres fois, fière nation qui s'amusait à jouer au gendarme du monde, avait fait eux-même. Esclavagisme, tuerie, vengeance. L'histoire selon lui, était toujours semblable. Ce qui se produisait à ce moment même c'était déjà produit et allait se reproduire encore. Les Romains avaient des esclaves et ceux-ci avait réussi à avoir leur liberté. Par la suite, avant la guerre de sécession, l'esclavage faisait encore rage et aujourd'hui, rien n'avais changé. Le cerveau et la compréhension du monde n'avaient jamais évolués. C'était bien souvent ses mots qu'il disait avant de lui réciter les quelques phrases fétiche qu'il affectionnait temps << On essaie souvent de se dire que, la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu'il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d'entre nous, les soit disant << déterminés >> s'accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu'on se retrouve en face d'un rêve neuf qu'on n'avait jamais envisagé... Un jour nous, nous réveillons et contre toute attente, l'espoir renaît et avec un peu de chance on se rend vite compte, en affrontent les évènements, en affrontant la vie... Que le véritable rêve... C'est d'être encore capable de rêver... >>. Bien qu'intelligent, il ne semblait pas se rendre compte que cette petite fille qui le regardait avec des grands yeux, ne comprenait en rien ses dires. Sa mère avait par la suite prit l'habitude de venir la voir. Selon elle, son père lui lavait les idées avec ses grandes phrases philosophiques. Avant, il avait toujours été question de gens égaux qui pensait être meilleur les uns et les autres. Cependant, aujourd'hui, c'était une race qui en asservissait une autre. Les animaux de fermes était à l'état d'esclavage, alors pourquoi ne pouvaient-ils pas en faire autant avec une race qui est et sera toujours inférieur? Cette petite gamine haussait les épaules à chaque fois, elle n'avait rien à redire, pourtant, ce que son père disait tout comme sa mère avait du vrai. Ainsi, chaque soir jusqu'à l'âge de six ans et trois jours, elle s'endormait avec les idées perdus entre deux idéaux. Deux manières de penser différente qui étaient aussi vrais l'une que l'autre.



- -Hey chaton? Toujours avec moi?

Je lui souriais malgré mon visage perdu, maintenant nos corps l'un contre l'autre, les jambes légèrement écartés avec les jambes nue de la jeune femme entre mes cuises. Je pouvais presque sentir la chaleur qui émanait d'elle. Le désir exigeant d'avoir la douche et de me faire languir là et maintenant. Cependant, au souvenir trouble de ma famille je perdis légèrement le feu de joie qui pourtant depuis un long moment, ne demandait qu'à être contrôler et apaiser. Mon sourire franc s'était transformé en sourire forcé. Pourquoi avais-je pensé à ma mère? La jeune demoiselle me prit les bras et les passaient autour de ses propres épaules, me forçant à venir soutenir mon corps au sien pour les plans qu'elle commençait à planifier. Je n'aimais plus trop la tournure des évènements. Cela dit, c'était pour sa fête que je lui offrait mon corps et je devais faire des efforts. Même... même si ma mère me hantait.


-Papa, je te présente Katya avait-elle murmuré.

Comme à son habitude, il prit le temps de relever sa tête vers celle qui le dérangeait encore et toujours. De nombreux papiers étaient sur sa table de cuisine dans cette immense villa trop grande pour les deux occupants. Lui et sa fille. Il ne tardait pas à remarquer que sa fille tenait la main de la nouvelle. Plus petite que sa seule fille, il la trouvait belle, mais d'un ton presque réprobateur lui répondit en la fixant d'un regard dure et pénétrant.

- -Ta mère ne serait pas contente.

-Maman n'est plus là, avait-elle répondu aussi sec.

- -Je pensais que ce qu'elle pensait te tenait à cœur, en sa mémoire, avait-il dit tout en regardant la nouvelle de la tête aux pieds comme si elle était une erreur de la nature. Il savait qu'il touchait ici à une corde sensible.

- Je vie pour moi maintenant Papa, plus pour les idéaux de Maman, j'y croix plus!

Subitement, il semblait soulager bien que blesser et un sourire plus grand qu'il n'avait l'habitude de faire depuis plusieurs années, prit contenance sur ses lèvres. Sa fille vivait pour elle désormais et uniquement pour elle, ce qui selon lui avait prit beaucoup de retard sur '' l'évolution '' normal. Il se levait, plusieurs papier volant autour de lui pour s'échouer contre le sol fraichement laver. Il s'approchait et prit sa fille dans ses bras en fermant les yeux. Il ne savait pas trop comment gérer ce qui se passait. Il acceptait la venu de la jeune femme dans leur vie, mais il était récitant à ce que l'hybride attire des troubles dans la famille. Venant de deux mondes complètement différent de part ceux de sa race, il connaissait les risques mieux que quiconque et il était réticent pour cela. Il marqua une pause et fit de même avec la nouvelle en la prenant dans ses bras et lui murmurant à l'oreille, cependant assez fort pour que l'humaine puise l'entendre.

- -Bienvenue dans la famille mademoiselle, avait dit cette homme qui se reculait maintenant pour retourner vers la table. J'espère pouvoir vous comptez à ma table ce soir pour le repas?

La jeune fille reprit la main de sa compagne en l'entrainant plus loin, criant à son père qui acceptait leur union comme si cela lui était tout à fait normal, qu'elles allaient y être. Depuis la mort de la mère d'Anna, cette merveilleuse femme au tempérament changeant, plus aucun esclaves n'étaient soumis à la famille des Lurito. Angelika, était une adepte de l'esclavage, mais pas son mari et nombre incalculable de fois, la jeune fleur de la famille les avaient surprise à lever le ton l'un sur l'autre pour avoir raison. La journée passa et l'heure du repas aussi. Tous échangeaient, parlaient, riaient en cœur. Les trois êtres animaient l'endroit comme jamais, comme ils leur manquait et l'espace d'un instant le père et la fille croisèrent leur regard. Sa fille avait un large sourire et ne se doutait pas un instant que l'homme réfléchissait toujours sur leur relation. Elle n'avait pas parlé d'âge, mais il savait pertinemment que Katya était beaucoup plus jeune que Luna. Il ne savait pas exactement, mais il savait que c'était suffisant pour que cela soit énorme. Gardon en tête que des adolescente ensemble, une année de différence est beaucoup pour un bon nombre d'entre eux. C'était une chose mal vu et déjà, il trouvait que leur relation était des plus tabou... L'hybride s'excusait un petit moment et partie au toilette et le père en profitait, comme si il n'attendait que se moment pour attaquer.

- - Elle est trop jeune.

-Pas tant que ça! Et c'est pas important nous, nous aim... Avait commencé à dire Luna avant de se faire brusquement couper la parole par l'homme qui venait d’abattre avec une petite force, son point sur la table.

- -Tu l'aime, mais es-tu aveugle à se point? Vous devez avoir deux ans de différence. Vous ne saurez jamais rendu à la même place dans vos vies.

-Je... Avait-elle commencer à murmuré. Elle ne savait que dire et se trouvait piéger par cette homme.

-J'ai toujours été contre l'esclavage, mais de là à ramener une... bâtarde, à la maison et avoir une relation, c'est différent et tu devrais le comprendre avant qu'il ne soit trop tard. Ouvre un peux les yeux, tu ne sera jamais avec elle. J'accepte pour la seule et unique raison que tu dois faire ta vie, mais ne compte jamais sur moi pour vous dépendre des pétrins dans lesquels vous allez être.

Il avait parler d'un ton tranchant et catégorique. Il acceptait, mais ne voulait avoir aucune répercutions. Probablement qu'il allait faire comme si il n'avait jamais assister à se repas et ignorer même jusqu'à l’existence de la jeune amante de sa fille. Celle-ci finit par revenir à la table, alors qu'un long silence se faisait entendre par tous. L'homme à la tête du nouveau hôtel de luxe du dôme prit la parole, laissant son regard se diriger vers l'humaine.

- -Je ne doute pas que tu va prendre soin de ma fille. Que tu sois hybride et nous des humains ne me dérange aucunement, mentit-il. Je te demande simplement de ne pas lui faire du tort et de l'aimer comme elle t'aime. Prend la, avec ses qualités et aussi ses défauts. Puis, une dernière chose... Ne faite pas de bêtises avant le...

-PAPA!!! M'écriai-je en me levant de table les joues rougies de honte et de gêne, ne pensant déjà plus à ce qui venait de se produire tant la gêne était forte.


Elle glissait ses mains sur mon ventre, dessinant des formes aléatoire et invisible sur celui-ci de ses ongles. Les mains de la demoiselle avaient remonté jusqu'à mes épaules, pétrissant mon corps sous leurs passages qui n'avait plus envie d'elle. Mes mains et mes bras commencèrent à trembler doucement. Je fermais les yeux et une larme roulait sur ma joue. C'est une chose impossible que d'oublier quelqu'un, surtout si dans le fond... on ne veut surtout pas l'oublier.

-Lâche moi... avais-je murmuré. Lâche-moi bordel Ariane...

Elle reculait pour la première fois, sa main qui était sur ma cuise me lâchait, alors qu'un petit tremblement suivit d'un bruit retentissaient dans l'immeuble. Je connaissais assez bien l'endroit pour savoir que cela n'avait rien de bon. Mon père était le propriétaire et il avait été lui-même inspecteur de l'endroit durant sa construction. Il connaissait les moindres détails et si une chose ainsi devait se produire, j'en aurais été informé. Je regardais ma compagne et pris la décision de ne pas porter attention à cette chose qui venait de se produire. Je relevais un regard troublé vers elle et me détournais. La douche en premier pour ainsi remettre en place les idées qui n'allait plus dans ma tête. De nouveau, mes mains se posèrent sur le rideau de douche qui couinait de protestation jusqu'à s’immobiliser à mi chemin. Le corps inerte de mon père. Une vue terrible sur un cadavre sans vie. Le sang tapissait le bain et les murs. Un voile noir se glissait devant mes yeux, un peux à la manière des pilotes d'avion de combat pour les forces armées. Le voile gris, mais pour moi, c'était juste le néant. Mon corps ne répondait plus. Il s'écroulait. Avant de perdre totalement connaissance, j'entendis un cri, le cri d'Arianne. Était-ce pour me voir m'effondrer ou pour l'horreur qui avait fait capoter mon cerveau?

Je fis un rêve... un drôle de rêve où j'avais l'impression... l'impression étrange de déjà vu.


-Recule ma belle! Part! avait crié une voie féminine.

Mais, la petite fille qui était présente ne pouvait pas bouger. Elle était en train de vivre le moment le plus fort de sa vie. Pour la première fois de sa vie, à l'âge de six ans elle vivait plein d'émotion contradictoire en même temps. La femme poussait du bout des doigts sa petite fille tout en esquivant un débris qui venait de toucher le sol. La jeune fille tombait au sol et clignait finalement des yeux tout en santant les mains puissantes de sa mère la soulever du sol. Il se passait un petit moment avant qu'elle réalise que désormais elle était sur le trottoir loin de l'accident de la voiture et du camion citerne. Angelika courait rapidement entre les gens qui s'approchaient du centre d'attention et commençait son travail. Médecin... Une femme médecin qui, prête à tout pour sauver des vies, mettait la sienne en danger de mort. Elle était un médecin flottant, qui allait où les gens avaient besoin d'elle. Et aujourd'hui, bien même elle n'était pas en service elle jouait son rôle à merveille. Si Luna, cette fille de six ans et trois jours aurait été plus âgé, elle aurait probablement trouver cette femme sublime. Concentré comme personne et déterminer à améliorer la vie des gens qu'elle voyait chaque jour.

-ANGELIKA! PART DE LÀ!!! avait-il crié.

La petite fille tournait la tête vers son père et un sourire prit naissance. Elle ouvrit les bras et se mit à courir vers cette homme qui passait rapidement devant celle-ci sans lui prêter la moindre attention. Si elle aurait été en âge de comprendre, elle aurait su que cette homme avait les larmes aux yeux et avait le cœur déchiré de ce qu'il voyait. L'essence sur la rue chaude et brulante de mort. L'enfant plaquait ses petites mains sur ses oreilles et plusieurs systèmes d'alarme commençait à émettre. Elle manquait d'air l'espace d'un moment puis elle trouvait les bras réconfortant de son père sans comprendre. Celui-ci avait les yeux rouge, le visage détruit et brûler par la peine que la mort de sa femme, qu'il venait de vivre. Il se sentait coupable et elle allait le comprendre que trop tard. Tandis qu'il cachait ses larmes et tâchait de faire rire la jeune enfant, les gens s'animaient et les sirènes des unités d'urgences qui étaient plutôt encore loin, passèrent près d'eux. Elle comprit simplement plus tard, par la bouche du psychologue que son père avait engagé, qu'elle avait perdu sa mère. Une tâche difficile que l'homme de la famille n'était pas capable d'accomplir. Les simples mots qui éloignaient cette femme de lui, lui étaient atroce. Il avait espéré pouvoir y changer quelques choses, mais les visions du futur étaient toujours trouble. Les jours avaient passé et la petite vivait dans l'innocence de la jeunesse, convaincu qu'un jour cette femme reviendrait. Elle avait promit de toujours être là et elle allait revenir un jour où l'autre, Luna en était persuadé. C'était un Mardi, six jours après le drame qu'elle entrait un matin dans la chambre de ses parents en sautant sur le lit comme à son habitude.

-Papa, pourquoi tu pleure? Lui avait-elle demandé tout inquiète.

- -Ne suis pas heureux répondit-il en murmurant et en séchant ses larme.

La petite affichait un large sourire et prit son père dans ses petits bras tout en le serrant le plus possible venant lui dire, avec une voie enjoué et fière d'elle.

-Maman me répétait que le bonheur était la clé de la vie. Quand je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serais grande et j'ai dit que je voulais être heureuse. Le professeur a dit que je n'avais pas compris la consigne. Et moi papa! J'ai répondu qu'il n'avait pas compris la vie. Parce que ma maman à moi, me l'a expliquer.

Le père regardait sa fille et les larmes lui montait aux yeux de nouveau. C'était drôle que de voir l'innocence et la simplicité des yeux d'un enfant. Il avait si souvent entendu sa fiancée prononcer ses mots. Jamais, il n'aurait cru que sa fille, aussi jeune soit-elle dirait ses même mots à d'autre. Elle avait raison et après un câlin qui fut assez long, il se levait. C'était étrange, mais les mots que sa fille venait de lui dire, l'avait convaincu qu'il devait être heureux pour pouvoir trouver la clef de la vie et retrouver sa femme. Le truc que Luna allait comprendre plus tard et qu'elle ne comprenait pas encore, c'est que le but n'est pas de garder les gens pour toujours avec sois. L'important c'est juste de faire en sorte de passer des moments magiques avec eux tant qu'ils seront encore là. Cela dit, rien n'empêche de vouloir garder les Princes et les Princesses le plus possible dans nos vies, car le manque est le pire des sentiments qui puise exister. C'est pas le nombre de restaurants, de bars, de magasin, de boîte de nuits. C'est pas la météo, la forme des nuages, la taille des maison, le nombre de voiture ou la superficie qui font d'un endroit ce qu'il est. Ce qui fait d'un endroit ce qu'il est, c'est d'abord les gens... Et cette nouvelle petite famille qui repartait sur un mauvais pieds, allait faire de cette endroit, leur maison, un endroit ou la vie ne quittera plus jamais son cour.



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Courez Neko, vous avez tué ma vie... Empty
MessageSujet: Re: Courez Neko, vous avez tué ma vie...   Courez Neko, vous avez tué ma vie... EmptyMer 5 Oct - 16:02

Oh ! Quelle belle fiche ! Je te valide avec plaisir. Bon rp parmi nous.

EDIT : Désolé de l'erreur, termine ta fiche en paix ; w ;
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Courez Neko, vous avez tué ma vie...
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