Chanter, c'est libérateur [Pv Ashari Kaoru]

Meiko était coucher sur son lit et regardait son plafond. Il devait être à peu près deux heure, mais c’était juste une supposition. Ses parents venaient de la sermonné pour ce qu’elle avait fait la veille. Tout ce qu’elle avait fait, c’était allé dans un bar et de boire d’un ou deux verres. Elle n’était même pas rentré saoul. Aussi, elle avait un peu dragué, mais ça ses parents ne le savent pas. C’est vrai qu’elle était rentrée tard. Mais bon, elle avait 18 ans, elle avait besoin un peu de liberté. Elle n’aimait pas ses parents pour cela. C’était bien les seules personne sur la terre qu’elle n’aimait pas. Elle s’assit sur son lit et regarda l’heure. Elle remarqua qu’il était en fait 3h28. Elle se demandait ce qu’elle fessait dans sa chambre. Et sur ça, elle quitta sa chambre et sorti de la maison.

Elle ne savait pas où elle allait, mais marchait quand même. Plus, elle s’éloigna de la maison plus elle devenait calme. Elle n’allait pas laisser ses parents intervenir dans sa vie. Son esprit passait d’une idée à une autre. Elle cherchait une destination finale. Puis, elle eut l’idée d’aller à la plage et se dirigea vers là.

Elle arriva là-bas, à peu près à 4h20 à la plage. Elle était allé dans un coin de la plage que peu de personne connaissait. Ce qui fessait qu’il avait personne au moment où Meiko arriva à la destination. Elle s’assit sur le sable et se mit à chanter. Elle ne voulait pas vraiment se faire entendre. Elle chantait seulement pour elle. Elle avait les yeux fermés.

(voici la chanson que Meiko chante :ici c’est juste la première chanson)

Meiko chantait de tout son cœur. Elle aimait bien chanter cette chanson. Quand elle finit de chanter elle entendit un applaudissement, elle fit donc, le saut et se retourna vers la direction du son. Aussi, parce qu’elle ne s’attendait pas à ce quelqu’un vienne dans cette partie de la plage. La personne prit la personne. Il lui dit que ce chant était magnifique un peu comme elle. À se commentaire, elle rougit légèrement car elle ne s’attendait pas à avoir un compliment comme celui-là.

« Euh... merci… »

Puis, elle se mit a regardé la personne qui était devant elle. C’était un garçon avec des cheveux blanc et les yeux qui semblaient à première vue vert. Son visage lui disait quelque chose, mais c’était un peu flou. Meiko avait l’impression de l’avoir déjà vu quelque part, mais elle ne se souvenait pas où. Elle n’aimait pas cette sensation d’avoir seulement l’impression de l’avoir vu, sans avoir qui s’était. Mais bon, elle n’allait pas resté là à ne rien dire. Elle s’approcha un peu du jeune homme pour pouvoir mieux lui parlé. Elle n’était plus rouge au niveau des joues et avait un beau sourire sur son visage. Elle tendit la main au jeune homme.

« Bonjour, je m’appelle Meiko. »

Elle ne savait pas si le jeune homme allait bien réagir. Mais avec le compliment qui lui avait fait, elle optait plus pour une réaction positive. En fait, seul l’avenir pouvait le lui dire.

Meiko ne s’attendait pas vraiment à ce qui lui fasse un compliment sur son nom. En fait pour elle, il n’était pas si beau que ça car c’était ses parents qui l’avaient choisi. Mais bon ce n’est pas vraiment intéressent. Puis il se présenta. Il s’appelait Ashari. Elle comprit pourquoi son visage lui disait quelque chose. C’était parce qu’il avait pensé au bulletin d’information, mais pas pour les bonnes raison. Si elle se souvenait bien, il était un criminel évadé de prison. Quand, elle l’avait vu à la télévision, ce qu’elle s’était le plus retenu s’était le commentaire de sa mère. Elle avait dit qu’elle n’aurait jamais voulu un enfant un lui et qu’elle plaignait les parents du jeunes homme.

Cela faisait un peu blizzard de se retrouvé devant un criminel évadé de prison. Étrangement, elle n’avait pas peur de lui, mais ne se sentait pas plus en confiance. Il pouvait avoir une arme à feu sur lui sans qu’elle le sache. Elle ne savait pas trop comment ce comporté avec lui, sachant qu’il pouvait peut-être mal réagir. Elle s’avança un peu vers la mer et faisait dos au jeune homme.

« Tu sais, tu me fais pas peur. »

Avec cette phrase, elle montrait en quelque sorte qu’elle savait qui il était. Meiko espérait qu’il allait bien réagir. Car en lui fessant dos, il pouvait sortit une arme sans qu’elle sent rendre compte. Mais bon en théorie, il n’avait pas de motif pour la tuer.