Une si belle journée [Pv-> Myla]

Mary se levais tranquillement, et elle se mit à bailler. Puis elle alla faire son petit déjeuner. Elle mangea lentement et regardait la climat de dehors de la fenêtre de sa cuisine. Il faisait beau aujourd'hui , vraiment beau. Alors elle se décida qu'elle irait dehors et qu'elle y resterais un long moment. Habillée d'une chemise orange aujourd'hui, avec un shirt-jeans, en arborant fièrement une queue de cheval avec un ruban , lui aussi, orange. Mlle Snow pris son sac à main et se mis à marcher à l'extérieur, après avoir barré la porte. Elle marchait et marchait.. Les minutes parurent longues dans la tête de notre chère demoiselle. Elle arriva dans un parc , qui baignait à la fois dans la lumière chaude et à la fois dans l'ombre fraîche. Il y faisait agréable, alors la petite blanche s'arrêta pour s'asseoir près de la fontaine pour en prendre l'eau et en mettre un peu sur ses jambe, car elle commençait à avoir chaud. Il faisait humide aujourd'hui, l'air pesait lourd.

Pourtant, Mary n'avait pas de mal à respirer, ni a marcher, malgré cet air humide et désagréable.Après s'être rafraîchis avec l'eau pure de la fontaine, elle alla s'asseoir sur un banc non loin de là, à l'ombre. Lorsqu'elle vint s'asseoir sur le banc, l'air semblait plus frais et elle profita d'une brise de vents qui, enfin, n'était pas chaude. Les gens s'y baladaient et plusieurs avaient fait comme Mary; Il s'étaient rafraîchis avec l'eau de la fontaine. Soudainement, elle entendit des pas qui se dirigeaient vers elle, et la blanche demoiselle tournait son visage pour découvrir qui voulait lui parler.

«- Bonjour. » Dit-elle d'une voix douce.

Myla ne savait pas ou aller. Il faisait lourd et elle était épuisée. Elle se sentait toujours perdue dans le centre-ville. Elle se sentait encore plus perdue depuis que son précédent maître l'avait abandonnée. Sa solitude lui pesait sur le cœur. Mais malgré ses recherches, elle n'avait pas encore trouvé de maître idéal.
Myla faisait la difficile et n'acceptait pas n'importe qui. Elle passait la nuit chez un humain et le lendemain, s'enfuyait et se retrouvait à la rue. Elle ne voulait pas quelqu'un de trop gentil. Elle s'était habituée au sadisme et à la froideur de son précédent maître et recherchait un nouveau maître qui ressemblerait au précédent.
Elle sortit de ses pensées, attirée par le bruit de la fontaine du parc. C'était la première fois qu'elle y mettait les pieds. Elle s'approcha de la fontaine, prit un peu d'eau dans ses mains et la but. Ensuite, elle s'en aspergea le visage pour se rafraîchir. Elle ignora les regards surpris des humains et nekos autour d'elle.

"Vivre à la rue n'est pas ce qu'il y a de plus facile... Moi qui croyais que j'allais pouvoir m'en sortir !"

Ensuite, elle se mit en quête d'un humain chez qui elle pourrait manger loger le temps d'une nuit avant de disparaître et ne plus revoir cet humain. Elle en trouva une assise sur un banc, non loin de la fontaine. Myla la dévisagea un instant et se demanda si elle avait ses chances avec cette humaine.

"De toute façon, qui ne tente rien n'a rien ! Alea jacta est, le sort en est jeté."

Elle s'approcha doucement de l'humaine. Celle-ci tourna la tête vers elle lorsqu'elle l'entendit approcher.

- Bonjour. dit l'humaine.
- Bonjour... répondit Myla, gênée. Je peux m'asseoir près de vous ? J'ai beaucoup marché et j'ai un peu mal aux jambes...

«- Je peux m'asseoir près de vous ? J'ai beaucoup marché et j'ai un peu mal aux jambes...» Mary fut un peu surprise . Pourquoi donc le demander ? Elle doit être très docile cette petite si elle le demande si poliment. L'Hybride à l'air toute jeune.... et perdue. La blanche fille la regardait de bas en haut en l'analysant un peu, elle devait être aussi petite qu'elle l'était elle même. L'hybride à l'air si innocente et a sûrement besoin de quelque chose. Si son caractère lui plait, Mary ferait plusieurs chose pour cette petite. Elle lui sourit et lui répondit sur un ton charmeur :

«- Oh mais bien sûr ! » Dit Mary, en lui laissant une place. Elle lui souriait, elle était d'humeur gentille aujourd'hui. La demoiselle blanche ne savait pas quoi faire puis elle décida de caresser sa tête gentiment. Mary prit parole d'une douce voix

.«- Je m'appelle Mary, quel est ton prénom ? Demandais-elle , un peu curieuse. Dis-donc ma jolie, ton maître est-il proche ? T'est-tu perdu ? Raconte-moi ce qui se passe. »La dame blanche la regardais toujours, aussi curieuse, en regardant le vent passer dans les branches d'arbres. Elle ne se lassait pas d'entendre ce doux bruit, c'était pareille pour le bruit de l'eau qui coulait du haut de la fontaine et qui descendait vers le bas.

- Oh mais bien sûr !

Myla continua à observer la jeune femme. Celle-ci lui souriait. Myla lui répondit par un sourire timide et la remercia d'un signe de tête avant de s'asseoir. Myla regarda alors droit devant elle, n'osant pas croiser le regard de son interlocutrice. La neko sursauta lorsque la jeune femme lui caressa la tête. Jamais personne, tant neko que humain, n'avait eut ce genre de geste pour elle. Elle ne se détendit pourtant pas alors que c'était un geste amical.

- Je m'appelle Mary, quel est ton prénom ? Dis-donc ma jolie, ton maître est-il proche ? T'est-tu perdu ? Raconte-moi ce qui se passe.

Myla sursauta une nouvelle fois. D'habitude, les humains ne se posaient pas la question de savoir si elle avait un maître ou non avant de l'héberger. Elle ne savait pas quoi dire à ce propos et c'est pourquoi elle décida de dire la vérité sur ce point, même si elle aurait préféré l'éviter. Les larmes lui vinrent aux yeux et c'est en pleurant qu'elle répondit.

- Je me prénomme Myla. Et mon maître... Je n'ai pas de maître, à vrai dire. Enfin, si, j'en avais un, mais...

Myla eut du mal à continuer. Elle sortit un mouchoir de sa manche, s'essuya les yeux et se moucha avant d'essayer de poursuivre.

- Je ne sais pas ce que j'ai fait. J'ai toujours obéi, je le jure. Et il n'a jamais eu à se plaindre de moi. Mais pour une raison ou pour une autre, on m'a mise à la porte et je n'ai jamais revu mon maître depuis. Je n'ai nulle part ou aller et si je vois le soleil se lever chaque matin, je peux m'estimer heureuse d'avoir survécu un jour de plus.

Comme pour confirmer ses dires, l'estomac de la neko se mit à gargouiller.