Un sourire et PAN ! [Roxas, maïe mastère]

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Haaaaaaaaaaaaaaaa qu'est-ce que c'est chiant d'attendre un malheureux maitre pour pouvoir sortir de ce taudis qui me sert de cage. Une misère ! Je me demande comment les humains arrivent à se regarder dans la glace alors qu'ils nous pauvres nekos que nous sommes, nous traitent comme de vulgaires animaux. Est-ce un signe d’intelligence de leur part ? J'en doute et je me permets de le faire remarquer au vendeur. Ce dernier sursaute pui se rue sur ma cage en se mettant à hurler en virant couleur coquelicot en plus bouffi et bien moins beau cela va de soi. Je le regarde se tortiller pour cacher sa gêne et me permet un sourire moqueur qui le met en rage.
Soudain il ouvre ma cage et me colle de paires de gifles qui m'envoie contre le fond de ma prison où je me cogne les barreaux. Je me redresse lentement posant une main sur ma joue puis touche l'autre en grimaçant un extrait de sourire moqueur et achève :

"Bah y'a qu'la vérité qui blesse, espèce de porc ventripotent. A propos, c'est quand que tu te fait ta lipo car là ça déborde."

Et VLAM ! Seconde couche, il allait m'en collait une autre série mais un léger bruit de clochette arrête son acharnement sur mes pauvres joues qui ont virés rouge comme si j'étais timide. Je rigole doucement afin de ne pas trop faire souffrir mes joues et le regarde s'éloigner, me laissant dans mon recoin de boutique et j'entends tout bas les rires amusés de mes congénères. Je suis fière de moi et je sais ce n'est pas bien mais j'aime ça. Je me rapproche à nouveau du bord de ma cage pour essayer de voir le nouveau client qui fera "l'honneur" à un neko de le sortir de sa prison en échange d'une soumission sans égale.
Cependant je ne l'aperçois pas et finit par m'assoir ou plutôt par m'affaler tel une loque en jouant avec le bout de ma queue tranquillement en fredonnant sur l'air d'une "souris verte"

"Une hybride verte qui montrait son herbe
je l'attrape par la queue
je la montre à ses fliqueuh
La police me dit
que c'est bien gentil
que c'est tout mignon
Puisqu'ils f'ront un bon filon"

C'était une version que j'avais quelque peu modifié mais je la préférais comme ça, l'autre version étant irréaliste - les hommes n'aimant pas les animaux bizarres en règle général - je me contentais merveilleusement de celle-ci. Mais bon je la fredonnais tranquillement, la tête battant le rythme et un sourire peint sur mes lèvres malgré que ses dernières fut légèrement enflées à cause des gifles.

Invité

Piouf, j'ai enfin fini d'emménager !! Je suis arrivé dans ma nouvelle maison hier en fin d'après-midi. Quand je suis retrouvé fasse à ma nouvelle maison, je me suis dit "enfin une maison rien qu'à moi. Mais je me sentais quand même un peu triste, mes parents étaient partis de leur côté en Angleterre du coup je les verrais moins souvent ... beaucoup moins souvent. Mais il fallait savoir couper le cordon. Pis je pensais que je ne pouvais pas être triste car j'allais découvrit ma nouvelle ville, découvrir les merveilleux endroits qui s'y trouvait. J'avais engagé des déménageurs pour transporter toutes mes affaires de mon anciens chez moi à mon nouveau chez moi. Ils s'occupèrent de tout ce qui était meubles, tables, etc ... et moi je m'occupais des cartons. Je mis tout les cartons là où ils ne gêneraient pas puis après j'indiquais où mettre les meuble au déménageur.

Quand tous les meubles furent mis à leurs places il était environ 22h. J'ai dit au déménageur de partir puis je m'attaquais au cartons, je voulais finir avant de me coucher. Je les ai déballé un par un. Je commençais par les cartons de la cuisine puis ceux salon etc ... pour finir aux cartons de la chambre. Enfin j'avais finis et il était 2h00 du matin et j'étais crevé ! J'ai plongé dans mon lit et je me suis endormi au bout de quelques minutes , mais avant mon regard s'était dirigé vers la photo de mes parents et moi. Ils me manquaient déjà. Le lendemain, je me suis réveillé, il était midi un peu normal vu l'heure où je m'étais couché. Je suis descendu au rez-de-chaussé, me suis dirigé vers la cuisine et j'ai regardé ce qu'il y avait dans le frigo. Bien évidemment, il était vide, je devais faire des courses. D'un cous je me suis mis à chanter.

" Le frigo est vide et ça me chier d'aller faire des courses "

Hé ! Je pourrai faire un single avec çà ! Non plus sérieusement, je remontais à l'étage où se trouvait la salle de bain et je pris une bonne douche. Après cela je m'habillais d'un jean délavé, d'un tee-shirt et d'une simple veste, je n'avais pas trop envie de bien m'habiller pour juste faire des courses. Pis je me suis souvenu que ma mère m'avait conseillé d'acheter une neko pour faire toutes les corvées que je lui ordonnerai de faire. Je n'aimais pas trop l'idée de traiter des personnes d'esclaves, oui les nekos étaient des personnes pour moi, non des animaux malgré leurs oreilles et leurs queues. Je les trouvais trop mignon !!! Je voulais d'abord acheter une neko parce que je risquais de me sentir trop seul dans une si grande maison, après je ferais les courses pour remplir mon frigo. Je sortis de chez moi pour rejoindre mon chauffeur qui m'attendait devant la maison.

Je montais dans le véhicule et mon chauffeur me conduisit dans le centre-ville où se trouvait l'animalerie. Il se gara à 100 mètres du magasin car évidemment, comme dans tout centre-ville, il était dur de trouver une place de parking. Je suis descendu du véhicule et j'ai dit à mon chauffeur de m'attendre ici car je n'en avais pas pour longtemps. Je fis même pas 50 mètres qu'une foule de fan me tomba dessus, j'ai dût signer des autographes, prendre des photos avec mes fans. Ça ne me déplaisait pas habituellement mais aujourd'hui je n'avais pas trop le temps donc j'ai crié qu'il y avait Johnny Depps de l'autre côté pour faire diversion. Et ils m'ont tous lâché pour essayer de rattraper cette acteur. Ces fans, il croyaient vraiment n'importe quoi ! J'entrais dans l'animalerie et je vis tous les nekos dans ses cages miteuses, les gens de cette boutique n'ont mêmes pas un minimum de respect envers nekos, c'était désolant... Le gérant m'accueillit comme un prince, puis il me conduisit dans les allés pour me montrer tous les nekos. Il parlait et parlait encore mais je ne comprenait rien du tout, on aurait dit qu'il grouinait comme un porc. J'entendis une neko qui chantait une chanson, "la souris verte" je crois où plutôt un remake de la chanson. Je me dirigeais vers cette voix tandis que ce porc continuais son chemin sans même se rendre compte que je n'étais plus avec lui. J'arrivais devant la cage du neko en question et je me suis mit à son niveau, je lui ai fait un sourire.

- Je ne savais pas qu'il existait un remake de la "souris vert".

Je lui dit sur un ton amusé puis je l'ai regardé de plus prés. Elle n'était pas plus âgés que moi, elle avait les cheveux roses, les yeux violets et un petit sourire qui était trop mignon. Mais elle avait des marques de mains sur ses joues, à mon avis elles avait été battu il n'y avait pas longtemps.

- qu'est-ce que tu as fait pour mériter de telles marques sur tes joues ?

Invité

Tiens des pas venaient vers moi. Je haussais un sourcil, redressant légèrement la tête pour apercevoir une bouille d'ange surmonté d'une crinière de feu. Et ben celui-là devait surement être harcelé par les filles et certains mecs car il n'était pas à vomir avec son sourire à croquer. Je lui rendis son sourire alors qu'il s'adressait à moi d'une voix tranquille. Je cessais alors de fredonner et je lui répondis.

"Normal c'est moi qui l'ait faites un jours où je m'ennuyais ce qui, je dois l'avouer n'est pas rare dans ce taudis."

Mon sourire s'agrandit tandis que je continuais de le fixer sans aucune gêne. J'aimais bien son allure tranquille et simple mais je connaissais aussi les humains pour savoir que c'était une rare qui aimaient cacher ses défauts. Cependant le jeune homme reprit la parole et mon sourire s'effaça alors que je posais une main sur ma joue en la frottant doucement et je plongeais mes prunelles dans les siennes et lui fis un sourire en lâchant :

"J'ai dit ce que je pensais. On va dire que j'ai un humour qui ne plait pas à tout le monde bouille d'amour. Il faut savoir que les humains sont arrogants et se jugent être des dieux. Ainsi les Dieux n'aiment pas que de simples créatures les rabaissent avec des blagues. Mais ça n'en empêche pas certains d’essayer même si ça risque de leurs revenir en pleine poire si tu vois ce que je veux dire."

Un grand sourire se peignit sur mes lèvres et j'entrepris de le reluquer de bas en haut. Il avait l'air bien foutu pour un humain et malgré ses origines de singe, il avait vraiment un beau visage. Son style vestimentaire était simple mais pratique ce qui n'était pas pour me déplaire. Je relevais finalement les yeux vers lui et demandait à mon tour :

"Et sinon qu'est-ce que vient faire un jeune homme aussi charmant dans une animalerie ? Aurais-tu des tendances inavouables au point que tu ais besoin d'un hybride pour les satisfaire ? Ou se cacherait-il un bordélique en mal de femme de ménage ici car je dois avouer que tu m'intrigues ... ?"

Je penchais lentement la tête sur le côté en un signe d'interrogation et je me redressais légèrement afin d'être plus à l'aise mais aussi pour paraitre moins... clodo que d'habitude. Non pas que son avis m'intéressait mais bon, juste parce que c'était plus agréable d'être bien installé quand on écoutait la vie de quelqu'un.

Invité

Sa chanson était vraiment amusante, je pourrai lui demander plus tard d'écrire des chansons pour mon prochain album ! C'est vrai que vivre dans ces cages n'étaient pas facile, si ma vie avait été la même que la sienne, j'aurai eu la même réaction qu'elle. Elle m'avait dit qu'elle avait prit des claques juste parce qu'elle avait dit se qu'elle pensait ça me rendait furieux. Les marchands n'avaient vraiment aucun respect envers ses pauvres nekos. Ces nekos ne méritaient pas d'être traiter ainsi, ils ont une conscience, l'intelligence tout comme nous humains ! Je ne voyais pas pourquoi les nekos n'auraient pas le droit d'avoir la même liberté tout comme être vivants qui existe sur cette planète. Si j'avais été à sa place j'en aurais fait voir de toutes les couleurs à ce sale porc de marchand et j'aurais tout fait pour m'évader de cette endroit qu'était l'animalerie ! Quant elle m'avait appelé bouille d'amour, sa me fit un peu rougir mais ça se voyait à peine. Personne m'avais appelé comme çà pis je trouvais que ce surnom était mignon.

La neko m'avait demandé pourquoi, je voulais une neko. Pour me satisfaire mes envies sexuelle ? Non, je pouvais avoir toutes les filles que je voulais mais ce n'était pas mon genre, je n'étais pas ce type de mec là. J'étais plutôt le genre de mec à vouloir le faire qu'avec les femmes pour lesquelles j'éprouvais des sentiments. Pour qu'elle fasse les corvées à ma place ? c'est vrai que je n'étais pas vraiment un homme qui prenais soins de sa maison et je ne savais pas faire de la vrai cuisine mais je comptais bien m'améliorer. Au bout du compte, pourquoi je voulais acheter une neko ? Je ne m'avais pas vraiment poser la question, sûrement pour ne pas me sentir seul. Mes parents étaient partis à l'étranger pour vivre leurs vie plus tranquille et j'avais déménagé tout en restant au pays, en laissent mes amis derrières moi et pour vivre ma nouvelle vie sans mes parents. Je m'apprêtais à lui répondre quand le marchand arriva furax vers moi et la neko. Je m'étais dit qu'il allait s'en prendre à moi parce que je l'avais laissé discuter avec Casper. Mais non, c'était pour la neko, il avait tout entendu de notre petite conversation. Il ouvrit la cage de cette malheureuse petite neko qui n'avais rien fait et il allait lui donner une magnifique claque. Mais Je n'allais pas lui laisser ce plaisir, le marchand tendit bien sa main pour lui donner une claque mais je lui avais prit le bras pour l'empêcher de donner la claque à cette petite neko et je lui fusilla du regard.

- Vous n'avez plus intérêt de la toucher car maintenant c'est ma neko, sale porc !

je relâchais son bras et il me regardait bouche bée. J'étais prêt à l'embrocher pour faire du porc farci pour le diner ! Mais je m'étais dit qu'il n'était pas comestible du tout. Le marchand repartit vers sa caisse et je continuais à le fusillais du regard jusqu'à temps que je ne le voyais plus puis je me retournais vers ma neko en lui offrant un sourire.

- au fait je ne me suis pas présenté, Je m'appelle Roxas Egawa mais tu peux m'appeler Roxas au lieu de maitre. Tu va voir, on va s'éclater ensemble !

Je fis un plus grand sourire et je lui tendit la main. Je lui fis comprend que maintenant elle n'avais plus rien à craindre et qu'elle pouvait compté sur moi.

Invité

Il réfléchissait à sa réponse et je me contentais de le mater en attendant une réponse. Puis alors qu'il s’apprêtait à me faire gouter sa voix, je vis un boudin gondoler vers nous. Il se balançait de droite à gauche et je me sentis à nouveau mal. Non pas à cause de la paire de gifle qui lui démangeait les mimines mais plutôt à cause du roulis qui ondulait sur sa peau anormalement distendu.
arrivant à notre hauteur, rouge et soufflant comme un buffle, il ouvrit la cage et tendit la main dans un dernier sursaut d'énergie que mon interlocuteur bloque d'un geste en l'attaquant verbalement. Sa voix se fit incendiaire comme son regard qui devint glacial. Le vendeur le fixa, interloqué pendant quelques secondes puis son visage devint encore plus rouge, renforcé par la honte qu'être dirigé dans sa boutique et surtout par un jeune homme trois fois moins imposant (c'est-à-dire gros) que lui. Hargneux, l'homme se libéra de la prise du jeune rouquin et s'éloigna, laissant à ma cage ouverte.
Pour ma part j'étais restée immobile, digérant encore ses propos sans avoir poussé d'un iota. Mon "maitreuuuh" se tourna vers moi. Il me fit un sourire admirable que je lui rendis puis saisis sa main et lui répondis :

"Et bien Roxas, merci pour le coup de main. Ravi de te rencontrer, moi c'est Ai'myru mais tu peux m'appeler Ai ou Myru... Et y'a intérêt à ce qu'on s'éclate car je ne vois pas l'intérêt de quitter un nid à ennuie pour un autre même si le geôlier à meilleur mine."

Je lui fis un clin d'oeil avant de rigoler tranquillement puis je me dirigeai vers la caisse et fis un grand sourire au vendeur. Maintenant il lui fallait me payer et sur ce point, je n'étais pas à un prix exorbitant étant donné que j'avais "sale caractère" mais comme tout trafics de corps, je n'étais pas donné non plus. Je me demandais même comment les humains pouvaient se payer des neko mais bon d'un autre côté ça ne me regardait pas non plus.

"Bon Sumo, mon adorable maitre semble décidé à me prendre alors prépare un petit collier pour moi car je ne voudrais pas me faire choper par les mecs en collants bleus et revenir te voir. C'est pas que j't'aime pas. Après tout j'ai jamais vu autant de graisse onduler dans un boudin mais l'ambiance est quand même pas terrible. Tu m'en veux pas trop j'espère mais t'en fait pas peut être que je repasserais te dire un petit coucou."

Mon sourire s'étira encore et j'admirais mon oeuvre, un boudin rouge qui tremblait littéralement. Si c'était pas une oeuvre ça, je me demandais bien ce que c'était. Je posais mon regard sur Roxas et penchai un peu ma tête sur le côté en signe d'interrogation, attendant qu'il se décide enfin à remplir les documents que le vendeur avait posé sur la table un peu plus tôt. Ce dernier, lui était parti sans faire un geste vers moi, se contentant de me fusiller du regard. Il revint quelques minutes plus tard avec une série de collier en tout genre et se tourna vers Roxas.

"Je vous en pris."

Il avait baragouiné ses mots avec une rancœur non dissimulé et j'eus bien envie de lancer un autre pique mais je préférai me retenir. Il ne fallait pas non plus que j'effraye mon futur jouet. Mais bon il semblait adorable et il semblait surtout avoir de l'humour ce qui était une qualité bien rare chez ses congénères.

[hrp je te préviens que je serais absente pendant une semaine je pense. J'aurais peut être la possibilité de me co mais je n'en suis pas sûre donc on va dire que non. Ne te presse donc pas de me répondre et amuse toi bien d'ici là Maitreuuuuh ^^]

Invité

Avec moi, on risquait pas de s'ennuyer sans me vanter, je faisais plein de gaffe et je faisait tout pour que personne s'ennuyer avec moi. Son clin d'œil me fit craquer, à mon avis, Ai ne laissait pas les hommes indifférents devant elle, elle avait tout pour plaire. Mais je ne l'avais pas prit seulement pour sa beauté mais aussi pour son caractère, elle avait du mordant, elle disait ce qu'elle pensait sans penser au conséquence qui pourrait y conduire. C'était ce que j'aimais aussi avec sa beauté. Je fit aussi un rire tranquille puis me dirigeais vers le marchand pour signer tout la paperasse. Je trouvais ça chiant mais il fallait bien y passer pour acheter cette neko. J'éclatais de rire quand Ai savait adresser au gérant du magasin, elle lui en voulait vraiment ! C'était compréhensible, avec tous ce qu'elle avait dû subir avec lui, savait dût être horrible. Avec bien du mal, j'arrêtais de rire et je remplissais les documents mais je laissais des petits rires s'échappaient de ma bouche.

Quand j'avais enfin fini de remplir les documents, le marchant me proposa des collier mais il n'y avais pas vraiment l'embarras du choix. C'était de simple collier avec n'importe quelle couleurs. Je prit le rose bonbon parce que je trouvais que cette couleur lui allait bien. J'ai payé avec ma carte gold, j'avais la chance d'être riche. Je sortait du magasin sans dire un mot au marchand car si je l'avais fait, j'allais lui remettre une couche et je trouvais qu'il avait assez prit pour la journée. Enfin je pouvais respirer de l'air pur et je ne respirais plus la sale odeur du gros porc qui se trouver dans ce magasin. Je m'étais tourné vers Ai puis je mit son collier au tour de son cou.

- Je doit faire des courses pour remplir mon frigo car je viens tout juste d'emménager puis en même temps, on va passer dans un magasin de fringue pour t'en acheter. Quant on serra arriver chez nous, tu pourra enlever ce collier si tu n'aime pas le porter. Quand dit-tu ?

Je souriais encore une fois puis j'entendais sa réponse. Je pensais que ma jolie neko avait peut-être marre de me voir toujours sourire. Tout à coup, j'entendis au loin mon nom, je me tournais vers les personnes qui prononçaient mon nom et c'était mes fanes qui se rapprochaient dangereusement vers ma direction. Elles ne pouvaient pas me laisser tranquille, je prit le bras de ma chère neko puis commençais à faire un sprint vers ma voiture qui se trouvait à 100 mètres d'ici. J'arrivais devant la voiture, j'ouvrais la porte, je poussais Ai à l'intérieur puis j'entrais à l'intérieur pour enfin fermer la porte à clé. Enfin j'étais sauvé mais mes fanes étaient arrivées devant ma voiture et elles tapaient sur les vitres tous en criant « Roxas, on t'aime !!! » ou bien « Roxas épouse-moi !!! » Ils y avaient des filles folles dans ce monde. J'avais reprit mon souffle tout doucement et si j'avais pu me chronométré, j'aurais sû que j'avais battu le record du monde du 100 mètres.

-Désolé, de t'avoir fait courir mais une fois ces fans t'entoure, il est très difficile de s'en échapper...

Je respirais un bon coup puis je fis signe au chauffeur qu'on pouvait partir. Il avait eu du mal à quitter l'endroit où il était à cause des fanes qui avaient entourées la voiture. Mais au bout d'une bonne dizaines de minutes, on était sur la route direction le centre commerciale.

[ hrp: comme tu as vu je me suis pas pressé à répondre xD En ce moment mon frère est souvent sur l'ordi donc j'avais pas vraiment l'occasion de te rép... j'espère que tes vacances se sont bien passer ^^ ]

Invité

Haaaaaa de l'air frais !!! Je venais enfin de quitter ce taudis qui m'avait servi de prison et ce, grâce à un preux chevalier qui se trouvait être un délicieux humain. Je m'étirais ostensiblement, savourant cette liberté retrouvée, souriante comme une bien heureuse, ignorant la pollution ni ses cris que je percevais au loin. J'écoutais mon maitre puis, une fois en position "normale" c'est-à-dire en n'ayant plus les fesses en l'air et les bras tendus en avant, je me permis de lui répondre

"J'en dis que ce programme est potable pour une première sortie. Je te suis Don Juan."

Soudain des cris me parvinrent de plus en plus proche et je me tournais vers leurs origines qui se révélèrent être un troupeau de greluches en pleine effervescence. Je tendis l'oreille tentant de comprendre leur cris quand soudain une main s'empara de la mienne et je fus tirer en arrière. Je frôlai la chute mais je parvint à me rattraper de justesse en faisant un bond avant de courir, suivant mon maitre, les yeux écarquillés par la surprise et les oreilles droites. Maintenant je compris les cris des femmes et accélérai rattrapant mon maitre. Il pila soudain et ouvrit une portière. Je fus une fois de plus surprise par sa manœuvre et failli m'étaler au sol. Cependant Roxas fut plus rapide que ma chute car il me poussa dans le véhicule sans ménagement avant de bondir dedans. Je heurtais la portière du fond et poussai un couinnement alors que mon compagnon s'engouffrer dans la voiture. Un cliquetis me signala que les portières venaient de se fermer alors que la marée féminine s'abattait sur la voiture en poussant moult cris désespérés.
Je m'éloignai vivement de la fenêtre en voyant une petite culotte se coller à cette dernière et mes oreilles se couchèrent tandis qu'une grimace de dégout se peignait sur mon visage.

"Yeurk, ces humaines sont vraiment barjos et impudiques !"

Mon maitre parla et je me tournai vers lui, me rendant compte que mon mouvement de recul m'avait presque jeté sur lui. Je me trouvais à quelques millimètres de ses genoux et je le regardais quand j'aperçus les visages des filles en arrière plan. Un sourire se peignit sur mes lèvres et je sautais sur mon maitre en hurlant.

"Pas touche à MON maitre !!! Couchez les folles, NULLE n'aura ce qui m'appartient. SON CORPS EST MIEN !!!"

Mon cri avait crevé la foule comme une flèche et les voix se turent pendant un cours instant. Il faut dire qu'elle avait du me voir courir avec lui donc ce cri qui venait de leur parvenir de la voiture devait les déstabiliser. Le chauffeur partit sur un signe de mon maitre que je serrais dans mes bras alors que les filles poussèrent de nouveaux cris d'où cette fois on percevait la colère et la jalousie. Je maintins encore un peu mon maitre puis le libéra quand nous fûmes assez loin des hystériques. Je lui fis alors un grand sourire et lança en imitant ses fans :

"Han mon maitre, vous êtes si sexy !!! Je vous aime ! Épousez-moi ! Tenez ma culotte en cadeau !"

Je me mis à rire devant sa tête en me demandant comment il prendrait ce que je venais de faire. Après tout je venais d'enrager son fan club et en plus je n'avais pas lancé des propos bénins mais alors qu'est-ce que c'était drôle. Les filles allaient surement devenir encore plus hystériques. Au fond je plaignais le pauvre homme mais bon ça s’annonçait franchement poilant avec lui alors... au revoir la culpabilité. Je me reculais en continuant de sourire, ravie de découvrir un nouveau monde, moi qui n'avait pas connu de propriétaire tendre et je posais mon regard sur le chauffeur et sur la voiture, prenant réellement place et mettant (enfin !) ma ceinture de sécurité. Je regardais autour de moi comme une enfant, attendant que l'on arrive à destination ou tout simplement que mon maitre se décide à me sortir de mon observation.

[Oui mes vacances se déroulent à merveille et j'arrive à trouver un moment pour regarder sur mon PC (j'ai emporté internet mais bon pas le temps de trop déballer) et je profites d'un temps pourri pour te rep ^^. Ça ne m'a pas dérangée étant moi aussi peu active donc... voilà et en espérant que ça te convienne maitreuuuh ;)]

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Je fus surpris par Ai, elle s'était jetée sur moi puis avait hurlé à la foule que je lui appartenais et qu'elles ne devaient pas m'approcher. Mon visage vira au rouge, est-ce qu'elle était tombée … Non je me faisais des idées, je ne pensais pas que ma neko était du genre à tomber amoureuse parce que la personne est très belle. La jolie neko disait ça plus tôt pour enrager mes fans et savait bien marcher. J'éclatais de rire pendant quelque seconde, elles s'étaient mises en colères puis je pensais que je risquais d'avoir des représailles lorsque je ferais mes concerts et merde … Bon ce n'était pas grave, tant que j'étais en compagnie d'Ai c'était tout ce qui comptait. La voiture s'éloignait des fans hystériques, ouf on était enfin tranquille. Ai imitait mes fans et je rigolais devant cette imitation très réussit.

- Oh ma neko, mais toi aussi, tu es très sexy et bien sûr que je veux t'épouser, allons à Las Vegas nous marier devant Elvis Presley ! J'accepte naturellement ta culotte, je garderais précieusement avec moi, je dormirais même avec !

Je rigolais en même temps que ma neko, je repensais à toutes les demandes enflammées que j'avais eu. Des filles me faisaient des avances en me montrant leurs seins, en envoyant leur culotte. Des fois, elles se mettaient à poil et me couraient après. Je me rinçais bien l'oeil, je l'avouais mais au fond, j'avais horreur que ses scènes se passaient devant moi. Les filles pensaient que j'étais un objet sexuelle et non un humain qu'il voulait être juste aimer pour ce qu'il était. Je regardais ma jolie neko qui contemplait le paysage avec son magnifique sourire. La satisfaction de sortir de cette animalerie se lisait sur son visage, sa vie n'avais pas dû être facile dans cette boutique et avec ces précédents maitres mais avec moi j'allais tout faire pour qu'elle connaissent le bonheur. Je laissais Ai tranquille durant le trajet pour qu'elle profitait de la vu du centre ville.

J'étais enfin arrivé à destination, je descendais du véhicule avec Ai. Je priais dans ma tête pour que cette fois, j'allais pas être envahie par des filles hystériques à l'intérieur pour que ma neko ne soit pas trop dégouter de la vie qu'elle allait vivre avec moi.

- Nous sommes enfin arriver, je ne croyait pas qu'on allait sortir de l'enfer de ces hystériques. Encore ça se n'était rien comparer quand je fais les tournées, c'est pire ! Ne t'inquiète pas on aura des sortis où on pourra bien déconner mais je compte aussi bien déconner avec toi aujourd'hui.

Je fis un grand sourire et je décida par commencer par les magasins de fringue car ils se trouvais le plus prés. On entrais dans un magasin de luxe où se trouvais tous les vêtements dont toutes femmes rêvaient d'avoir dans leurs garde-robes. Les marchands me souriait mais on lisait clairement sur leur visage qu'Ai n'était pas le bienvenue dans le magasin.

-Achète tous ce qui te plaira à l'intérieur et si ça ne te plais pas ce qui s'y trouve, on peut aller dans magasin où les fringues sont plus basique.

Les marchands étaient très surpris quant ils savaient que ma visite était pour rhabiller une neko. On avait dit qu'il avaient une terrible nouvelle. C'était ce genre de réaction qui me dégoutais, les nekos devait mériter le même respect que tout humain sur cette planéte sauf le gros porc qui se trouvait dans l'animalerie, c'était le seul exception. Je laissais prendre la décision à la neko, peut m'importais la décision tant qu'elle prenait ce qui lui plaisait, c'était tout ce qui compter.

[ hrp : désoler pour tout le temps, que j'ai mit pour te répondre, mon frère et ma mère scoiter l'ordi quand j'avais un peu l'ordi je préparais le Rp encore désoler. ]

Invité

Mon maitre m'avait emmenée au centre commerciale et il me laissa tranquille le long de la route, me laissant profiter de ma liberté retrouvée. Je souriais comme une bienheureuse, chassant par ce simple geste toutes mes questions et mes doutes. Je me devais d'aller de l'avant. Toujours. Et puis je ne comptais pas me laissais faire par le jeune homme, loin de là. Je jetais un coup d'oeil à celui qui était devenu mon maitre. Nos regard se croisèrent et mon regard s'adoucit. Il était marrant mais j'espérais que ses sorties ne se passerait pas toujours avec son troupeau de folles...
Nous arrivâmes rapidement et je descendis derrière Roxas. Mon maitre parla et je me mis à rire devant ses propos.

"J'espère bien car je ne suis pas une fan de la foule."

Je le suivit dans les magasins et il m'emmena dans l'un des plus cher mais surtout des plus classieux qui puissent exister en ce bas monde. Mon poil se hérissa tandis que j'observais ses tenues vraiment trop... sobres. Je lui lançai un regard en coin indiquant clairement que ce magasin n'était pas à mon goût mais quand j'aperçus le regard d'un vendeur sur ma personne, je frissonai cette fois de colère. Cependant je ne me laisserai pas rabaisser par cette bande de snobinard. J'entrepris alors de prendre pleins de tenues puis prit le chemin des cabines. J'enfilai une ou deux tenue qui ne m'allait vraiment mais alors vraiment pas du tout. Ça ne me ressemblait pas... Trop sérieux. Je regardais Roxas et lança :

"Oulala c'est quoi c'te boutique de mémère ?!? Tu veux me transformer en nonne ou quoi ?"

J'avais parlé suffisamment fort pour attiser des regards de colère du côté des vendeurs et l'une d'elle se rapprocha même de nous pour cracher son venin sur un ton hautain.

"L'on voit clairement que mademoiselle ne connait rien au bon goût."

Je fis une grimace dégoutée en regardant une nouvelle fois la tenue que je tentais d'essayer et d’apprécier... en vain.

"Bon goût... Je ne vois pas ce que vient faire le bon goût quand on ressemble à un sac à patate... en plus un sac à patate qui vaut 900 euros... Franchement très peu pour moi. Je préfère payer 20 euro pour un vêtement où je serais bien plutôt que vos horreurs que même un pokémon alcoolique n'oserait mettre."

Je retirais mon essai pour enfiler à nouveau mes vêtements usés puis je m'emparai d'une paire de lunette noire et la mit sur le nez de mon maitre et ajoutai.

"On va juste prendre ça pour Monsieur. Je ne voudrais pas qu'il se fasse agresser. Par contre la casquette on ira la chercher ailleurs."

Je restai près de mon maitre et tandis qu'il payait je me permis de lui donner mon avis comme si ce fut moi la maitresse plutôt que lui.

"Bon je t'aime bien Roxas mais si tu pouvais me trouver une boutique pour jeune et coloré je suis partante car là ton premier choix était à chier. Bon tu as une super paire de lunette maintenant mais bon elles ne vont pas me couvrir les fesses tes lunettes. Elles sont trop petites pour ça. A moins que tu veuilles que je me promène nue ce qui est là-encore impossible je t'en informe tout de suite."

Je le regardais et lui fit un sourire. Je ne pouvais plus voir ses yeux à cause de ses lunettes mais il était pas mal ainsi. Il avait une tête de rock star ainsi couvert. Enfin il aurait fallu changer quelques détails mais bon on s'en contenterait. Pour ma part je voulais des vêtements qui me ressemblent... en gros des vêtements flashy et déjantés... ça devait bien exister quelque part non ?

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Je vit tout de suite que les vêtements qui se trouvaient dans ce magasin ne lui plaisait pas. Je pria pour que la jeune neko ne fasse pas de scandale devant les marchand mais elle continua à choisir des vêtements par mon plus grand étonnement. Ai prit des tonnes de vêtements puis alla dans la cabine d'essayage. Je me demandais ce-qu'elle allait faire de tous ses habilles vu qu'elle n'aimait pas se qui s'y trouvait. Elle sortit de la cabine et les vêtements ne lui allait pas tous et puis là, elle n'avais pas peu s'empêcher de dire ce qu'elle pensait et bien évidemment les marchant avaient bien entendus même si il se trouvaient de l'autre côtés de la pièce. La marchande en rajouta une couche puis Ai répondis à la provocation de la marchande. La neko l'avait achevé par sa réponse et ça me fit ricaner dans mon coin, je ne voulais pas humilier encore plus la marchande mais le coup du pokémon alcoolique était très fort.

Ai repartit dans la cabine pour remettre ses vêtement initiales, en même temps je m'excusa auprès des marchands pour l'attitude de la neko. Je n'allais pas m'embrouiller avec chacune des personnes qu'Ai n'aimait pas. Puis elle revint avec une paire de lunette soleil qu'elle me mit au nez, je me demanda si c'était elle la maitresse plutôt que moi. Bon j'allais lui toucher deux mots à la fin de la journée, je sortit mon porte-feuille et pis là c'était la goutte qui fit déborder le vase. J'avais très mal prit les paroles de ma jeune neko et en plus elle gardait son sourire innocente à croire que ses actes n'allais pas pas avoir des répercussions. Je la fusilla du regard mais elle ne le voilait pas à travers mes lunettes, alors j'enlevais mes lunettes puis les posa sur le comptoir et je tira le bras d'Ai pour l'entrainer à l'extérieur.

- Tu compte jouer ce jeu encore longtemps ?! Je sais que tu ne peux pas t'empêcher de dire tout ce que tu pense mais essaye de le dire plus en finesse ! Je sais qu'il y a des conna** dans ce monde mais pas la peine d'en vouloir à tout le monde ! Et pis, je ne suis pas les autres maitres que tu as eu alors je mérite un peu plus respect ! Je veux jusque que ça passe dans la bonne humeur mais si tu continu à mettre tout le monde à dos, je ne pourrait pas supporter …

Je l'avais dit calmement mais j'étais vraiment en colère mais je ne voulais pas lui crier dessus. Je l'emmena dans un autre magasin plus approprié pour elle. Je pensa que ce magasin allais lui plaire, enfin plus que le précédent. Je la laissa choisir ses vêtement et je me mis dans un coin sans dire un mot. Je voulais digérer ce qui venez de ce passer dans le magasin.

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La réaction du jeune homme ne se pas attendre et ma paru quelque peu disproportionné. Il sembla exploser littéralement et j'en fus surprise au point où je le laissai me prendre par le bras et me faire quitter le magasin. Cependant je repris mes esprit et couchait les oreilles, ma queue fouettant l'air tandis qu'il me disait ce qu'il pensait.
Il m'entraina dans une nouvelle boutique et me lâcha au milieu de celle ci avant d'aller s'assoir dans un coin, me laissant enfin tranquille. Je restai un instant immobile en le fixant puis soudain je me décidai et allai vers lui d'un pas rapide. Je me postai face à lui et répliquai froidement.

"Comment peux-tu savoir ce que j'ai vécu ? Qu'est-ce qui me dit que tu n'es pas comme les autres ? Ton sourire, ta bouille d'ange ? Je les connais ses arnaques alors remballe ton arrogance de chaton blessé. Je te remercie de m'avoir sortie de ma cage mais ça ne te donne pas le droit de vouloir me changer. Je suis ce que je suis pour le pire ou le meilleur."

Puis je le plantai là et filai entre les rayons sans attendre un autre scène ou des excuses dont je ne voudrais même pas. Je venais de lui dire ce que je pensais et encore une fois sans artifice. J'étais ainsi. Je méprisai les faux semblant et l'hypocrisie. Dire la vérité pouvait faire mal mais au moins elle était dite. Je n'étais pas non plus doué pour enrober tout ça et la rendre plus digeste mais que pouvais-je y faire... Je saisissais des vêtements au hasard, les yeux brillants. Non je n'allais pas pleurer. Je respirai et chassai ce poids comme je savais si bien le faire. Je sentis alors un regard sur moi et me retournai. Il y avait une petite fille qui me fixait, surement étonnée par ma chevelure. Je lui fis un sourire auquel elle répondit timidement puis je revins vers les cabines et entrai dans l'une d'elle. J'enfilai une jupe plissé d'un beau brun avec une bande turquoise et je mis aussi un débardeur brun avec des motifs multicolore en points formant des amas plus ou moins marqué. Je sortis et regardai Roxas, les oreilles désormais hautes comme si rien ne s'était passé.

"Tu aimes ?"

» Ezio l'aveugle au sourire suspect
» Roxas Egawa [terminé]
» Deux chanteurs, deux buveurs (♫Roxas/Lilith♫)